La gauche française a toujours été l’antichambre du fascisme.
Après avoir fournit des troupes au Stalinisme, au Nazisme et à la Kollaboration, avant et pendant la Guerre (Déat, Doriot, Laval, Mitterrand), elle a fournit des troupes au Maoïsme et au Pol-Potisme après la Guerre.
Relire aujourd’hui les déclaration d’amour aux Khmers Rouges, écrites dans le Nouve Obs et dans Le Monde par Jean Lacouture, « intellectuel » (autoproclamé) socialiste, au début des années 70.
Ils aiment le totalitarisme, c’est plus fort qu’eux,.
Ils en veulent à George Bush d’avoir liquidé Saddam Hussein, ils ont aussi quelques petites faiblesses pour le fascisme islamiste, qui est anti-libéral par essence et qui donc ne peut pas être aussi mauvais qu’on le dit.
Ils donneraient volontiers le droit de vote aux émeutiers de Seine-Saint-Denis, d’ailleurs ils choisissent toujours le parti de l’étranger quand ils peuvent.
Ils veulent aujourd’hui « entrer en résistance », oui mais contre quoi ?
Contre Nicolas Sarkozy qui s’élève contre les « jurys populaires », la « démocratie participative » (? !), de la Péroniste Ségolène Royal.
Socialistes ! Préparez-vous à entrer en résistance contre le suffrage universel !
La gauche française est l’antichambre du fascisme avec lequel elle partage ses principales valeurs : antilibéralisme politique, anticapitalisme, antisémitisme...........euh....pardon, je voulais
dire « antisionisme », populisme, égalitarisme.
Les deux principaux collabos fascistes français sous l’occupation :
1) Marcel Déat, socialiste SFIO, secrétaire général du groupe des députés SFIO à l’Assemblée Nationale, nommé à ce poste par Léon Blum, qui le considérait comme son dauphin. Pasé à la collaboration, ministre de Pierre Laval (lui même ancien radical !), il trouvait que le gouvernement de Vichy n’allait pas assez loin dans la collaboration avec l’Allemagne. S’enfuie à Sigmaringen à la Libération.
2) Jacques Doriot, député-maire communiste de Saint-Denis (dans le 9-3 !!), ancien secrétaire général des Jeunesses Communistes, nazi pur sucre pendant l’occupation, mort en Allemagne sous un uniforme allemand, en 1944.
La gauche française est l’antichambre du fascisme et cette campagne électorale, qui est une des plus sales qu’on ait vu, l’odeur de la défaite affolant les charognards, le prouve une fois de plus.
Les deux principaux collabos fascistes français sous l’occupation :
1) Marcel Déat, socialiste SFIO, secrétaire général du groupe des députés SFIO à l’Assemblée Nationale, nommé à ce poste par Léon Blum, qui le considérait comme son dauphin. Pasé à la collaboration, ministre de Pierre Laval (lui même ancien radical !), il trouvait que le gouvernement de Vichy n’allait pas assez loin dans la collaboration avec l’Allemagne. S’enfuie à Sigmaringen à la Libération.
2) Jacques Doriot, député-maire communiste de Saint-Denis (dans le 9-3 !!), ancien secrétaire général des Jeunesses Communistes, nazi pur sucre pendant l’occupation, mort en Allemagne sous un uniforme allemand, en 1944.
La gauche française est l’antichambre du fascisme et cette campagne électorale, qui est une des plus sales qu’on ait vu, l’odeur de la défaite affolant les charognards, le prouve une fois de plus.