...« Puisqu’elles vous plaisent je me ferai dorénavant un devoir d’en rajouter.. »
Avec grand intérêt Gollum. Comme j’ai quelques notions en astrologie, je vous suis... et j’apprends en même temps.. fantastique !
Oui, l’illusion du couple.. un grand débat...la quantité de divorces actuels en dit long. Quant au « je t’aime, moi non plus »,... évidemment... si on se borne à vouloir posséder l’autre pour ses intérêts personnels, on n’y échappe pas.. Le « moi non plus » disparait, si l’être est entier, solide, construit et qu’il est autonome. Son amour devient alors holistique, il aime pour le plaisir d’aimer, il est amoureux du monde et libre. A bientôt cher correspondant.
Merci pour cet article à mon goût ! J’ai visionné ce film plusieurs fois au fil des ans... et c’est très intéressant de constater que le film reste toujours le même, mais que ma compréhension de celui-ci évolue au fil du temps...
Le vrai Jacques Mayol s’est pendu, c’est vrai. (merci Sandro !)
J’ai toujours pensé que l’amour des profondeurs marines, était, pour Jacques Mayol un moyen de retrouver son père, ses racines. N’ayant pu digérer sa mort abrupte par noyade,(il était enfant !) il le retrouve sans doute un peu à chaque plongée. Il le cherche, en vain, voulant aller toujours plus profond pour chercher... encore. Inconsciemment, Peut-être, pour atténuer cette douleur.. sans y parvenir. Et puis, Enzo meurt dans les mêmes circonstances...
Pour Jacques, les fonds marins sont toute son enfance, sa famille, ses racines. Et grand paradoxe, on a des difficultés à prendre *racine" justement, dans l’eau... il faut de la terre pour cela. Pour cette raison, Jacques ne parvient pas à se poser dans le monde conventionnel.
Certes, Jack, la jeune femme américaine est à côté de la plaque... elle ne l’aime pas, elle pense à elle. Aimer Jacques Mayol consisterait à l’encourager à vivre cette passion, être là, peut-être, en présence attentive.. mais certainement pas en voulant lui faire des enfants et le dresser en docile mari... C’est drôle dans ce film en fait... bon, et il fallait bien une jolie femme là au milieu... Jean Reno est juste parfait dans le rôle d’Enzo ! Et je craque pour sa mère... rires... Gollum, je trouve vos interventions absolument pertinentes.
Sabine, je suis solidaire avec vous... femme oblige ! clin d’oeil
Logique, l’incompréhension suscite une inquiétude et l’on ferme.
Ah bon, vous trouvez que j’ai fermé ? En ce qui me concerne, j’avais plutôt l’impression d’avoir ouvert le débat... quant à l’incompréhension, non plus, puisque pour moi le terme pythonisse veut dire clairvoyante...
Je cite : « L’effet transactionnel, le débat, même d’un bon niveau fait interférer des réactions et des réflexes contradictoires... »
Là, c’est le Capt’ain qui apporte le mot de la fin, à savoir : je cite : « »Il semble finalement que chacun projette sa propre fantasmagorie en regardant un tableau , une scène de la vie ou en lisant un livre ou écoutant la musique .
Et qu’est-ce que l’on projette ? .. et bien selon moi, ce que l’on a respectivement dans le coeur et la tête..à savoir, certains ont des explosifs de joie, d’autres des méandres de mélancolie.. reste à décider si on veut vivre en s’amusant ou en s’ennuyant... telle est la question. TO BE OR NOT TO BE... comme dirait Sh.