> Au vu du procès et de sa reconstitution, difficile d’avoir une oponion tranchée (si j’ose dire...) Mais depuis il y a eu un aveu : qu’a reconnu exactement Bony avant d’être fusillé ? Je crois avoir lu ou entendu qu’il s’agissait de la machine à écrire, qu’il l’aurait introduit chez Seznec ? Qui les a recueillis, qui aurait rapporté ces propos ? Seznec ne devait pas être si naïf et aurait bien compris qu’avec la mort ou la disparition de Quémeneur le contrat de vente sous-seing privé, car il s’agit bien de cela, serait contesté et attirerait les soupçons sur lui. > Concernant le premier verdict, comme moi de nombreux téléspectateurs ont dû immédiatement réagir à la contradiction entre le guet-apens et la non-préméditation !!! Il est inimaginable que ni le magistrat qui dirige le jury ni aucun des jurés ni le rédacteur ne se soit rendu compte de l’énormité de la chose. Ce qui donne une idée de la qualité du procès. Après leur connerie monumental il n’ont pas eu le courage de leur opinion et ont annulé le guet-apens, ainsi ils sont partis la conscience tranquille. Il doit quand même y en avoir quelques uns qui ont dû avoir des troubles du sommeil. Pas parmi les magistrats bien sùr, ces gens-là sont au dessus de çà. Ce sont les mêmes ou leurs semblables qui ont jugé successivement les résistants et les collabos.
Et pourtant, Allah existait bien avant le big-bang, il a créé l’univers, dans cet univers de 200.00 galaxies cataloguées parmi des milliards, il a créé la notre, avec notre soleil, et enfin la terre, grosse comme un grain de sable dans le Sahara, il a aussi créé, comme il s’ennuyait, quelques milliards d’années plus tard, son chef-d’oeuvre, l’homme. Dans quel but ? : Que des êtres vivants lui construisent des mosquées et, d’où il est, à 30 ou 40 milliards d’années lumière, les voir se prosterner devant lui, au nom d’un livre incréé, El Coran.
J’ai lu Corinne Lepage, elle emploie l’expression « Développement soutenable » et non « Développement durable » (celui qui dure depuis Adam et Eve) - Rien que pour çà, elle a ma sympathie.