Je suis moins inquiet sur la dette dans la mesure où il n’y a pas d’issue sinon le refinancement perpétuel à taux quasi-zéro, une manière d’apaiser les créditeurs face à des états souverains qui peuvent ne pas venir à leur secours et dire « c’est ça ou le défaut et tant pis pour les profits ».
Quant au feu sur la scène internationale, j’insisterais sur le rôle de pyromane tenu par notre ministre des affaires étangères, qui a tout fait pour que la catastrophe humanitaire annoncée en Syrie eusse lieu, notamment en nouant des liens étroits avec la Turquie, chose inédite depuis la guerre de Crimée. A propos cette guerre en Ukraine n’en est.elle pas une seconde ?
On peut s’inquiéter en effet que les manigances de Fabius au Proche-Orient n’aboutissent à un autre génocide dans la región avec la complicité turque.
Dès le titre on est induit en erreur historique : si ceux qui sont désignés comme néo-nazis se réclament en réalité de Stépan Bandéra leur héros national dont l’organisation de résistance UPA a défait sévèrement les nazis avant de l’être par les russes, néo-banderiste serait plus approprié.
C’est la position des faucons étatsuniens que reprend Le Monde mot pour mot. La semaine dernière, il en allait des milliards de Poutine, élevé au rang d’un vulgaire Fidel Castro. Le jounal à l’air littéralement noyauté par la CIA à moins que ce soit seulement la voix de ses oligarques d’actionnaires, ce qui reviendrait au même, en passant.
Il y a mieux, Napoléon eut une fille mulâtre, celle que sa mère Eugénie faisait passer pour une nièce adoptée et un autre enfant mulâtre qu’une servante de Sainte-Hélène lui fit. (source Claude Ribbe et Las Cases
Attali voudrait bien être le Georges Soros français, vous savez le spéculateur qui protège sa fortune acquise sur des paris financiers par une fondation caritative.
Seulement voilà, il en a guère les épaules, encore moins la réussite avec toutes ses casseroles qu’il trimbale de surcroit. Sarkozy le sait bien mais il n’a personne d’autre sous la main à donner en pâture aux paparazzi qu’Attali l’animal de foire depuis son épisode comme conseiller de Miterrand.
Il n’est a l’Elysée que pour la photo sous le regard gouailleur du président, histoire de se rentabiliser mutuellement. Car sans ses livres soporifiques qui pullulent mais présentent l’avantage de ne jamais arriver les mains vides sur un plateau de télévision, on se demande à quel propos ce personnage pourrais faire parler de lui, hormis les échecs retentissant du président failli et défailli qu’il a conseillé et les divers scandales financiers qui émaillent sa carrière que l’auteur de l’article à si pertinemment rappelé.
Bref chaque fois qu’on parle de cette tête de taupe que personne n’a jamais pris au sérieux sauf quand il s’agit de malversation de l’argent public comme à la Berd, c’est la franche rigolade à propos d’un type dont la seul utilité se résume au remplissage de pages que personne ne lit.