On peut parler sans fin des inégalités, du systeme capitaliste, des riches, des pauvres.
Dans 20 ans le pétrole sera très rare et très cher, donc les engrais, le gas oil pour les tracteurs, donc la nourriture dont la culture efficace ne peut être menée sans pétrole.
La Terre ne pourra pas alors nourrir plus de quelques milliards de personnes, alors qu’aujourd’hui, avec une agriculture au rendement maximal, un tiers de l’humanité ne mange pas à sa faim.
Certes les inégalités y sont pour quelque chose, mais demain ce ne pourra être que bien pire : il y aura beaucoup beaucoup moins à manger à partager entre plus de bouches.
Nos états Européens, la France en particulier, doivent abandonner leurs politiques natalistes démagogiques, et adopter un véritable contrôle des naissances : sanction des familles trop nombreuses qui ne laissent pas la place pour les autres.
Si vous n’acceptez pas celà, vos enfants et vos petits enfants crèveront de faim et seront envoyés à la guerre par l’élite, les uns contre les autres.
Ca s’est deja produit chaque fois qu’il y a eu manque de ressources, et là aussi inéluctablement ça tournera au chacun pour soi et aux guerres à répétition.
Oui, mais, pour les trente ans à venir nous assisterons au lent épuisement des ressources pétrolières : rareté----> augmentation mathématique des prix de l’énergie. Rappelons que les alternatives aux énergies fossiles sont toutes actuellement 5 à 6 fois plus chères, donc largement subventionnées
Or, qu’est-ce qui a permis de multiplier par 6 ou 7 la productivité agricole, sinon la mécanisation tributaire de l’énergie et les engrais chimiques, essentiellement ; une meilleure science de l’agriculture, accessoirement. (les anciens, qui développaient et se passaient des recettes empiriques de Père en Fils, n’étaient pas non plus des benêts).
Or les engrais chimiques sont composés de quelques pouièmes d’oligo éléments nutritifs, de quelques pour cents de sels minéraux, et pour la plus grande partie d’énergie tirée du pétrole, souvent sous forme de nitrates. (nitrate+autre= combustible ou explosif).
C’est bien, donc une quantité phénoménale d’énergie en plus de celle, modeste en comparaison, du soleil que l’on injecte dans les champs pour faire pousser plus et plus vite les cultures.
C’est essentiellement grâce à cette énergie pas chère que nous obtenons de bons rendements à l’hectare.
Diminuons cette quantité d’engrais tirés du pétrole, le rendement diminue dans les mêmes proportions.
oh, certes, nous ne retournerons pas tout à fait au moyen âge, mais à cette époque la Terre nourrissait difficilement moins d’un millions d’habitants.
Quant à en nourrir 9 millions sans pétrole pour les tracteurs ni engrais, déja que de nos jours un tiers de la planète de mangent pas à leur faim, je trouve celà très optimiste.
Maintenant, il risque d’être difficile d’éviter de foncer droit dans le mur, car nous heurtons des intérets religieux et financiers.
Ne serait-ce que ceux qui, sur ce site, craignent qu’on leur sucre les allocations familliales dans le cadre d’un abandon en France de la politique d’encouragement à la natalité.
Avoir tout prévu, les allocs, les réductions d’impôts, les réductions diverses pour famille nombreuse et se faire baiser par un changement de politique, ça ce serait trop dur, alors !
Oui, mais, pour les trente ans à venir nous assisterons au lent épuisement des ressources pétrolières : rareté----> augmentation mathématique des prix de l’énergie. Rappelons que les alternatives aux énergies fossiles sont toutes actuellement 5 à 6 fois plus chères, donc largement subventionnées
Or, qu’est-ce qui a permis de multiplier par 6 ou 7 la productivité agricole, sinon la mécanisation tributaire de l’énergie et les engrais chimiques, essentiellement ; une meilleure science de l’agriculture, accessoirement. (les anciens, qui développaient et se passaient des recettes empiriques de Père en Fils, n’étaient pas non plus des benêts).
Or les engrais chimiques sont composés de quelques pouièmes d’oligo éléments nutritifs, de quelques pour cents de sels minéraux, et pour la plus grande partie d’énergie tirée du pétrole, souvent sous forme de nitrates. (nitrate+autre= combustible ou explosif).
C’est bien, donc une quantité phénoménale d’énergie en plus de celle, modeste en comparaison, du soleil que l’on injecte dans les champs pour faire pousser plus et plus vite les cultures.
C’est essentiellement grâce à cette énergie pas chère que nous obtenons de bons rendements à l’hectare.
Diminuons cette quantité d’engrais tirés du pétrole, le rendement diminue dans les mêmes proportions.
oh, certes, nous ne retournerons pas tout à fait au moyen âge, mais à cette époque la Terre nourrissait difficilement moins d’un millions d’habitants.
Quant à en nourrir 9 millions sans pétrole pour les tracteurs ni engrais, déja que de nos jours un tiers de la planète de mangent pas à leur faim, je trouve celà très optimiste.
Maintenant, il risque d’être difficile d’éviter de foncer droit dans le mur, car nous heurtons des intérets religieux et financiers.
Ne serait-ce que ceux qui, sur ce site, craignent qu’on leur sucre les allocations familliales dans le cadre d’un abandon en France de la politique d’encouragement à la natalité.
Avoir tout prévu, les allocs, les réductions d’impôts, les réductions diverses pour famille nombreuse et se faire baiser par un changement de politique, ça ce serait trop dur, alors !
Oui, mais, pour les trente ans à venir nous assisterons au lent épuisement des ressources pétrolières : rareté----> augmentation mathématique des prix de l’énergie. Rappelons que les alternatives aux énergies fossiles sont toutes actuellement 5 à 6 fois plus chères, donc largement subventionnées
Or, qu’est-ce qui a permis de multiplier par 6 ou 7 la productivité agricole, sinon la mécanisation tributaire de l’énergie et les engrais chimiques, essentiellement ; une meilleure science de l’agriculture, accessoirement. (les anciens, qui développaient et se passaient des recettes empiriques de Père en Fils, n’étaient pas non plus des benêts).
Or les engrais chimiques sont composés de quelques pouièmes d’oligo éléments nutritifs, de quelques pour cents de sels minéraux, et pour la plus grande partie d’énergie tirée du pétrole, souvent sous forme de nitrates. (nitrate+autre= combustible ou explosif).
C’est bien, donc une quantité phénoménale d’énergie en plus de celle, modeste en comparaison, du soleil que l’on injecte dans les champs pour faire pousser plus et plus vite les cultures.
C’est essentiellement grâce à cette énergie pas chère que nous obtenons de bons rendements à l’hectare.
Diminuons cette quantité d’engrais tirés du pétrole, le rendement diminue dans les mêmes proportions.
oh, certes, nous ne retournerons pas tout à fait au moyen âge, mais à cette époque la Terre nourrissait difficilement moins d’un millions d’habitants.
Quant à en nourrir 9 millions sans pétrole pour les tracteurs ni engrais, déja que de nos jours un tiers de la planète de mangent pas à leur faim, je trouve celà très optimiste.
Maintenant, il risque d’être difficile d’éviter de foncer droit dans le mur, car nous heurtons des intérets religieux et financiers.
Ne serait-ce que ceux qui, sur ce site, craignent qu’on leur sucre les allocations familliales dans le cadre d’un abandon en France de la politique d’encouragement à la natalité.
Avoir tout prévu, les allocs, les réductions d’impôts, les réductions diverses pour famille nombreuse et se faire baiser par un changement de politique, ça ce serait trop dur, alors !