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Donquichuchote

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  • Donquichuchote 8 juin 2014 09:24

    Le président de la Commission sera donc choisi par les partis, les 28 du Conseil, et recevra l’onction du Front républicain européen du Parlement, PPE, centriste et PSE. Nous qui vivons en France, nous serions à la fois étonnés et affligés face à cette carence démocratique !



  • Donquichuchote 8 juin 2014 08:48

    En somme d’après l’auteur, les problèmes de la France seraient dus à la classe politique elle même victime de la polarisation présidentielle des institutions de la Vème République ; cela fait beaucoup d’âneries en un si court texte.
    -la Vème République avec un exécutif fort a été instaurée pour permettre de préserver la souveraineté nationale. Sans souveraineté, la démocratie n’est qu’une coquille vide, le TAFTA signé cela deviendra une évidence pour tout un chacun...mais trop tard.
    Quant à ceux qui s’illusionnent sur les effets d’un transfert de pouvoirs au Parlement, l’histoire de la III et IVème République devrait les rendre plus lucides : les parlements finissent toujours dans les compromissions autour d’une voie médiane, celle où le vent pousse. Or face aux défis anti-démocratiques et à la politique d’appauvrissement planifiée par l’UE au bénéfice des multinationales industrielles et financières US, la voie médiane est implacablement celle de notre asservissement et malheurs.
    Consciemment ou non, l’auteur, en décrédibilisant la nécessité d’un exécutif fort rend le seul moyen, non révolutionnaire, de sortie de l’enfer, caduque. La synergie de ce type de propos avec la constitution de super-régions de taille européenne n’est certainement pas anodine : il faut détruire l’Etat-Nation, seul capable de faire capoter le plan US de vassalisation et paupérisation de l’Europe.
    Je prône, bien au contraire de l’auteur, à un retour au texte originel de la Vème mais avec extension du référendum, notamment d’initiative populaire.



  • Donquichuchote 8 juin 2014 08:06

    Le vote électronique est tellement facile à falsifier que le jour où il représentera la norme, il n’y aura plus de démocratie.
    Par ailleurs, il est si facile par ce moyen de relier le vote à l’électeur que le secret du vote dans l’isoloir assurant le libre choix, non contraint, de l’électeur ne sera plus du tout assuré. Tout électeur en deviendra conscient et auto-censurera son vote en conséquence.
    Quel progrès démocratique !



  • Donquichuchote 13 mai 2014 18:35

    @ scylax
    Merci pour cet article si bien documenté. Je viens de poster sur l’article « L’esclavage n’a pas existé... » avant que d’avoir lu le vôtre... il eut été plus à sa place ici, ce pourquoi je le remets :

    Esclave est un mot formé sur la racine « Slaves », car avec les Baltes ils constituaient le plus gros des contingents d’esclaves capturés en Europe notamment par les Tatars qui les vendaient de l’autre côté de la Méditerranée. Ce sont ces mêmes anciens spécialistes du slave’s trade qui nous sont maintenant présentés comme les pauvres victimes. Au temps de l’empire Ottoman, les Turcs pratiquaient le devsirme : il s’agissait du ramassage des petits garçons chrétiens des provinces conquises, l’Europe méditerranéenne, qui étaient ensuite déculturer dans des fermes anatoliennes et parmi lesquels on choisissait, passé l’adolescence, les meilleurs spécimens pour entrer dans le corps d’armée des janissaires ou des fonctionnaires de l’empire . Pour la France, ce furent les razzias sur terre dépeuplant par à coup le littoral méditerranéen et d’une façon chronique l’attaque de navires marchands ou pêcheurs dont équipage et passagers se retrouvaient esclaves sur l’autre rive de la Méditerranée. Vincent de Paul par exemple fut un célèbre esclave mauresque.

