Drame du PSG : de plus en plus de « zones d’ombre »
01/12/06 - 11h30
PARIS(NOVOpress) - Alors que l’on apprend que Julien, le jeune homme abattu à la sortie du Parc des Princes la semaine dernière et que l’on voudrait à toute force faire passer pour une ignoble brute raciste ne méritant aucune compassion, était « très amoureux de sa fiancée, métis japonaise », on découvre parallèlement le passé plus que sombre du policier qui a fait feu sur les jeunes supporters.
En effet, le policier de 32 ans a déjà été entendu en tant qu’auteur d’une infraction en 2004. Pour des faits de « dénonciation d’infractions imaginaires » et « escroquerie ». Il encourt cinq ans de prison, 375 000 € d’amende et d’éventuelles sanctions disciplinaires. Au moment des faits, le fonctionnaire n’avait pas été suspendu. « Les faits étaient intrafamiliaux, n’avaient aucun lien avec sa qualité de policier et il n’y avait aucune violence, se justifie-t-on à la préfecture de police. Sa hiérarchie a donc estimé qu’il n’y avait pas de raison de prendre une telle mesure ». Par ailleurs, au début de sa « carrière » il aurait extorqué un peu plus de 5 400 € à des « acheteurs de drogue ».
Il a vraiment fière allure « le héros » félicité par sa hiérarchie et défendu unanimement, sans la moindre réserve ni attente de conclusions d’enquête sérieuse, par les médias et les syndicats.
On frémit en imaginant le déchaînement « anti-flic » des grandes consciences de gauche et autres associations « anti-coercitives » si un personnage aussi trouble avait commis la plus légère « bavure » à l’encontre d’un des fameux « jeunes » de banlieues qui sont l’objet de tous leurs soins et de toutes leurs attentions.
Le chœur des pleureuses aurait sans doute alors exigé dans une belle unanimité le désarmement immédiat et total des forces de l’ordre.
[cc] Novopress.info, 2006, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine
[http://fr.novopress.info]
Ce commentaire a peut être comme but de faire réfléchir les gens sur l’incompréhension du latin
Dois-je vous rappeler que les missels sont en deux langues et que quel que soit l’endroit du monde dans lequel vous suivez la messe votre missel en français est utilisable...
Ceci dit le stabat mater est un texte magnifique je propose donc cette traduction a nos lecteurs
Debout, la mère des douleurs
Près de la croix était en pleurs
Quand son Fils pendait au bois.
Alors, son âme gémissante
Toute triste et toute dolente
Un glaive la transperça.
Qu’elle était triste, anéantie,
La femme entre toutes bénie,
La Mère du Fils de Dieu !
Dans le chagrin qui la poignait,
Cette tendre Mère pleurait
Son Fils mourant sous ses yeux.
Quel homme sans verser de pleurs
Verrait la Mère du Seigneur
Endurer si grand supplice ?
Qui pourrait dans l’indifférence
Contempler en cette souffrance
La Mère auprès de son Fils ?
Pour toutes les fautes humaines,
Elle vit Jésus dans la peine
Et sous les fouets meurtri.
Elle vit l’Enfant bien-aimé
Mourir tout seul, abandonné,
Et soudain rendre l’esprit.
O Mère, source de tendresse,
Fais-moi sentir grande tristesse
Pour que je pleure avec toi.
Fais que mon âme soit de feu
Dans l’amour du Seigneur mon Dieu :
Que je lui plaise avec toi.
Mère sainte, daigne imprimer
Les plaies de Jésus crucifié
En mon cœur très fortement.
Pour moi, ton Fils voulut mourir,
Aussi donne-moi de souffrir
Une part de ses tourments.
Pleurer en toute vérité
Comme toi près du crucifié
Au long de mon existence.
Je désire auprès de la croix
Me tenir, debout avec toi,
Dans ta plainte et ta souffrance.
Vierge des vierges, toute pure,
Ne sois pas envers moi trop dure,
Fais que je pleure avec toi.
Du Christ fais-moi porter la mort,
Revivre le douloureux sort
Et les plaies, au fond de moi.
Fais que ses propres plaies me blessent,
Que la croix me donne l’ivresse
Du sang versé par ton Fils.
Je crains les flammes éternelles ;
O Vierge, assure ma tutelle
A l’heure de la justice.
O Christ, à l’heure de partir,
Puisse ta Mère me conduire
A la palme de la victoire.
A l’heure où mon corps va mourir,
A mon âme fais obtenir
La gloire du paradis.
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En 1981, la peine de mort était enfin supprimée en France pourtant depuis la mort de Julien, jeune supporter du PSG, elle est revenue au goût du jour. Pour les syndicats de policier, SOS Racisme ou les politiciens français, le policier qui a abattu froidement un homme en pleine rue de Paris est un héros. Pourtant quel crime avait-il commis pour mériter la mort ? La réponse est : aucun.
Cela devient une évidence quand on voit les efforts crapuleux pour salir la mémoire de cet homme. Julien Quemener non seulement a perdu la vie mais il est en passe de devenir un pestiféré. On essaie désormais de justifier son assassinat en l’abaissant au niveau où il devient acceptable pour les bien-pensants d’être éradiqué. Quelle honte de lire que les condoléances du PSG soient fustigée par une association dite « humaniste » comme SOS-Racisme. Que de dégoût à la lecture de tous les commentaires, toute tendances confondues, dans les journaux ou sur Internet qui insinuent qu’il aurait mérité son sort.
Que s’est-il vraiment passé jeudi soir ? Où sont les victimes qui justifieraient la légitime défense que les médias invoquent ? Si Julien était une menace directe pourquoi la balle a d’abord traversée le corps de Mounir Douchaer ? Et la balle avait tué Mounir et non Julien, que dirait monsieur Sarkozy ? Qu’aurais-t-on lu si un policier avait abattu un des membres du Bétar quand ils ont lynché l’écrivain Alain Soral ou défiguré une jeune fille de 14 ans alors lors d’un attentat contre Dieudonné ?
À quelques mois des élections, Sarkozy, le PS, SOS-Racisme tiennent leur nouveau Carpentras, le véritable problème de la France, c’est le hooliganisme, le racisme et l’antisémitisme et non pas la crise des banlieues, le chômage endémique, l’individualisme généralisé et la crise de l’identité française. Reste qu’un jeune homme qui ne le méritait pas est mort et que l’on offense une famille en deuil en crachant sur sa mémoire.
Rappelons qu’au cours des intenses émeutes banlieusardes et des nombreux lynchages de policiers qui les ont suivi il n’y a pas eu le moindre blessé par balle parmi les voyous !