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  • Depositaire 24 février 2014 19:09

    On devrait préciser à Masada le sioniste, qu’israël n’est en aucune façon un état pour au moins deux bonnes raisons :
    La première est qu’un état est identifié par des frontières précises et une constitution. Or israël n’a ni frontières précises, ni constitution. Donc, à ce titre le qualifier d’état est un abus de langage.

    La deuxième raison, est qu’israël s’est créé par la spoliation violente des palestiniens de leur territoire et n’a strictement aucune légitimité, ni historique, ni au niveau du droit international, (il est vrai qu’à l’instar de son grand protecteur les USA, le droit international, israël s’assied dessus).

    Si on prétend qu’une résolution de l’Onu en 1948 accordait aux juifs un état sur une partition de 57% du territoire palestinien pour les juifs et 43% pour les palestiniens, on répondra que tout d’abord ce n’est pas une résolution, qui n’est que du ressort du Conseil de Sécurité de l’Onu, mais une recommandation de l’assemblée générale de l’époque de ce qui ne s’appelait pas encore Onu, mais « Société des Nations », et qui n’a aucune valeur contraignante au niveau juridique. De plus cette recommandation est nulle et non avenue au niveau du droit international car en violation flagrante de l’article 2 de la charte de l’Onu qui stipule clairement qu’il est interdit de prendre ne serait-ce qu’un mètre carré de territoire d’un pays sans l’accord des habitants de ce pays. Que je sache, on n’a pas demandé l’accord des palestiniens pour partitionner leur territoire !!!

    Et d’ailleurs, on remarquera qu’aucune résolution du Conseil de Sécurité n’est venue entériner cette recommandation, et pour cause, elle est illégale !

    Et on sait que c’est Ben Gourion avec ses milices qui s’est emparé de force du territoire palestinien. Et ce n’est pas parce que les gouvernements occidentaux, par une hypocrisie innommable, ont aidé à construire cette entité raciste et belliciste et continuent à passer des accords avec, qu’elle est devenue tout à coup légitime. Ce crime en lui-même est imprescriptible. Ce n’est pas parce que les sionistes ont falsifiés l’histoire, on inventés de toute pièce le mythe du peuple élu qui revient sur sa terre qui lui a été donnée par Dieu, (vous avez un contrat divin ?), que c’est la vérité !

    Et s’il y a une chose qui serait salutaire pour l’humanité ce serait de découvrir pourquoi cette minuscule entité dicte sa loi au monde entier et viole en toute impunité et de façon flagrante le droit international depuis plus de 65 ans ? L’arrogance de ces sionistes n’a aucune limite. Ils se croient tout permis.

    Mais patience, ce cancer sioniste ne durera pas indéfiniment et finira comme toutes les erreurs de l’humanité dans les poubelles de l’histoire.

    Le sieur masada ne va pas apprécier mes propos. Aucune importance. Je ne vois pas pourquoi je prendrais des gants avec quelqu’un qui soutient la politique criminelle et génocidaire de cette entité qui a pris le nom qui avait été attribué à un prophète !

    Quant à l’Allemagne, quelle honte que d’être le valet de criminels pareils !!!



  • Depositaire 20 septembre 2013 14:06

    Prétendre que le capitalisme a toujours existé et existera toujours, car il est indispensable, est à la fois un non sens et une contre vérité.

    Mais je ne vais pas polémiquer sur les mots, ce qui ne présente guère d’intérêt. Mais le commentateur Méfrange, dit qu’il ne faut pas confondre économie de marché et capitalisme, et il cite des exemples de ce qu’est l’économie de marché.

    Mais en fait, lui-même se trompe aussi. Il confond ce que l’on appelle aujourd’hui « économie de marché » avec les marchés locaux tels qu’ils ont toujours existé depuis que les êtres humains échangent entre eux. En réalité, le terme « économie de marché » a été élaboré pour rendre plus respectable le capitalisme. Mais on le voit aujourd’hui clairement, ce n’est que du capitalisme prédateur. Et contrairement aux déclarations de l’auteur de l’article, il n’est pas une finalité en soi, loin de là. D’ailleurs, il est sérieusement remis en question un peu partout. Nous n’avons pas besoin du capitalisme. Il n’y a pas à le réguler. Comment voulez-vous réguler une maladie mentale ? Il faut la soigner, tout simplement. Pour ce faire, les soins à apporter à cette maladie compulsive de la cupidité insatiable des oligarques, la seule solution, est de les mettre hors d’état de nuire, et pour cela d’élaborer un autre système économique qui devra s’insérer dans un changement radical de paradigme de société où l’être humain et son épanouissement sur tous les plans, spirituel, éducatif, social, scientifique, écologique, économique, culturel, etc. Sera au centre des préoccupations.

    Problème, ce nouveau paradigme n’existe pas encore d’une façon élaborée prêt à remplacer le système prédateur et pervers autant que destructeur qui est dominant dans le monde aujourd’hui. Alors qu’attendons-nous pour l’élaborer ? A dire vrai, il y a déjà bien des initiatives en ce sens qui existent. Il faut simplement les développer et les mettre en synergie et réseaux.

    Quant à ceux qui disent et pensent que c’est utopique et que le capitalisme existera toujours, je leur répondrai en leur disant que c’est une forme cachée de défaitisme et de lâcheté vis à vis de ce système prédateur et devant la difficulté de la tâche d’élaboration d’un autre paradigme de société.

    Mais comme il faut aller jusqu’au bout de la proposition, je rajouterai que tous les signes sont là, de plus en plus évidents, pour nous montrer que nous courrons droit vers une catastrophe de dimension planétaire qui à terme détruira quasiment toute vie sur Terre. On oublie trop souvent que ces oligarques sont des malades mentaux, atteints d’une psychopathie très grave et très dangereuse à cause de leur puissance financière. Car comment peut-on appeler autrement une volonté de s’enrichir de façon exponentielle lorsque l’on a plus d’argent que l’on ne pourra jamais en dépenser ? Et ce, en pillant sans vergogne les ressources de la planète au prétexte de la sacrosainte croissance, conception totalement absurde. Comment peut-on concevoir une croissance illimitée dans un monde aux ressources limitées ? Ce qu’un gamin de dix ans est capable de comprendre.

    Il est plus que temps de se réveiller et d’agir dans le bon sens avant qu’il ne soit trop tard.

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