Cet article va rendre fou les féministes ! Il y a une énorme hypocrisie dans ce domaine. Il y a des beaux discours, mais dans la réalité on voit bien que les hommes sont toujours très attirés par l’aspect visuel des femmes et que les femmes apprécient encore beaucoup la position sociale des hommes même si il y a bien sûr des exceptions. Le politiquement correct veut nous faire croire que les femmes et les hommes sont absolument identiques et que les seules différences sont dues au conditionnement culturel. Si on reconnait que certaines différences sont dues à la biologie et à l’évolution de l’espèce, cela veut dire que dans le passé les rôles joués par les hommes et le femmes n’étaient pas du uniquement à l’oppression des hommes. Je conseille de voir la série Hjernevask du sociologue norvégien Harald Eia. Dans son épisode ’The Gender Equality Paradox’, il montre que dans la Norvège, un pays qui se veut le champion de l’égalité homme-femme, la disparité homme/femme dans les métiers est encore plus grande que dans les autres pays européens. Pourquoi ? Parce que quand les conditions économiques et culturels sont favorables dans des pays modernes (je ne parle pas des pays religieux), les femmes et les hommes préfèrent exercer souvent les métiers qui sont en accord avec leur conditionnement biologique. Après cela ne veut pas dire qu’on ne reconnait pas que les hommes et les femmes sont égaux. Mais il ne faut pas confondre être identique et égal. Les êtres humains sont des êtres conscients en évolution qui ont la possibilité de transcender leurs limitations biologiques, mais reconnaissons que celles-ci sont encore très présentes et que c’est très difficile d’être totalement libre de notre part animal.
Alors j’avoue, oui, j’avoue et je reconnais volontiers que je suis atteint d’un syndrome très connu : celui du canari dans la mine. Vous savez, cet oiseau que les mineurs emportaient pour les prévenir du gaz méthane qui s’échappait du charbon, un gaz incolore inodore et indétectable.
Lorsque que le canari s’endormait, ou mourait,
il était temps de sortir.
Je suis désolé pour toutes les personnes qui approuvent ce régime de dictature sanitaire, sincèrement, car je pense qu’elles ont perdu leur sens commun, leur bon sens, leur faculté de juger et de discriminer. Et je le pense sincèrement. Ces personnes qui en insultent d’autres sont en réalité atteintes d’un autre virus bien plus toxique, celui de l’intoxication médiatique et du formatage des cerveaux alimenté et entretenu par la propagande médicale et politique anxiogène et contre lequel il n’y a aucun remède ni aucun vaccin.
Ce masque qu’ils exigent parfois avec violence au nom de leur santé en masque en réalité un autre, celui qui voile leur conscience et surtout leur liberté de conscience, de penser, d’apprécier et d’évaluer correctement la situation, celui qui voile la raison au profit du fantasme de la maladie mortelle qui rode à chaque coin de rue, celui de la peur panique d’être contaminé par la peste.
D’abord il y a eu un virus. Ensuite des malades, puis des morts. Comme chaque année à la même saison, cette année l’aire des morts aura juste été plus concentrée sur une plus courte période. Mais au total, comparé aux pics épidémiques annuels et saisonniers ? Prenez la peine honnêtement de regarder un graphique de santé publique étalé sur les dernières années.
C’est la visibilité de cette épidémie qui a choqué les consciences et construit une image, une représentation erronée de la réalité, une discordance, ce sont les discours et les messages changeants, les injonctions contradictoires et paradoxales, les conflits d’intérêts de toute catégorie, l’instrumentalisation, la récupération et l’exploitation politiques de l’épidémie qui ont brouillé la lisibilité correcte et rationnelle de cet épisode.
Oui il y a eu une épidémie due à un coronavirus dont l’origine demeure mystérieuse pour moi et pour d’autres.
Oui les plus fragiles et les plus âgés en ont été victimes. Soit. Et alors ? Est-ce une raison suffisante pour imposer ce régime de dictature sanitaire totalement disproportionné au moment où nous avons besoin de légèreté et d’air ?
Est-ce une raison pour enfermer et astreindre toute une population au moment où rien ne le justifie lorsqu’on regarde les courbes des hospitalisations et des décès ?
Et après ?
Le contrôle électronique et numérique des contaminés ?
Des codes de couleurs ?
Un bracelet électronique pour les pestiférés ?
Et puis pourquoi faire croire que ce régime prendra fin avec un vaccin alors que l’on sait parfaitement bien qu’aucun vaccin contre un coronavirus n’a jamais vraiment fonctionné ? Si les vaccins contre la grippe saisonnière fonctionnaient massivement, on le saurait me semble t-il. A t-on éradiqué la grippe avec un seul vaccin ?