eh bien allons y :
(la petite dame aidait les clandestins à recharger leurs portables)
"Une femme policier m’a demandé "Alors, ça s’est bien passé le concours de colombophilie de votre mari ?" C’était une conversation que j’avais eu avec des bénévoles de l’association quelques jours plus tôt au téléphone. Je suis tombée des nues ».
Ils posent des questions sur les migrants, un par un. Comment s’appelle-t-il ? Depuis combien de temps est-il là ? « Ils m’ont dit "vous faites ça pour la bonne cause, mais il faut faire attention à ne pas aider les passeurs". Il m’ont dit que je pouvais continuer à recharger les portables, mais pas ceux des passeurs, ceux qui sont bien habillés, et qui sont là depuis longtemps. Moi je ne m’occupe pas de ça ? J’aide les gens sans poser de questions ». Vers 14h30, les policiers lui annoncent que son « fan-club » est dehors. « C’était une cinquantaine de personnes qui étaient venues me soutenir ». Elle est libre vers 17h. Sans charges, ni mise en examen. "
Vous avez raison. Ce sont vraiment des méthodes de gestapo, la baignoire de Barbie n’est rien à côté de pareils sévices et vraiment nous nageons en plein dictature...
Et les passeurs qui escroquent des milliers d’euros à ces malheureux en échange d’un illusoire paradis, on leurdonne quoi ? l’ordre du mérite "humaniste" ?
oh non ca ne commence jamais comme çà ! auriez un exemple probant ?
Je n’ai pas eu vent, récemment en France, de mouvements insurrectionnels ayant pris le pouvoir, de ’nuit de cristal’, d’interdiction d’association réclamant les régularisation, de censure objective, de tout ce qui fait les signes avant coureurs de telle ou telle dictature.
Les abus de pouvoir, judiciaires et policiers existent à n’en pas douter. Mais 1- cela n’a rien de commun avec les massacres historiques que vous évoquez, ni même leurs signes avant coureurs, 2- l’état d’intensive communication dans lequel nous sommes interdit toute oblitération de leur dénonciation.
Alors un peu de calme, et moins d’hystérie dans vos contradictions... (cela ne s’applique pas à vous mais au jon d’oeuf et autres emile red...)
PS : désolé pour la floppée de caractères parasites mais à priori le logiciel ne gère pas le copier/coller depuis word...
A comparer l’incomparable on s’expose au mieux au ridicule au pire à l’infamie. Vos véhémences s’auto-disqualifient et votre humanisme de pacotille emprunte au plus télévisuellement correct des bonnes âmes des bobos quartiers. L’auteur cite la shoa mais aussi le goulag. On pourrait également, pourquoi pas, évoquer Pol Pot ou le Rwanda c’eut été tout aussi raisonnable.
Peut-on mettre en parallèle tant d’infinies souffrances, des dizaines de millions de morts ou le risque vital d’aider un enfant juif pendant l’occupation et l’amende hypothétique qu’encourt celui qui enfreint une loi démocratiquement votée ?
Relisez l’article… il ne s’en prend pas à la dénonciation de certaines souffrances, mais à l’odieuse confrontation entre l’extermination, dans l’ombre, de tel ou tel peuple et des opérations de police tout à fait légales et sous l’œil infatigable des caméras.
A vous lire, je ne vous crois pas expert en chevalerie et bien mal armé pour en discourir.
Votre ton et vos insinuations personelles vous stigmatisent.
La dignité, (mais vous est-elle familière ?) ne commande pas qu’on se laisse envahir par la misère et la dégradation, mais qu’on la combatte, dès son origine, avec son coeur, avec son sang, davantage avec des actes qu’avec des mots sans regard.
Vous ne voyez pas de différence entre des policiers qui, en faisant respecter une loi qu’appliquent tous les états libres et "démocratiques", protègent cette liberté, et les rafles vers l’horreur définitive sans jugement et sans rémission ?
Votre malheureux grand père, dans quelque paradis qu’il soit, doit rougir de vous et c’est lui qu’à présent vous insultez !
Vous parlez de "crasse" et de "puanteur" lorsqu’on évoque déportation, extermination, négation d’humanité.
Calmez votre odorat et ouvrez les yeux !
La tyrannie et la barbarie sont souvent les fruits de tels emportements, de pareilles certitudes.
De certaines tartufferies affleurent certaines lâchetés. Vos rappels à l’Histoire souffrent d’une totale ignorance et l’infamie transparait dans certaines comparaisons.
Ecrire qu’ "Il n’y a d’échelle ni dans la cruauté ni dans la misère" est d’une confondante ineptie. Il y a de petites cruautés infantiles, de vilaines cruautés de voisinage et de monstrueuses cruautés historiques. En les confondants vous vous ridiculisez.
Quant à la misère demandez à un petit africain affamé, le ventre ballonné s’il ne fait pas de différence avec l’abonné au resto du coeur(qui a également toute ma solidarité...)
En confondant le destin du voyageur aventureux qui cherche de meilleures terres sans y avoir été invité, et le calvaire sans rémission des déportés arrachés à leur vie et à leur pays, c’est, une fois encore, votre malheureux grand père que vous insultez.