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Greenman

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"L'avidité qui consume l'esprit non critique à l'égard de ce qu'il s'imagine certitude ou finalité le pousse à se délecter d'ombre"
— Eric Temple Bell

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  • Premier article le 28/05/2013
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Derniers commentaires



  • Greenman Greenman 27 décembre 2012 15:45

    Bonjour à tous,

    Louvois et les autres grands bugs informatiques sont bien souvent, pour ne pas dire tout le temps, les conséquences d’une « erreur » humaine...
    Si les contraintes temporelles ou financières du projet sont trop justes, on aboutit à un logiciel baclé, bancal.
    Hors en ces temps de crise tous les projets voient leur ressources diminuées... On veut automatiser un maximum de tâches sans prendre le temps de concevoir des produits irréprochables. Cela implique fatalement des erreurs, des bugs, mais l’origine de ces erreurs est bien de ne pas se donner les moyens de produire un système efficace...
    Pour le cas de Louvois, ils auraient dû faire tourner le logiciel plusieurs mois (voir une année complète compte tenu de la taille du projet et du nombre de gens impactés) en parallèle du système normal afin de contrôler que tous les calculs du logiciel était équivalent au calcul habituel.
    M’est avis que les responsables du projet ne mettront pas cette réussite sur leur CV



  • Greenman Greenman 18 octobre 2012 14:33

    Bonjour Vincent,

    Lors de la lecture de cet article, j’ai pensé fortement à un certain A. Korzybski et au seul de ses ouvrages disponibles en français, « La Carte n’est pas le Territoire ». Il avait conceptualisé la Sémantique Générale dans les années 30. L’objectif était de réapprendre à appréhender le monde en prenant en compte l’avancée des sciences (psychologie, mais aussi neurologie dont s’était les débuts) dans notre mode de réflexion, d’échanges et d’action.
    Il me serait compliqué de m’étendre sur le sujet ici, mais je vous invite a découvrir si ce n’est déjà fait le concept de la sémantique générale via livre ci-dessus ou encore le cycle des Non-aristotéliciens ou Non-A de A.E. Van Vogh ou cet auteur de SF explore les pistes proposées par Korzybski dans un roman de SF (La traduction française étant de Boris Vian et de bonne qualité).

    Simplement, attention si vous recherchez en amont sur le net, il y a eu beaucoup de dérivés de la Sémantique générale car de nombreuses personnes ou entreprise se sont servi de ces réflexions pour créer des aides au développement personnel en détournant plus ou moins les concepts de base établi par Korzybski quand ce n’est pas simplement pour le coup de pub que pouvait et peut peut être encore procurer le terme de Sémantique générale sur une plaquette publicitaire...

    Merci pour cet article !



  • Greenman Greenman 16 octobre 2012 11:19

    Bonjour,

    J’aurais éventuellement ouvert le débat vers les imprimantes 3D RepRap qui sur un concept totalement libre permettent d’imprimer n’importe quelle forme plastique dans les limites du volume d’impression de la machine à partir d’un fil plastique standard. Il devient alors possible d’imprimer tout ce que l’on souhaite et d’échanger les sources des fichiers avec le reste du monde. Le libre devient donc aussi possible pour le matériel !

    Autre ouverture possible, Open Source Ecology qui est un projet dont la communauté a choisit de créer et mettre à disposition tous les plans de machines agricoles qu’ils pouvaient construire de manière à ce qu’ils réutilisent un maximum de matériel usager et que les pièces soient au maximum interchangeable entre les machines crées. C’est une application réelle du principe de réutilisation du code !

    Cordialement

    PS : Je vous invite à visiter le pearltrees en lien avec mon pseudo et en particuliers la perle Open Source qui contient une foule de lien sur l’histoire du libre et différents projets libres : logiciels, réels, éducatifs (cours et documentaires), voir même un système de gouvernance démocratique reprenant un modèle de démocratie directe (Bien que le projet Votorola soit peu avancé) !



  • Greenman Démosthène 17 août 2012 18:33

    @homonyme,

    Je suis entièrement d’accord avec vous, à moins de connaître et d’être capable d’appréhender la structure globale de facebook, je pense qu’il est impossible d’en estimer réellement les enjeux. J’espérais seulement par mon message pouvoir apporter qq éléments de réflexion pertinents, bien que sortis du contexte technique, afin d’éviter de devoir expliquer comment fonctionne, par exemple, l’interaction entre les cookie FB et du bouton « J’aime »... Cela dit j’ai un bon dossier sur le sujet, je sais passage sur une page contenant un bouton ’J’aime’ est recensé avec la localisation et probablement un bon lot d’information, durée de connexion, lien suivi depuis la page, que les refus de tag sur certaines photos aboutissent tout de même a un tag FB, mais caché etc, etc... Il y a un bon article d’Ecran sur le sujet que Tof avait cité dans l’une de ses première réponse, « Facebook : La mémoire cachée »

    Pour Friendica, je suis confus ! J’ai testé sous Linux et n’ai même pas fait attention que c’était spécifique...

