sdzdz
Avec près de 25 ans d'intérêt marqué pour la politique française et internationale, je me suis beaucoup plus fortement engagé en politique à partir de 2004, autour des débâts sur le TCE puis de l'élection de 2007.A l'opposé du système néo-impérialiste qu'est l'UE, sur une ligne républicaine souverainiste (articles 1et 2 de la constitution,) j'ai largement contribué à élaborer un programme politique suivant une approche (géo)stratégique, notamment un système de monétisation de la dette publique française (1500Md) dans le cadre de la Francophonie, ce juste après la crise de 2008.
Faute de candidat crédible sur cette ligne intransigeante de sortie de l'UE et de l'euro ou faute de candidature alors déclarée à la présidentielle, je suis à l'origine de la création de l'IRC, Initiative Républicaine de Coalisés à l'été 2010.
Tableau de bord
- Premier article le 16/02/2009
| Rédaction | Depuis | Articles publiés | Commentaires postés | Commentaires reçus |
|---|---|---|---|---|
| L'inscription | 1 | 231 | 6 | |
| 1 mois | 0 | 0 | 0 | |
| 5 jours | 0 | 0 | 0 |
Ses articles classés par : ordre chronologique
La France contre la crise
1410 visites 16 fév. 2009 | 6 réactions |
Derniers commentaires
-
C’est un projet de développement suivant une optique la plus auto-centrée possible, une approche pas incompatible avec la nôtre à l’IRC. A quelque échelle qu’on se projette, on retombe sur cette nécessité vitale de ne surtout pas miser sur l’immixtion de structures institutionnelles supra-nationales.Ce serait bien de préciser le nom du bourg. -
Dès la campagne de promotion de l’euro, la Norvège avait été rayée de la carte puisqu’ayant même choisi de rester en dehors de l’Union européenne. Vous le voyez sur certaines pièces de monnaie, mais il me semble d’ailleurs qu’ils ont « corrigé le tir » depuis.
Il existe maintes techniques graphiques pour représenter l’appartenance à un ensemble sans nier l’existence d’autres pays : la Norvège avait aussi été envahie par l’Allemagne nazie (et seulement libérée après la capitulation allemande...).Quand on en arrive à ce stade d’intolérance, le refus de prendre en compte le vote souverain d’un autre peuple apparaît seulement comme une « droite continuité »... -
Après le choix républicain (nationaliste, souverainiste ou indépendantiste), il demeurerait un choix par défaut pour éliminer UMP et PS, ce qui ne serait pas un mince avantage au final, vu l’éclatement du camp eurosceptique.J’ai déjà précisé qu’il manquait un tour à la présidentielle pour avoir l’effet d’une proportionnelle intégrale au 1er tour, l’effet d’une primaire ouverte à tous... -
Vous mêlez référence à l’empire et positionnement à droite... Or Sarkozy n’est pas de droite, comme Hollande n’est pas de gauche. Tous ceux qui suivent l’agenda d’édification d’un bloc occidental et d’un grand marché transatlantique (en 2014 ?) ne sont pas des Français républicains. Ils sont d’ailleurs dans l’incapacité de nous dire comment on préserve la République avec l’Union européenne, construction supranationale qui mène une politique intrusive dans tous les domaines, si tant est qu’ils en aient la volonté : leur veulerie crasse va de pair avec leur lucidité sur ce que sont les rapports de force réels dans le pays, à l’invers des Français qui sont désarmés intellectuellement.Le jeu politique français de nos élites :-le positionnement politique : républicain ou non...-le positionnement suivant l’appartenance sociologique : (très) privilégiée ou non. Peu de candidats ont un ancrage populaire....alors que nombre de Français restent sur le clivage droite-gauche, le PS restant d’abord le super-syndicat de la fonction publique, dans un contexte de décadence qui est le fait de l’ensemble de la population puisque celle-ci est constituée de citoyens !J’ai tout de même déjà souligné à quel point l’Education nationale a désarmé nos compatriotes, incultes en matière de « sciences économiques et financières ». Cet échec patent était d’ailleurs celui de De Gaulle qui ne s’est guère préoccupé de la question centrale de la transmission : son discours de 1965 n’a pas été pris en compte, les principes touchant à la souveraineté monétaire ont été détruits par ses successeurs, dans l’indifférence générale.Ne pas parler de ces candidats (UMP, PS etc) comme impérialistes désarme là encore les Français qui n’ont pas conscience qu’on leur mène une guerre d’autant plus sourde et implacable qu’elle n’a pas été officiellement déclarée...
-
Je ne suis pas du tout d’accord !
Les libéraux, les vrais, ont été les premiers à lâcher Sarkozy à droite.
Surtout, ils avaient été parmi les premiers à dénoncer « la tentation du putsch » (journal les échos en 2005) à la seule vue des commentaires de nos « élites » après le vote non au TCE en 2005. Ils avaient compris ce qui arriverait là où la plupart des « nonistes » se sont reposés sur leurs lauriers !
Les « mondialistes » sont en fait des néo-impérialistes alors que les libéraux demeurent des Républicains (de droite)... Et c’est bien sur le caractère totalitaire de l’UE de plus en plus affiché ouvertement que les partis « de gouvernement » se rejoignent, système que les libéraux rejettent évidemment (cf Charles Gave etc...)
Ainsi, la dette publique a ainsi été creusée délibérément comme on l’avait fait pour les pays en développement pour maintenir un lien de subordination. Personne dans cette campagne ne fait mention du fait que le franc CFA est lié à l’euro via la France (en 2012 !) de manière totalement rigide au détriment des économies africaines. Au final, l’IRC a clairement les analyses les plus poussées sur ces sujets.
http://www.la-France-contre-la-crise.over-blog.com
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération