Question pour commencer : Est-ce que
Bouteflika existe-t-il ? Dites-moi,
comment il va ? Quel est son état de santé ? Certains me disent : ’Ne
t’inquiètes pas. Il arrive quand même à parler.’ D’autres disent qu’il ne bouge
plus. Qu’il n’arrive même pas à marcher. Ça fait longtemps qu’on l’a pas vu. Ni
dehors, ni à la télé.
Petite devinette : Je prends parfois le
Metro à Tafourah (Parfois je marche). Où suis-je ? Et vous ?
Question pour commencer : Est-ce que
Bouteflika existe-t-il ? Dites-moi,
comment il va ? Quel est son état de santé ? Certains me disent : ’Ne
t’inquiètes pas. Il arrive quand même à parler.’ D’autres disent qu’il ne bouge
plus. Qu’il n’arrive même pas à marcher. Ça fait longtemps qu’on l’a pas vu. Ni
dehors, ni à la télé.
Petite devinette : Je prends parfois le
Metro à Tafourah (Parfois je marche). Où suis-je ? Et vous ?
Le référendum ? Mais c’est
notre Algérie qui empêcha un tel scrutin de se
tenir ! Le saviez-vous ?
Moi, j’ai appris à ma grande
stupéfaction que Mohammed Abdelaziz le soit-disant président du label RASD, de
son vrai nom, Hmatou Ould Khelili Mohamed Salem Rguibi, est d’origine
marocaine, né le 17 août 1947 à Marrakech, d’où son surnom « Abdelaziz el
Marrakchi ». J’ai appris que la famille de Mohammed Abdelaziz vit toujours au
Maroc. J’ai lu que son frère cadet, le Docteur Reguibi, est chirurgien à
Casablanca (Maroc) où il s’est établi après une formation à la ville marocaine
de Béni-Mellal dans laquelle il avait vécu pendant plus de dix ans. Le deuxième
frère de Mohamed Abdelaziz, El Habib Reguibi, est avocat au barreau de la ville
marocaine d’Agadir. Stupéfiant encore !! Le père de Mohammed Abdelaziz,
Khelili Mohamed Salem Rguibi, est retraité des Forces Armées Royales Marocaines (FAR) et
qu’il était même membre du Conseil Royal Consultatif pour les Affaires Sahariennes. Quels
sont les Algériens qui connaissent l’origine exacte du Président à vie de la
RASD et du secrétaire à vie du Polisario ? Pourquoi notre belle presse
algérienne n’en parle pas ?
Si l’origine du Président de la
RASD est douteuse, comment peut-on être sûr de l’origine des gens que notre Armée Nationale Populaire a pris en otage depuis 40 ans dans les camps de
Tindouf ? Sinon en procédant à leur identification ! C’est ce que
notre chère Algérie qui défend la veuve et l’orphelin partout dans le monde
(sauf en Algérie) refuse de faire ! Notre chère Algérie dit au monde
entier : « à Tindouf il y a un peuple, mais pas question de procéder
à son identification ou à son recensement » !
Dans cette affaire, notre chère Algérie n’a jamais était propre. Pire ! ces mains sont sales ! Très sales ! L’histoire nous le confirmera bientôt.
Avant tout, posez-vous Monsieur la question de savoir
l’Algérie c’est quoi ?
Si vous ne savez, je vais vous aider :
Pour
caractériser notre cas algérien, nous pouvons faire appelle à la fable de La
Fontaine « la fourmille et la cigale », ou à la maxime « qui sème le vent,
récolte la tempête », ou encore au trait d’humour d’un Nour-Eddine Boukrouh qui
compare l’Algérie à une danseuse qui danse partout, sans jamais savoir sur quel
pied elle danse. Mais, à choisir, nous pouvons faire appelle à cette sagesse
qui nous met en garde : « IDA OUSNIDATI AL OUMOUROU LI GHAIRI AHLIHA, FA
N’TADIRI ASSAATOU » et qui veut dire approximativement : Quand on délègue les
affaires d’une nation à des gens incompétents ou à des parvenus, il faut
s’attendre au pire. C’est ce que disait Djemila Bouhired il y a quelques années
: « l’enfer, ce sont ceux qui gouvernent l’Algérie. »
Mais,
rassurez-vous, nous pouvons tout dire pour caractériser notre cas algérien,
mais nous resterons très en-deçà de la réalité hideuse d’une dictature très peu
éclairée (inculte), qui explique le gâchis économique algérien, dont l’errance
politique régionale a porté les coups les plus préjudiciables contre la
construction maghrébine. La France, l’Europe et bien d’autres pays le savent !
