Je m'appelle Florian, dessinateur industriel de profession
Passionné d'histoire et de géographie depuis l'enfance
Je m'intéresse principalement à la géopolitique, à l'ethnologie et à l'évolution du monde en général
L’indifférence médiatique n’empêche pas de constater ce qui tient en haleine le bon peuple.
Déjà 130 commentaires pour répondre à un article faisant état de faits divers partagé sur les réseaux et seulement 3 à 5 sur des sujets bien plus sérieux mais trop techniques
Je profite de cet carte génétique pour y faire quelques remarques hors-sujet mais importantes.
On s’aperçoit que la Grèce, l’Albanie et l’Italie du sud ont des appartenances génétique à dominante Proche-Orientale et Nord-Africaines.
Ce qui voudrait dire que la Grèce a connu un afflux important de populations en provenance de l’Anatolie et de l’Egypte au début de l’antiquité. Ce qui explique les nombreuses références à ses régions voisines dans l’archéologie littéraire.
L’Italie a la particularité de connaitre en son sein des appartenances génétiques minoritaires très diverses. Il y a du avoir un apport important de main œuvre à l’époque romaine, notamment des esclaves issue des nombreuses conquêtes.
Intéressant lien avec les haplogroupes, j’ai découvert ses travaux génétique depuis 1 an et demi et je m’informe régulièrement sur l’avancement de ses recherches.
Toutefois, je pense que ses différences sont plus liés à l’Anthropologie, particulièrement aux structures familiales.
Comme je l’avais déjà dit en commentaire d’un autre article.
« Les pays à famille souche ( Valeur autoritaire et inégalitaire ) que sont les pays Germaniques et d’Asie-Pacifique gèrent beaucoup mieux cet crise sanitaire que les pays à famille nucléaire ( Valeur libéral et égalitaire ) que sont les pays de l’arc Méditerranéen et de la façade Atlantique ».
Je suis sûr que notre spécialiste en chef, à savoir Emmanuel Todd, commencera la rédaction d’un ouvrage à ce sujet quand les bilans seront définitifs.
Bien sur, la proximité avec les principales voies de communication de la globalisation, portes d’entrée de la contagion, joue aussi.
Milan, Madrid, Paris, Londres, New York sont toutes des capitales financières et des transits importants de mouvement de population.
Le Portugal est très en retrait de la mégalopole économique européenne qui s’attire de l’Italie du Nord à l’Angleterre du Sud-Est
Mais c’est une problématique qui ne s’arrête pas à la dernière vague des nouveaux venue.
Depuis que l’homme et l’homme, il n’a eu de cesse de s’enfoncer davantage dans le déni, le mensonge et la perdition.
Au fur et à mesure qu’il découvrit l’étendue de ses possibilités et de ses réalisations, il n’a eu de cesse de les chérir et de rejeter le réel qui lui devenait trop pesant.
Et ce comportement s’est accéléré avec l’exponentielle performance technique, ce qui fait que le passage d’une génération à l’autre saute aujourd’hui de plus en plus aux yeux.
Comme si il suffisait de dégager un homme pour que la société idéale advienne. De Gaulle aura laisser un grand malheur comme héritage, celui du mythe de « l’homme providentiel » qui empêche d’imaginer une prise de main responsable de la multitude.