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frédéric lyon

Je suis seulement intéressé par ce qui se passe et j’ai horreur des idées toutes faites.

Tableau de bord

  • Premier article le 01/04/2008
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Derniers commentaires



  • frédéric lyon 9 mai 2007 05:04

    Je voulais seulement dire qu’il y a d’autres forces que l’opinion publique qui sont à l’oeuvre et qui façonnent l’Histoire des Hommes, qu’on s’en felicite ou qu’on s’en désole. C’est une vision un peu marxiste, je le reconnais !

    L’entrée, ou l’association sous une forme quelconque, de la Turquie dans l’Europe ne se décidera pas à l’issue d’un débat démocratique, et, qui plus est, à l’issue d’un débat démocratique franco-français.

    De plus, la France ne pourrait pas non plus s’y opposer éternellement contre la volonté de ses partenaires européen. Quelles que soient les modalités de décision à l’intérieur de notre communauté. Car ce serait accorder à notre pays un droit de véto qu’il n’a pas le poids économique ou politique de s’arroger et de soutenir en face de l’Allemagne ou de la Grande Bretagne, surtout si ces dernières s’accordent ensemble.

    Ce qui comptera davantage dans la décision finale consiste à savoir si l’entrée de la Turquie a du sens sur le plan économique et politique. Or elle en a, elle en a même beaucoup, suffisamment pour que cette décision s’impose, et je dis bien : s’impose, d’une manière ou d’une autre.

    Vous me dites que celà pourrait provoquer en France des « frustrations » ?

    Quelle importance ? Il sera de notre devoir de savoir supporter les frustrations et de savoir réclamer quelques compensations à nos partenaires en récompense de notre « abnégation ». Et nous avalerons la couleuvre, si couleuvre il y a.

    Pardon si je vous parais trop cynique ! J’ajouterais que l’entrée des anciens pays communistes d’europe centrale a dejà déplacé le centre de gravité de l’europe en direction de l’Est. Ce centre de gravité était autrefois situé quelque part entre la France et l’Allemagne, ce n’est plus le cas. Ce sera encore moins le cas dans le futur, où il ira se situer quelque part entre l’Allemagne et les steppes d’Asie Centrale, c’est à dire entre l’Allemagne et la Russie et les pays turcophones qui s’étendent du Bosphore à la frontière chinoise.

    Ne pas le voir, c’est à mon sens aller contre le cours de l’Histoire, ce qui me parait décidemment un travers bien français d’aujourd’hui. Malheureusement pour nous. Je dirais presque que c’est un symptome qui se manifeste à bien des propos.



  • frédéric lyon 8 mai 2007 08:48

    La gauche antilibérale ? Elle vient de perdre les élections présidentielles, elle va bientôt perdre les législatives.

    Grande gueule, mais petit bras.

    Isolons-là, elle ira casser quelques vitres à la Bastille, brûler des écoles en Seine-Saint-Denis avec l’aide de quelques émeutiers allogènes.

    Et tout sera dit.



  • frédéric lyon 8 mai 2007 08:27

    Une seule chose est sûre : Ségolène ne sera pas la candidate du PS en 2012. Car de deux choses l’une : ou bien elle ne sera pas désignée par le parti, ou bien le parti n’existera plus !

    Pourtant, il n’y aura pas de scission du PS dans l’immédiat, car ce n’est pas nécessaire. La crédibilité de la direction du parti est aujourd’hui strictement égale à zéro, et le comportement de Ségolène le soir de sa défaite est avant tout la preuve de la faiblesse du couple Hollande/Royal et de la clique de seconds couteaux qui dirigent aujourd’hui le parti (Bianco, Rebsamem, Dray, Ayrault). Ils tentent de se maintenir sur le devant de la scène.

    Les comptes se régleront au lendemain des législatives et on s’appercevra rapidement que l’étoile de Ségolène a pâlie. Comment pourrait-il en être autrement ?

    En 2012, qui voudra prendre le risque de voir Ségolène pêter encore une fois les plombs au cours d’un débat télévisé avec le Président sortant ?

    Et comment pourra-t-elle empêcher DSK de faire ce qu’il veut et notemment empêcher DSK d’être le candidat ? En se prévalant de sa défaite de 2007 ?

    Quant aux Ségolâtres, ils ont foutu le parti dans la merde et ils n’auront plus droit à la parole, si toutefois ils ne veulent pas briser le parti.

    Ségolène aurait brisé la France si elle avait été élue, il ne lui reste plus que le PS à briser aujourd’hui !



  • frédéric lyon 8 mai 2007 07:46

    Puisqu’il faut analyser, analysons :

    Ségolène est en tête en Bretagne et dans le Sud-Ouest, c’est à dire la France des petites exploitations agricoles pratiquant la polyculture traditionnelle, c’est à dire la France où la majorité des emplois sont des emplois agricoles financés par les subventions payées par le contribuable européen, ou sont des emplois de ronds de cuirs payés par le contribuable français.

    Pour ce qui concerne plus particulièrement la Bretagne : Ségolène est en tête dans tous les départements, sauf le Morbihan, qui est précisemment le département le plus dynamique sur le plan économique, avec un fort tissu d’entreprises agro-alimentaires qui transforment et valorisent les produits de base de l’agriculture, de la pêche et de l’élevage.

    Autant dire : Que Ségolène est la Madonne de la France du 19ème siècle. La France de Courteline.

    Cette situation devrait inquiéter les socio-démocrates, car leur parti ne peut pas devenir un club de défense des intérêts et des privilèges des fonctionnaires et des monopoles publics, sauf à se retrouver écarté durablement du pouvoir.



  • 6 mai 2007 17:24

    Le métier de journaliste repose sur une équivoque, puisque tout est fait pour qu’on ne remarque pas qu’il s’agit d’un commerce comme un autre. Et rien de plus.

    Quelques remarques un peu provocantes :

    Que vaut vraiment une information qui ne vous coûte presque rien ? le prix d’un journal est d’environ un euro cinquante centimes et j’aurais tendance à penser qu’il ne vous en donne pas pour plus que votre argent.

    Et même qu’il vous en donne pour moins que votre argent.

    D’ailleurs tous les journaux, sur papier, à la radio ou à la télévision, mélangent allègrément « informations » et publicité, sans doute faudrait-il dire « publicité politique » et « publicité commerciale ».

    Ce qui signifie qu’ils ne sont là que pour vous expliquer ce qu’il convient de penser d’un produit commercial ou d’une chapelle politique. Ils ne sont donc pas là pour vous informer, car sinon il nous réclamerait davantage !

    Je pense que ce type de presse-papier sera tué par la presse gratuite, qui est un modèle plus honnête, puisqu’au moins la presse gratuite est ....gratuite, mais il n’en demeure pas moins que le modèle le plus honnête serait celui d’une presse qui nous donnerait de l’argent pour avoir l’occasion de nous endoctriner.

    C’est dans le fait même que la publicité commerciale, ou politique, soit apparemment gratuite (ou presque) que se cache le piège.

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