Ils ont bien raison de rappeler que notre régime algérien est le point de
fixation durable qui empêche toute entente maghrébine.
Mais
nous pouvons dire surtout : nos dirigeants algériens sont comptables devant
l’histoire des souffrances qu’ils infligent à leurs propres concitoyens. Ben
Bella, Boumediene, Bouteflika, l’ensemble des centres de décision de ce régime
prédateur, tous sont coupables, devant l’histoire des grandes peines qu’ils
infligent au peuple algérien depuis l’indépendance, et de l’échec de l’Union du
Maghreb.
Vous
savez Monsieur, nous les Algériens, nous nous sommes engagés à soutenir toutes
les causes perdues et à engraisser toutes les ONG mercantiles jusqu’au dernier
baril de pétrole. Toutes les causes, sauf celles de notre propre population !
Nous avonsréussi la performance unique
dans les annales de l’histoire de l’humanité : dilapider tout l’argent du
pétrole et maintenir notre grand pays dans le giron des pays sous développés, mal
dirigés, mal fagotés, arriérés et cons. Nous les algérien, nous n’aurons de
repos et de satisfaction que le jour où nous irons avec notre fierté de sous
développés inculte et miséreux, quémander l’aumône de l’occident.
Car,
Nous les Algériens, nous avons le rare privilège de vivre la tête haute sous le joug d’un régime
d’imposteurs patentés capable d’élire à la Présidence de la République le
personnage politique de leur seul choix, qu’il soit valide, sur un fauteuil
roulant ou même dans un cercueil ! En cela, nous faisons partie d’une majorité
de peuples sans libre-arbitre, soumis, qu’on abreuve de génération en
génération, de bêtises et d’âneries.
Dans le documentaire « les dernière heures du président Houari
BOUMEDIENE »(1er partie 23mn), Abelmalek KERKEB confirme que lors du
quinzième sommet de l’OUA de Khartoum (Soudan) en 1978, BOUMEDIENE était
dans « un état de nervosité extrême, qu’il n’arrivait plus à se
contrôler »... Ceci au sujet du problème du Sahara. Cela rejoint le
témoignage de Jean Daniel. Ainsi, dès le départ, dans l’approche
qu’avait la
nomenklatura Algérienne du Maroc et de son intégrité territoriale, il y avait
quelque chose de pathétique. C’est ce qui explique que dès lDans le
documentaire « les dernière heures du président Houari BOUMEDIENE »(1er
partie 23mn), Abelmalek KERKEB confirme que lors du quinzième sommet de
l’OUA de Khartoum (Soudan) en 1978, BOUMEDIENE était dans « un état de
nervosité extrême, qu’il n’arrivait plus à se contrôler »... Ceci au
sujet du problème du Sahara. Cela rejoint le témoignage de Jean Daniel.
Ainsi, dès le départ, dans l’approche qu’avait la
nomenklatura Algérienne du Maroc et de son intégrité territoriale, il y
avait
quelque chose de pathétique. C’est ce qui explique que dès le 18 décembre 1975, quelques
semaines après la Marche Verte qui a permit au Maroc de recouvrir son unité
territoriale par le rattachement de ses provinces sahariennes du sud, Houari
BOUMEDIENE ordonne l’expulsion massive de 45 000 familles marocaines (350000 personnes), pour la
plupart établies depuis des générations en Algérie. C’est ce qui explique les
milliards que les pouvoirs algériens successifs ont dépensé pour
armer et soutenir le Polisario, contre l’intégrité territoriale d’un
pays
frère. Est-ce que cette énergie et ces milliards n’auraient-ils pas été
plus profitables à l’union et au développement du Maghreb ?