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Dominique LIN

Dominique LIN

Né à Paris, je vis en Vaucluse depuis plus de 30 ans. Mais comme ils disent ici, si tu n’es pas allé à la communale, tu n’es pas d’ici… je resterai donc un étranger.
 
Si beaucoup de Provençaux ont « émigré » à Paris pour des raisons professionnelles, j’ai fait le chemin inverse par choix de vie.
 
En dehors du travail, je consacre mon temps à ma famille, la musique afro-cubaine et surtout à l’écriture. J’ai écrit deux romans, parus chez Elan Sud, Toca Léòn ! et La grande Borie. D’autres romans sont en cours.
 
Je suis secrétaire de 2 associations :
• Expressions Littéraires Universelles : promotion et animation autour de la littérature
Une des actions d’ELU est le prix Première Chance à l’Écriture, concours de manuscrits avec un contrat d’édition en bonne et due forme à la clé !
 
• Editer en Vaucluse (association des éditeurs du Vaucluse) : soutien à la profession, mise en commun des actions, fédération des énergies.
 
Pour le reste, je fais comme tout le monde, je vis en essayant de garder les yeux ouverts sur un monde qui change très vite et dont les valeurs fluctuent dans tous les sens
 

Tableau de bord

  • Premier article le 12/03/2008
  • Modérateur depuis le 22/04/2008
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Dominique LIN Orange Libre 20 mars 2008 10:16

    A Flash

    On voit que ça fait longtemps que vous avez écouté du Rap, en plus, maintenant, il y a le slam..

    Votra argument caricatural ne fera rire que les pauvres d’esprit qui veulent évincer un courant de pensée qui existe depuis 20 ans et qui a bien évolué, ne vous en déplaise. tuer les flics, tourner les filles... bravo, quel argument ! Je n’écoute pas cette musique à longueur de journée sur un portable, mais je la respecte comme toute musique. La fanfare de la légion étrangère serait-elle plus respectable ?

    Puisque vous citez Diam’s, elle était quand même nominée aux victoires de la musique. Malik aussi, même qu’il a été récompensé !

    Quant à ce que propose l’opposition à Bompard, plutôt qu’à nouveau dire une anerie en pensant tout haut qu’il n’avaient pas de programme, c’est que vous n’avez pas voulu chercher.
    Il n’y a pas plus sourd que celui qui ne veut pas entendre

    Allez faire un tour sur le blog de Jean Gatel et, si vous ne fermez pas les yeux, dites moi si les dizaines d’articles ne sont pas des propositions concrètes

    Merci d’avoir commenté cet article, au moins vous permettez au lecteur de se faire une vraie opinion quant à la possibilité de débat à Orange. Pour vous, c’est le chaste Bompard, ville propre et thé dansant avec une jeunesse muselée ou bien, c’est la chienlit et les viols sur le capot d’une voiture avec du Rap en fond sonore..

    Après on s’étonne que des pays basculent dans le totalitarisme... Vous en êtes la graine !

    ORANGE LIBRE



  • Dominique LIN Orange Libre 13 mars 2008 14:33

    A Orange, le Maire réglé depuis très longtemps ce problème...

    Comme beaucoup de structures à vocation sociale, il les ÉLIMINE !

    Les associations de quartier, la mission locale pour l’emploi, les associations culturelles pouvant éveiller l’esprit, bref, tout ce qui peut aider le citoyen à trouver sa place sous une forme ou une autre dans cette société est éradiquée.

    A la question, il répond : pourquoi une mission locale, il n’y a pas de chomage...

    Pour mieux comprendre, à Orange, il n’y a pas de pistes cyclables car il n’y a pas de vélo, comme il n’y a pas de voyageurs pour les transports en commun qui s’amenuisent chaque jour.

    Méthode Coué.... non, méthode Bompard !

    Orange Libre Expression



  • Dominique LIN Orange Libre 12 mars 2008 17:30

    "quitter nos livres d’histoires. Non pas pour les siècles passés, c’est fait, mais pour les siècles à venir."

    Ne pouvez-vous pas comprendre que dans cette phrase, si je souhaite que les guerres quittent les livres d’histoire dans l’avenir, c’est qu’il n’y en a plus, c’est une métaphore.

    Je n’ai en rien attaqué les poilus, premières victimes (avec les Allemands) de ces errances de lhistoire, qu’elle se passe ici en 14 ou aujourd’hui en Irak ou ailleurs.

    Oui, ils y sont allé de leur patriotisme, de leur confiance en la France, le drapeau, leur patrie.

    C’est de la fin des guerres dont je parle en leur demandant de quitter notre histoire à venir



  • Dominique LIN Orange Libre 12 mars 2008 16:44

    Il s’appelait Lazare Ponticelli, c’était le dernier poilu de la Grande guerre. Nous l’avions vu aux dernières commémorations, espérant qu’il puisse encore témoigner pour le 90e anniversaire de l’armistice, mais tel ne sera pas le cas.

    Lazare Ponticelli est décédé mercredi 12 mars 2008 à l’âge de 110 ans ; il était le dernier représentant des 8,5 millions poilus français. Un "hommage national" sera rendu "dans les prochains jours" à tous les Français mobilisés pendant ce conflit a annoncé l’Elysée.

    A quelques jours de la sortie du livre "Lettres du Front" d’Émile Sauvage, cet événement rappelle la réalité de l’histoire, la douleur d’une génération.

    C’était sous les mêmes obus que Lazare se battait quand Émile Sauvage écrivait ses lettres.
    Elles prennent aujourd’hui un sens encore plus profond et nous rappellent combien cette guerre, "la der des der", "la grande", une guerre insensée, horrible, meurtrière, comme les autres, devrait quitter nos livres d’histoires.
    Non pas pour les siècles passés, c’est fait, mais pour les siècles à venir.

    Dominique


  • Dominique LIN Orange Libre 12 mars 2008 15:47

    Oui, les municipalités d’avant Bompard avaient laissé la ville à l’abandon. Oui, c’était il y a 13 ans.

    Mais je ne pense pas qu’il faille comparer avec le pire, mais avec une normalité et surtout les besoins des habitants.

    Passer à Orange et voir le cours Aristid Briand avec sa fontaine fleurie est une chose, mais y vivre et y trouver de l’emploi, y vivre en harmonie avec les autres, touver une place de crèche, une association de quartier, pratiquer un art, ... tous les points qui font le quotidien de chacun en est une autre.

    Il n’est pas question de partis, je suis d’accord, d’ailleurs, Bompard s’est fâché avec ses différentes étiquettes.

    A chaque fois que des commentaires soutiennent la politique de Bompard, c’est en terme d’apparence, mais personne ne répond sur le fond. Personne ne parle de l’économie, du social, du culturel, du tourisme. J’invite tout le monde à assister à un conseil municipal, où l’opposition se fait insulter, mépriser, et chacun comprendra.

    Le Maire parle dans un micro, et l’opposition qui n’en a pas doit parler au dessus des remarques désobligeantes, des bruits de fonds at autres colibets, ce n’est qu’un petit exemple, mais toute la vie municipale est ainsi. Dans la revue municipale, l’opposition a droit à 1/8e de page...

    Alors, oui, M. Bompard est brillant dans sa manière de faire.

    Un coup de peinture au cimetière le 1er novembre, mais le reste n’est pas entretenu. Quelques rues du centre sont propres quand des quartiers entiers (les cités) sont à l’abandon.

    Comme je l’ai dit, pas d’implantations d’entreprise, pas de contrats état/région/département...

    La liste est longue.

    Et je ne vois pas l’intérêt de mélanger Paris, Orange et les partis.

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