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eugene

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.Je vis à la campagne, dans l'argoat, .. Je viens peut être d'un autre temps, bien que je regarde toujours avec plaisir par la fenêtre ce monde qui bouge. L'âge donne un certain confort un détachement, et une ironie, envers le monde des courtisans et des futiles. L'essentiel est ailleurs ! 
 

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  • eugene eugene 16 août 2016 15:21
    Ce n’est pas la tenue en elle même qui pose problème, c’est bien sur sa signification...Aller à la plage habillé en Belféghor n’aurait qu’amusé les gens il a 20 ans, ou peut être attriste, croyant avoir affaire à un malade ayant une allergie au soleil.
    Ce burkini n’est bien sûr qu’une grosse provocation de plus, un gros caca posé sur l’écume de la mer jolie..... Un peu comme si vous tentiez de rentrer en sabots cloutés dans une mosquée...Comment les plagiste à Nice pourraient ils admettre de voir ces fantômes plonger dans les vagues, sans se sentir insulter., après ce qu’il c’est passé sur la promenade des anglais...
    C’est bien sûr orchestré par les salafistes, dans un savant calcul d’avancées insidieuse des pions, avec le but évident de remonter la population, la guerre civile restant l’objectif de ces gros cons......Donc rester ferme, sans s’enerver, mais l’interdiction doit être la règle.....La raison qu’on doit évoquer :, ou plutôt les :
    - Trouble évident à l’ordre publique.
    - Tentative d’investir l’espace public de signes religieux, oh combien ostentatoires. 
    Hors ça, l’instrumentalisation et le mépris de la femmes est massif, surtout quand on sait ce que toute cela représente, dans des sociétés archaïque, où les progrès des 30 dernieres années ont été balayés par de gros cons de barbus qui n’avaient qu’un but : Le pouvoir, la mise en coupe de toute une société par le régime de la terreur


  • eugene eugene 16 août 2016 15:06

    Ils ne sortiront pas, t out simplement. Déjà la presse prépare l’opinion à un retard, la sortie ne serait actée qu’en 2019...Les effets sur la livre se font sentir, qui a chuté de 10%, gageons que cela ne va pas s’améliorer. Encore un an, et plus personne ne se rappellera d’avoir voté pour la sortie...La boite de pandorre va bientôt se refermer, ce n’était qu’une théière avec de l’eau tiède.



  • eugene eugene 15 août 2016 19:40

    Bon article

    Un petit article riche de sens, à lire et aussi à méditer, et sans doute à reproduire, comme les graines de mère nature....... « Tomates sans arrosage ni pesticides » http://bit.ly/2aOt9N1



  • eugene eugene 13 août 2016 23:35

    L’argent salie tout ce qu’il touche, à plus forte raison quand il promet une rallonge aux vainqueurs. De nos jours Faust donnerait son âme au diable pour avoir une médaille olympique. 

    Dommage, c’est si sympa de faire un sprint sur une route déserte, ou de jouer à la balle avec des copains !

     Le bonheur des innocents est une idée trop simple et pas rentable. 
    Sportifs de haut niveau= grand malade dans un corps pas très sain...

    Quand à l’esprit, sauf exception, c’est pas plus brillant....
    Qui a envie de verser une larme pour le petit Manaudou a qui un méchant a volé sa médaille d’or !


  • eugene eugene 11 août 2016 21:11

    @howahkan Hotah
    Ecrire fait un brin fou.

     C’est comme de faire de la barre fixe autour du soleil. Juste un crayon, et vous levez des empires, vous chevauchez les nuages, vous devenez voyant, vous convoquez le passé et l’avenir sur une ligne de départ où il n’y a ni course, ni médaille....
    Juste un zeste de sérénité après l’accouchement. 
    Que chacun peut expérimenter à sa manière. Comme vous le savez, je pense, c’est l’exigence du regard qui vous fait, qui transcende la réalité, et vous fait voir au delà des apparences
     J’ai écrit ce truc extrait d’ une sorte d’opus d’une quinzaine de pages, que j’ai sorti plus ou moins d’un trait, il y a quelques jours, justement sur ce thème du passage des années 70, décennie assez bénite. 
    On sait ce qui s’ensuivit, comment les monde modifia imperceptiblement ses paradigmes, avant d’arriver là où nous en sommes
    Cette farce du Pokémon était c’est vrai envisagé par les auteurs de SF. 
    Une prothèse pour des cerveaux disponibles aux publicitaires aux politiciens et à toutes sortes de gourous, se frottant les mains devant les opportunités de marché offertes. Le marché, le grand mot....Une folie totalement déconnectée de la réalité du monde qui nous entoure, qui s’épuise, se banalise. Et voilà les nouveaux zombies qui défendent les maîtres qui les ont fait esclaves ; 
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