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Emmanuel Guillot

Emmanuel Guillot

Journaliste et auteur, j’ai étudié deux ans les Lettres modernes à l’Université d’Aix-en-Provence avant de suivre une formation à l’Ecole Supérieure de Journalisme de Paris (ESJ).
En 1996 je débute en tant que secrétaire de rédaction dans un magazine d’insertion des travailleurs handicapés avant de m’orienter vers la critique de jeux vidéo, aussi bien sur PC que sur console. Mon parcours m’a conduit notamment à devenir chef de rubrique du magazine PC Team. Mon premier roman de science-fantasy, Le Souffle d’Aoles, est à commander sur mon site : http://emlguillot.free.fr/

Tableau de bord

  • Premier article le 08/08/2006
  • Modérateur depuis le 04/10/2008
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Derniers commentaires



  • Emmanuel Guillot Emmanuel Guillot 3 septembre 2006 12:46

    Merci, Gérard, ça a été un plaisir de faire votre connaissance. On peut consulter votre site à l’adresse http://perso.orange.fr/bouyer.gerard/ , je crois. Longue vie au Soir de Véga et bon courage pour Alamar !



  • Emmanuel Guillot Emmanuel Guillot 9 août 2006 19:56

    Bonjour,

    Je n’ai pas évoqué l’enseignement car je suis davantage en prise avec les domaines de l’imaginaire, mais vous avez entièrement raison : lulu peut constituer un moyen formidable pour n’importe quel étudiant voulant transformer sa thèse en livre, ou pour n’importe quel enseignant qui désirerait écrire un ouvrage. Les universités ont déjà parfois leurs moyens propres de reliure/impression, mais c’est une corde supplémentaire à leur arc. A ce propos, j’ai été surpris de voir que mon ouvrage avait été acheté en deux exemplaires par une école américaine. Ils ont sans doute trouvé que lire de la science-fiction pouvait être un moyen plaisant d’apprendre le français...



  • Emmanuel Guillot Emmanuel Guillot 9 août 2006 19:46

    Oui, j’ai demandé la distribution globale à 100 dollars et je suis effectivement chez amazon.com. Le numéro ISBN est effectivement donné par lulu à partir du moment où on acquiert la distribution globale à 100 dollars. Lulu place également un code-barre sur le dos de la couverture du livre (à ce propos, j’ai trouvé la mienne parmi celles offertes sur leur site et j’en suis très content, il s’agit d’une des nouvelles galaxies découvertes par Hubble).



  • Emmanuel Guillot Emmanuel Guillot 8 août 2006 23:13

    Merci ! Une fois le livre édité, il est vendu sur le portail de lulu.com, le site mettant à la disposition de chaque auteur une page telle que celle-ci : http://www.lulu.com/content/234548 Avec l’option de distribution globale (100 $), il est également vendu chez des libraires en ligne comme Amazon.fr ou Barnes & Noble. Il revient à l’auteur d’assurer s’il le souhaite la présence de son livre en librairie physique en assumant lui-même les risques tels le retour des invendus. En effet, lulu considère l’auteur comme son propre éditeur : en échange de la publication de son livre, ce site ne pose aucune autre condition que le versement automatique de 20% des droits d’auteurs pour les livres achetés par des personnes autres que l’auteur via son site. Il faut savoir que l’auteur peut tout à fait commander par exemple 100 livres à l’imprimeur via l’interface de lulu en ne les payant que le prix de fabrication, puis les revendre lui-même sans que lulu ne touche rien sur ses droits d’auteur. Evidemment l’auteur a tout intérêt à ce que les lecteurs viennent acheter directement chez lulu, pour ne pas avoir à gérer tous les problèmes de distribution/stockage.



  • Emmanuel Guillot Emmanuel Guillot 8 août 2006 23:00

    On peut effectivement penser que l’édition en ligne de type « faites-le vous-même » risque de faire disparaître des métiers comme maquettiste, relecteur dans une maison d’édition ou typographe. Je dirais que d’une part, à chaque innovation technologique des métiers disparaissent, mais de nouveaux métiers peuvent également naître, d’autre part, l’édition en ligne représente un nouveau marché de niche pour les imprimeurs et peut en ce sens créer des emplois. Et puis les nouveaux artistes qui naîtront avec l’édition en ligne auront toujours besoin en connaissant le succès de techniciens ou de relecteurs à un moment ou à un autre. Lulu leur permet de s’exprimer et ils peuvent enfin échapper à l’emprise de l’édition à but strictement commercial.

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