L’anarchiste qui est en moi a tendance à exiger de l’autorité qu’elle fasse la preuve de sa légitimité et de son utilité avant d’être acceptée. Je ressent de moins en moins cette légitimité du point de vue des dirigeants politique. Je ne parle bien sûr pas de leur légitimité démocratique sortie des urnes, mais de la légitimité et de l’utilité du poste qu’ils occupent.
Et non ! « The World, the Flesh and the Devil » n’est pas adapté du roman de Richard Matheson. Mais c’est vrai qu’il y a pas mal de similitudes avec le « I Am Legend » de 2007 (la localisation à New York par exemple, alors que l’original est à Los Angeles).
« I Am Legend » avait déjà été adapté au cinéma avec Charlton Heston sous le titre « The Omega Man » en 1971. Mais la première adaptation est italienne et date de 1964 : « The Last Man On Earth » (« L’Ultimo uomo della Terra »), avec le toujours excellent Vincent Price, et constitue à mon avis la meilleure adaptation du roman, et la plus fidèle. Comme le montre l’auteur du présent article, la version 2007 dénature complètement le titre du roman.
C’est pour cela qu’au 20h, on nous ressasse les mêmes attentats, les mêmes guerres et conflits tous les jours (en prenant bien soin de « communiquer » la réalité selon le point de vue de nos dirigeants).
Tiens ça me rappelle le désormais célèbre « Islamic Rage Boy » qu’on peut voir dans quasiment toutes les manifs islamistes au Pakistan.
Pourquoi voit-on toujours ce même gars sur les photographies prises par les journalistes ? Parce que c’est ce qu’on appelle un « bon client ». Avec sa tête d’illuminé, il correspond parfaitement au fantasme du fanatique musulman véhiculé dans les médias occidentaux. Dans la vraie vie c’est certainement un traîne-savate quelconque qu’on doit rémunérer pour sa présence afin de gonfler les cortèges. Dans ce type de manipulation, tout le monde y trouve son compte, et les gogos abreuvés de JTs sauront « bien » voter aux prochaines élections.
Je connais quelqu’un qui a fait le tour du monde en auto-stop en passant par des coins « chauds » sans se faire égorger, vous imaginez ça ? Le seul pays où on l’a pris pour un fou : les USA.