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franchamont

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Français, soixantaine, emploi et occupations dans les montagnes suisses, apprécie ses habitants et la vie tranquille qui lui laisse le temps, le cœur et l’esprit de s’intéresser au monde qui change, d’un œil un peu distant mais peut-être moins conditionné. J’aime les voyages, l’Asie, la Grèce, le monde arabe et la force des paradoxes. Je crois en un nouveau paradigme qui nous sortira du marasme au travers de sources d’énergie inattendues et d’une philosophie libertarienne humaniste. La Terre regorge de déserts que ses enfants conquerront.

Tableau de bord

  • Premier article le 04/11/2010
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Derniers commentaires



  • franchamont franchamont 3 octobre 2011 18:44

    @ Montagnais, @babadjinew, ouais, mais faites gaffe à pas vous faire récupérer par...


    ... celui qui disait « Yes we can » et vous promettait la paix et le bonheur. Le rat pantin et ammaigri de Wall Street va essayer de se regonfler les bajoues en criant maintenant « Down with the rich ». Il en espère encore pour ses sondages et conserver ainsi sa candidature démocrate. Ce mec est une ordure.

    La manipulation des masses est chose courante, ça vaut le coup de s’informer avant de s’engager dans tous ces mouvements flous.


  • franchamont franchamont 3 octobre 2011 08:06
    Occupy Wall Street est une opération de grand bluff afin de dévoyer la véritable bataille.


    Occupy Wall Street aurait été lancé par le site web Adbusters, lui-même financé par la fondation de la multinationale Tides elle-même liée au groupe Soros. Qu’est-ce que vous en dites. Une opération psychologique ? Bien sûr.

    Pourquoi ne font-ils pas une marche contre la Fed (Federal Reserve) ? Contre ce cartel de banques privées (et non pas un organe du gouvernement) qui est le responsable #1 de tous les problémes financiers liés au USD. Wall Street, certes un nid de crabes, n’est pas le meilleur objectif du tout.

    Pourquoi soudain tant de publicité dans la presse-titution comme Libération ou le Nouvel Observateur ? Alors que leurs foliculaires sont interdits de parler de la vérité sur la Federal Reserve !

    C’est clair, il s’agit bien avec Occupy Wall Street d’une manoeuvre de détournement de l’attention américaine et mondiale, une opération de guerre psychologique, afin de préserver la Fed alors que le peuple commence à comprendre ce qu’elle est -grâce à Internet essentiellement ; alors que le représentant Ron Paul candidat aux primaires républicaines, libertarien, qui n’a jamais trahit ses opinions depuis ses débuts, dénonce la Fed, veut l’abolir, et grimpe à grands pas dans les sondages.



  • franchamont franchamont 1er octobre 2011 02:05

    Montagnais, voilà un article assez naïf de ton et de contenu. Car c’est bien joli ce mouvement et la critique du système financier : on sera tous d’accord avec vous, mais que proposez-vous ? Où allons-nous, que faisons-nous ? Où sont l’éducation politique et financière, où sont les propositions concrètes, quelles revendications, quel programme pour changer de paradigme ?

    Vos liens auraient pu mentionner les nombreuses vidéos et articles qui exposent l’escroquerie multi-centenaire du système bancaire et les raisons de la crise actuelle. Vos liens auraient pu mentionner des sites d’économistes et d’experts ou politiciens visionnaires proposant des alternatives. Vos liens auraient pu mentionner Alex Jones, et ces fréquents invités, tels Max Keiser, Paul Craig Roberts, John Perkins, Webster Griffin Tarpley, Bob Chapman, pour ne citer que quelques noms du nouveau courant révolutionnaire dans le monde anglo-saxon, sans oublier bien sûr le candidat aux primaires pour la présidence , Ron Paul, lequel réclame depuis longtemps l’audit et la suppression ou la nationalisation de la Federal Reserve, ainsi qu’une saine remise à jour de la finance des Etats-Unis et la fin de toutes les guerres.

    Mais que nenni, votre article fait fi de tout ce qui remue le plus, en ce moment et dans le fond, l’opinion américaine. Votre attitude est extrêmement suspecte. Essaieriez-vous de nous détourner de l’essentiel du problème en nous distrayant avec les aspects futiles de ces actions de rue ? Je ne les désapprouve pas d’ailleurs, mais encore faudrait-il qu’elles enseignent quelque chose et présentent des revendications précises. Ce mouvement, il me semble, tout comme votre article, est vide au regard des questions essentielles posées. Cela risque bien de l’amener aux mêmes échecs et déceptions que le « printemps arabe ».

    Sans éducation du peuple, sans programme, sans visées claires, sans organisation, sans dirigeants dédiés à mener le combat dans une direction bien définie, ce mouvement, provoqué et manipulé probablement par avance par quelques agents du système afin de le désamorcer très tôt avant qu’il ne puisse spontanément surgir des masses, risque fort de retomber dans l’escarcelle des plus grands manipulateurs eux-mêmes, ceux qui contrôlent Wall Street.

    Dans les pays arabes -puisque nous venons de faire le parallèle- la révolte mal organisée du printemps aboutit aujourd’hui à la plus grande déception. Qui seront les bénéficiaires de cette révolte avortée ? Eh bien ! les Frères Musulmans pardi, liés au MI6 et à la CIA, et quelques généraux sous la coupe de Washington ! Les égyptiens sont bien avancés n’est-ce-pas ?

    Alors qui donc dans le monde de la finance tirera les marrons du feu d’une révolte sans direction ? C’est évident : ce seront les plus grands terroristes de Wall Street, comme ceux de la clique de George Soros. Cet individu est fort connu pour semer le chaos monétaire, pour développer les "transactions à haute fréquence« et pour »financer et émuler" ce style de pseudo-révolution à l’égyptienne à l’aide d’activistes formés à la magie fusionnelle de twitter et de facebook, dans ses instituts ou autres « think-tanks ».