    Note pour l’homonymie : il s’avère que ce compte a été crée pour être relié à Pearltrees ou j’ai un compte sous la même identité numérique que je vous invite à parcourir à l’occasion.
    Je me demande combien de fan de la grèce antique et/ou de « la stratégie d’Ender » l’utilise ! Cela dit pour éviter les confusions, je peux peut-être changer de pseudo, le lien vers le pearltrees n’en souffrira pas, il faudra que je regarde si il y a une procédure en ce sens.

    @L’enfoiré :
    " Ce qui serait intéressant, plutôt que chercher en permanence les poux dans la tête de l’autre, de savoir si ceux qui sont passé au Nouveau Testament, sont aussi fébriles que les fanatiques de l’Ancien, pour peu qu’ils aient connu les deux bien entendu."

    L’apparence Timeline ou non ne changera malheureusement rien à la gestion des données personnelles...

    Cordialement



  • Greenman Démosthène 17 août 2012 16:26

    Bonjour,


    Cela fait plusieurs années que je suis sur Facebook, j’y ai un profil presque depuis l’origine et ai suivi attentivement les évolutions consécutives des chartes de confidentialité. Il a été mon moyen de communication favori, m’a offert l’avantage de retrouver des amis d’enfance et d’en découvrir de nouveaux. J’essaie actuellement de peser le pour et le contre de ma présence sur FB. Mes réflexions et recherches rejoignent souvent certains de vos contradicteurs ci-dessus. Je pense que certains points mériteraient éclaircissements :

    - Facebook est-il gratuit ?
    Au sens ou l’on ne paye ni à l’entrée ni à la sortie avec de l’argent, facebook est effectivement gratuit, cependant l’inscription passant par la signature d’une charte déléguant à facebook la propriété de l’ensemble des informations que l’on y met, alors oui on paye facebook. Et comme la récolte puis la revente des données se fait dans l’opacité la plus totale, on ne sait pas quel « prix » on paye constamment pour utiliser FB. A l’heure où l’on parle de traçabilité des prix et des origines pour le moindre pois chiche, je trouve cette opacité malvenue... FB fait croire à l’utilisateur une gratuité alors que l’information est plus que jamais marchandise...

    - Quelle importance si FB collecte mes données ?
    Je considère qu’il y a deux risques principaux en dehors de l’utilisation commerciale décrite précédemment. La centralisation de toutes les données de tous les utilisateurs dans ce que l’on appelle des ferme de serveurs relient ces deux risques. Si une dictature venait à poindre le pays dans lequel les serveurs sont entreposés alors la simple réquisition de la « ferme de serveurs » donnera accès à toutes les données de tous les utilisateurs. De même, une tentative réussie de hacking de cette « ferme » permettrait d’avoir accès à ces données. Si l’on considère que donner ses infos personnelles à FB n’est pas bien grave, je suis pas sur qu’il en aille de même pour des organisations moins officielles ou des régimes dictatoriaux... La logique voudrait qu’on éparpille ces données pour limiter le nombre de personnes touché en cas de problème de ce type. Or d’un point de vue légale Facebook ne peut le faire car, avec sa politique, il risquerait des poursuites judiciaires dans de très nombreux pays (et même dans certains états des USA si mes souvenirs sont bons !).


    - Que faire alors puisque les alternatives semblent inexistantes ?
    Elles existent, j’en teste actuellement deux d’entre elles, Diaspora* et Friendica, ce sont des alternatives libres qui stockent les données de manières décentralisées, l’utilisateur reste propriétaires des données qu’il y publie. Une suppression y est une véritable suppression et non un absence d’affichage d’une donnée toujours conservée. Par ailleurs un des avantages du libre est que l’utilisateur, même non informaticien profitent de la compétence des informaticiens de la communauté. Ces derniers par intérêt personnel, curiosité, vigilance citoyenne ou autre raison peuvent à tout moment vérifier le code de la plateforme pour savoir ce qui est fait de leurs données, si elles sont cryptées etc... Cette garantie est pour moi le meilleur rempart contre l’exploitation abusive des données personnelles d’autant que la plateforme devra alors respecter les lois de tous les pays où au moins un serveur est installé.

    Ces réflexions ont été en partie regroupées par un autre ici https://sortirdefacebook.wordpress.com/ , j’ai simplement repris les grandes lignes avec mes mots, j’espère avoir réussi à éviter l’écueil d’explications trop techniques.

    Pour conclure, j’aimerais attirer l’attention sur le fait que les informaticiens utilisent pour la plupart des sites des bases de données qui ont pour but de pouvoir organiser, trier, retrouver le plus simplement possible des données au milieu d’un très grand nombre de données. Je ne connais pas la structure de FB, mais une fois l’accès à la base de données effective, il est fortement probable qu’une ou deux lignes de codes suffisent à extraire toutes les données d’un utilisateur, ou des utilisateur français, ou de ceux qui se connectent souvent à paris etc... etc... Pas aussi simple que chercher dans google mais presque...
    FB est un outil qui, comme le marteau ou la tronçonneuse, nécessiterait qu’on ai une connaissance optimal des risques avant de l’utiliser, mais dont le modèle économique est basée sur le fait que la plupart ne prendra pas la peine de lire attentivement la notice...

    En espérant, avoir donné un éclairage nouveau sur les enjeux de FB,
    Cordialement
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