Rappel non à l’honneur de Beau, ni à celui de médias désinformateurs !!! En 1983, éclate un scandale touchant à l’honneur de l’Etat mitterrandien, de la Gendarmerie et de certains de ses membres dont Beau , Barril , des sous-off. parisiens et vincennois, etc. Après avoir soutenu mordicus qu’il était innocent dans l’Affaire des Irlandais de Vincennes qu’il dirigea illégalement, après avoir honteusement mis en cause d’innocents subordonnés, après en avoir suborné pour se disculper devant la VH, Beau fut acculé aux aveux… Et dame Justice passa, le cloua au pilori de l’opprobre. Quant à Barril, il lui fut reproché -sans que jamais cette même Justice ne le prouve !- d’avoir introduit des armes au domicile d’Irlandais arrêtés, suspectés de terrorisme. Trois décennies s’ensuivirent pendant lesquelles certains médias, manipulés par un Beau à la recherche de son honneur, revinrent sur l’Affaire ! Affaire liée à celle des Ecoutes de l’Elysée, non moins célèbre ! Durant cette période, par son acharnement et ses mensonges répétitifs, l’intéressé réussit à inscrire une fausse légende, à faire gober aux non initiés que ses fautes avaient été commises au nom de la raison d’Etat. A tel point que Sarkozy le fit chevalier de la légion d’honneur ! De plus, il n’eut de cesse d’agresser tous ceux qui connaissent la vérité -dont mon humble personne- et bien entendu Barril, un autre de ses « ennemis ». Et c’est là que je veux en venir… En 2006, ledit Capitaine, reconverti dans la sécurité depuis 1983, est appelé à assurer la protection d’un banquier suisse en rapport avec des Corses et des Marseillais se disputant la propriété d’une boîte de jeux : le Concorde. Résultat : un meurtre, enquête, arrestation du tueur, etc. Puis arrestation d’une vingtaine de « malfaiteurs » pour association en vue corruption et extorsion, blanchiment d’argent en bande organisée, abus de confiance, infractions fiscales... J’en passe. Barril est de ce lot. Il sera incarcéré durant à peine un mois à Aix-en-Provence. Ô scandale ! Une fois de plus, la presse déverse une tonne d’accusations sur lui, stimulée en cela par Beau dans le cadre de sa marche vers l’honneur. De même, dans ses sites, appuyé par quelques ignares commentateurs, il continuera de le salir outrageusement. Voilà l’épilogue de cette affaire du Concorde : Le 25 septembre 2013, le Tribunal correctionnel de Marseille a rendu son jugement (devenu définitif, n’y ayant appel). Sur les 20 prévenus, 13 furent condamnés et 8 furent relaxés. Dont Barril !!! Qu’en ont dit les médias ? Rien à l’exception des régionaux qui se sont limités à rendre compte du délibéré. Qui aurait osé faire amende honorable, reconnaître une lourde insistance à l’accabler ? Rappeler ce qu’il fit pour la France à la tête de ses hommes du GIGN ? Quant à Beau -lui qui, selon un commentateur de ses écrits « a honoré l’ordre de la légion d’honneur en l’intégrant »-, je présume qu’il n’est pas satisfait de cette relaxe. A n’en pas douter il se félicite toujours d’avoir été aussi virulent à son encontre. Sa hargne et ses excès sont inextinguibles… AVEC SON PASSé ET LES HORREURS QU’IL A SUR LA CONSCIENCE, BEAU MERITERAIT DE MARCHER A L’OMBRE !
Moins bien vu par le prolixte colonel Mourey qui, comme tant d’autres, a déjà été berné par Plenel et lui a apporté son soutien appuyé dans une Affaire que je connais bien pour avoir été témoin de sa naissance puis contribué à sa révélation explosive.
Il s’agit de l’Affaire des Irlandais de Vincennes que Plenel (entre autres) livra à la postérité sous forme mensongère. Ceci alors que je lui avais directement fourni les moyens d’accréditer ma thèse de témoin numéro 1. A l’époque, seule importait son acharnement à détruire son ennemi déclaré, François Mitterrand. Cette histoire, contée en détails, est lisible en allant sur Google et en tapant le gendarme durand denonce.
Ce scandale fit la gloire de Penel, bien qu’elle soit basée sur du mensonge et de l’imposture. Est-ce cela du journalisme d’investigation ? Non, non et non !!!
Par ailleurs vous souvenez-vous du temps où l’intéressé avait pondu des articles dans le Monde selon lesquels le PS français était financé par le produit de la drogue du dictateur Manuel Noriega ? Une fois déjà - ou encore ? - il ne s’agissait que de mensonges avérés par une enquête dont il n’est pas permis de mettre en cause l’impartialité.
Alors, les scoops de Plenel ? Tous méritent d’être examinés avec circonspection. C’est peut-être cette circonspection qui justifierait le long délai de décision reproché à Hollande et Ayrault avant qu’il ne se débarrassent du traître et menteur Cahuzac. Allez, il est trop facile à leurs opposant de voir dans ce temps perdu soit connivence, soit protection...
Parce que sortie de Mediapart,
nullement étayée par des preuves tangibles,les faits dénoncés méritaient d’être examinés avec grande circonspection.
Or, derrière ce site ayant Plenel à sa tête, une meute de journalistes aboie
dans son sillage. Pour ce lot de panurges aussi, Cahuzac ne peut être que
coupable. Ben voyons !
Paraît-il qu’un individu doit
être considéré comme innocent jusqu’à ce qu’une condamnation définitive le
frappe. Foutaise : Cahuzac est bel et bien livré à la vindicte
publique ! Tout comme sur la base de présomptions et d’accusations
infondées, la presse avait injustement amené Roger Salengro à se suicider.
Je suis navré de constater qu’un
grandnombre de commentateurs d’articles
parus ici et là se prennent pour des juges sans pitié, vouent Cahuzac au pilori
sur des présomptions de culpabilité. Que savent-ils, ces Fouquier-Tinville de
l’affaire ? Rien de plus que moi. Heureusement qu’ils ne servent ni dans
la Police, la Gendarmerie ou la Justice, car bien des innocents auiraient été
expédiés ad patres !
Pour ma part, j’attends la fin
du feuilleton avant, moi aussi, de « condamner » Cahuzac. Mon scepticisme n’a aucune
connotation politique. Il repose sur le fait que je connais Plenel et certaines
de ses œuvres :
Telle son accusation visant le
PS français prétendument financé par le produit de la drogue du dictateur
Noriega… telle sa prétendue « sortie » de l’Affaire des Irlandais de
Vincennes qu’il revendique haut et fort…telle la publication par l’un de ses
collaborateurs au Monde de l’interview déformé d’un officier supérieur de
Gendarmerie (qui dut se fendre d’une lettre de démenti pour échapper à des
poursuites en diffamation par la cible de l’époque : déjà l’Elysée).
C’est un peu tout cela (les
dérives de la presse moutonnière) qui se trouve consigné sur un site ayant pour
titre « le gendarme durand dénonce ».