    Mais pour nous cantonner à la seule traite négrière donc hors des millions d’Européens vendus comme esclaves, les historiens estiment la quantité d’Africains à environ 43 millions se répartissant ainsi :
    17 millions pour la traite orientale, à destination du monde arabo-musulman
    14 millions pour la traite intra-africaine
    12 millions pour la traite atlantique des colonies européennes
    A voir ces chiffres on peut se rendre compte que les Européens sont loin d’avoir eu l’exclusivité de l’esclavage,
    A l’heure actuelle, on estime le nombre d’esclaves sur notre planète entre 12 et 30 millions principalement d’origine asiatique et africaine avec un prix moyen à l’achat en complet effondrement de 70€ contre 30 000€ il y a 200 ans. Ce prix est si dérisoire qu’il n’est même pas rentable actuellement pour l’esclavagiste d’acheter des médicaments pour soigner un esclave malade. Cet esclavagisme présent n’est pas un vain mot ni même une figure de style pour dénoncer par l’analogie certaines conditions de travail du capitalisme, c’est une réalité sociologique dans laquelle le maître a droit de vie et de mort sur un autre être humain.
    Pendant ce temps là on ne s’occupe pas d’eux, on ne manifeste pas pour eux, on s’occupe que de la mémoire de la seule traite négrière et pour un seul quart de surcroit, l’européenne, et ce pour ne pas avoir à parler des trois autres quarts ni d esSlaves et autres Européens



  • Donquichuchote 13 mai 2014 18:09

    Esclave est un mot formé sur la racine « Slaves », car avec les Baltes ils constituaient le plus gros des contingents d’esclaves capturés en Europe notamment par les Tatars qui les vendaient de l’autre côté de la Méditerranée. Ce sont ces mêmes anciens spécialistes du slave’s trade qui nous sont maintenant présentés comme les pauvres victimes. Au temps de l’empire Ottoman, les Turcs pratiquaient le devsirme : il s’agissait du ramassage des petits garçons chrétiens des provinces conquises, l’Europe méditerranéenne, qui étaient ensuite déculturer dans des fermes anatoliennes et parmi lesquels on choisissait, passé l’adolescence, les meilleurs spécimens pour entrer dans le corps d’armée des janissaires ou des fonctionnaires de l’empire . Pour la France, ce furent les razzias sur terre dépeuplant par à coup le littoral méditerranéen et d’une façon chronique l’attaque de navires marchands ou pêcheurs dont équipage et passagers se retrouvaient esclaves sur l’autre rive de la Méditerranée. Vincent de Paul par exemple fut un célèbre esclave mauresque.

    Mais pour nous cantonner à la seule traite négrière donc hors des millions d’Européens vendus comme esclaves, les historiens estiment la quantité d’Africains à environ 43 millions se répartissant ainsi :
    17 millions pour la traite orientale, à destination du monde arabo-musulman
    14 millions pour la traite intra-africaine
    12 millions pour la traite atlantique des colonies européennes
    A voir ces chiffres on peut se rendre compte que les Européens sont loin d’avoir eu l’exclusivité de l’esclavage,
    A l’heure actuelle, on estime le nombre d’esclaves sur notre planète entre 12 et 30 millions principalement d’origine asiatique et africaine avec un prix moyen à l’achat en complet effondrement de 70€ contre 30 000€ il y a 200 ans. Ce prix est si dérisoire qu’il n’est même pas rentable actuellement pour l’esclavagiste d’acheter des médicaments pour soigner un esclave malade. Cet esclavagisme présent n’est pas un vain mot ni même une figure de style pour dénoncer par l’analogie certaines conditions de travail du capitalisme, c’est une réalité sociologique dans laquelle le maître a droit de vie et de mort sur un autre être humain.
    Pendant ce temps là on ne s’occupe pas d’eux, on ne manifeste pas pour eux, on s’occupe que de la mémoire de la seule traite négrière et pour un seul quart de surcroit, l’européenne, et ce pour ne pas avoir à parler des trois autres quarts ni d esSlaves et autres Européens

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