    Après un « printemps de la finance » récupéré par les George Soros, Noam Chomsky et autres Michael Moore, ces derniers s’accoquineront toujours pour nous imposer une société « socialiste » soit-disant régulée, voire même la fin du capitalisme. Nous n’y auront plus de liberté individuelle et collective et Wall Street reprendra de plus belle, en douce dans ses « dark pools », hors de la vue du plublic, les jeux de casino qui dévastent le monde. Autant en demander la recette au régime chinois.



  • franchamont franchamont 11 septembre 2011 22:57

    Bon, comme tout le monde qui est un peu averti,  vous constatez ce qui ne va pas avec ce système financier. Hélas je ne vois pas où vous voulez en venir question changements ! Vos propositions me paraissent bien timides.

    On a tous compris qu’on s’est fait pirater par les banques privées depuis le jour où elles existent, et ça fait bien longtemps. Le piratage bancaire a commencé dès lors que, mettant en coffre des monnaies trébuchantes et des métaux précieux déposés par des clients, les banques se sont mises à prêter ces quantités en dépôt, multipliées par dix ou bien plus, sous forme de bons puis de billets de banque, aux mêmes clients ou aux autres clients et cela à des taux d’usure. Les banquiers ne gardent qu’une petite fraction en garantie (voir aussi cette video). C’est l’arnaque fondamentale. Elle date du Moyen Age. Il est temps d’y mettre fin. Les gens sont éduqués aujourd’hui et en quelques années de cette crise qui dure, ils ont tout compris.

    Il faut donc faire cesser le système bancaire à réserve dite « fractionnaire ».

    De plus, retour à l’étalon or (or bancaire marqué dans sa masse par un procédé de technologie avancée, différenciant ainsi de l’or de joaillerie ou technologique).

    Comme cet or bancaire aura un prix extrêmement plus élevé qu’à présent, il couvrira très largement la masse monétaire. On pourra l’inclure dans des billets de banque ou des pièces de monnaie transparentes et on pourra mesurer instantanément le poids précis de l’inclusion avec de petits appareils. On en aura suffisamment pour interdire le système « fractionnaire », source des profits injustes des banques. L’or bancaire qui ne sera pas en circulation sera préservé dans le rapport 1/1 en relation à la masse monétaire au moins jusqu’au niveau M3 (larges dépôts au long terme).

    Enfin, on fera mieux de n’avoir que des banques d’état publiques (une seule par état, canton, province, région) contrôlées par le peuple. Loyer de l’argent à prix juste et le même pour tout le monde. Intérêts nuls aux états afin d’assurer le financement des grands travaux et institutions d’utilité publique.

    Ce que je décris là est une véritable révolution financière. Les réformes que vous proposez (taxer et « réguler » la spéculation) ne feront guère mieux que les réformettes de parade de ceux que vous critiquez. Il faut un grand changement structurel et tout simplement supprimer la Bourse. Si vous avez de l’argent à investir, vous le ferez directement auprès des entreprises en vous y engageant de manière pratique avec voix au conseil.

    Le système de la finance est une autoroute. Il doit rester, comme ces dernières, entre les mains des usagers par le biais de la collectivité (hélas pour le peuple de France qui s’est fait avoir avec des autoroutes à octroi).



  • franchamont franchamont 5 septembre 2011 12:50

    Article qui dit des choses justes pour ce qui est des mesures immédiates. Mais rien n’est dit sur une nouvelle forme de société où le pourrissement actuel sera rendu impossible.

    On aimerait déjà penser à ce que sera le « nouveau paradigme » -comme on dit si bien- qui, de la mort tant du socialisme que du libéralisme, devra faire la synthèse pour un nouvel équilibre de la société, au travers de la paix et d’une grande justice.

    Tout d’abord, pour éliminer toute confusion, il faut dire que le monde sera toujours capitaliste. Si vous possédez votre petite entreprise, même à la maison, vous posséderez un capital et vous le défendrez. Se dire « anti-capitaliste » est donc une absurdité.

    Ensuite, si votre affaire marche bien et que vous avez besoin de fonds pour la développer et créer des emplois,

    • soit vous emprunterez pour quelque temps à la banque publique -oui je dis bien « publique » c’est-à-dire appartenant en majorité à l’État dans lequel vous résidez et auquel vous élisez des représentants ;
    • soit vous rechercherez des partenaires financiers qui prendront part à votre société en tant qu’acteurs.

    Il n’y aura pas d’autre méthode de financement. La banque privée et la bourse auront vécu. La société civile demandera des citoyens, s’ils ont des avoirs à placer, de les placer directement soit à moindre risque dans la banque d’état, soit à risque accru, mais aussi avec un droit de contrôle, dans une ou plusieurs entreprises auxquelles ils seront bien obligés de s’intéresser en pratique.

    Il n’y aura plus aucune manigance boursière, fini le grand casino. Ne restera en place que la négociation naturelle et la loi simple des marchés. Les transactions seront toutes régulées et le  rôle essentiel de l’État sera de faire en sorte que tout se passe selon les règles du jeu.

    Vous pourrez vous payer un millième de la maison Dassaut si cela vous chante. Vous aurez alors une voix sur mille au chapitre. Si votre fortune est plus restreinte, vous investirez dans le petit hôtel du coin ou dans la ferme bio de votre copain. Au lieu « d’investir », chacun se sera enfin véritablement investi. Chacun sera un acteur et non pas un « actionnaire. » Ce sera enfin une société bien plus saine ; elle sera libertarienne et non pas libérale.

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