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galilée

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Derniers commentaires



  • galilée 8 septembre 2008 12:20

    What is a cantor ?



  • galilée 8 septembre 2008 12:14
    Pour ce qui est de Bethléem en "Palestine" .. Passez un coup de fil à Jesus Christ , sortez le de son long sommeil et demandez lui dans quel pays il est né ??
    La Palestine ? Shou ada ? vous demandera t il en langue Chretienne ...
    Le sort des Chrétiens de Beith Lekhem ? Alors que cette ville est sous "autorité Palestinienne " depuis des lustres..Tout un chacun sait qu ’ils émigrent parceque leurs " fréres " Palestiniens leurs rendent la vie impossible..
    D ’ailleurs cela ne m ’inquiète pas plus que mon sort les a inquiété quand le Grand Muphti remerciait Allah de l ’Holocauste !
     
    Mon Surmoi est Juste et Vengeur . Je n ’ai pas de haine pour les Chrétiens arabes , mais la derniére fois que je suis allé a leur secours en 1982 , à Beyrouth , ils se sont débrouillé pour massacrer tout Sabra et tout Chatila et en plus de me faire porter le chapeau .
    Croyez moi sur parole , dans le domaine de la barbarie nul n ’a rien a leur apprendre .. Je vous raconterai , peut ètre un jour , mes impressions aprés avoir sympathisé avec les les soldats des Kataeb , ceux la même qui le lendemain massacraient 3000 palestiniens a l ’arme blanche , afin que nul n ’entende rien du carnage ..
    Pour ce qui est de nos bavures , elles ne sont pas le fruit d’ une politique , mais celui de rares dérapages individuels .... Car la plupart des "témoignages" sont bidonnés .
     
     
    Cantor est un nom typiquement Juif . C ’est la traduction de "khazan" le chantre de la synaguogue .
    George Cantor venait d ’une famille de Juifs assimilés et convertis , ces nombreux Juifs qui , disparaissant dans la masse , ont tant amelioré le QI moyen des Celtes !! 

    Cantor’s ancestry

    Cantor’s paternal grandparents were from Copenhagen, and fled to Russia from the disruption of the Napoleonic Wars. In his letters, Cantor referred to them as "Israelites". However, there is no direct evidence on whether his grandparents practiced Judaism ; there is very little direct information on them of any kind.[55] Jakob Cantor, Cantor’s grandfather, gave his children Christian saints’ names. Further, several of his grandmother’s relatives were in the Czarist civil service, which would not welcome Jews, unless they, or their ancestors, converted to Orthodox Christianity. Cantor’s father, Georg Woldemar Cantor, was educated in the Lutheran mission in Saint Petersburg, and his correspondence with his son shows both of them as devout Lutherans. His mother, Maria Anna Böhm, was an Austrian born in Saint Petersburg and baptized Roman Catholic ; she converted to Protestantism upon marriage. However, there is a letter from Cantor’s brother Louis to their mother, saying

    “ "Even if we were descended from Jews ten times over, and even though I may be, in principle, completely in favour of equal rights for Hebrews, in social life I prefer Christians..."[56]

    which could imply that she was of Jewish ancestry.[57]

    Thus Cantor was not himself Jewish by faith, but has nevertheless been called variously German, Jewish,[58] Russian, and Danish.

     
    Seth ne trepasse pas ! la mort est le privilège exclusif des vivants , qui leur permet d ’ètre eternels sans s’emmerder a mourir .
    Seth est un Ange que les Humains détronent ... De "plus que tout" , il devient "moins que rien" : Un ange déchu ! Tel est son Karma !
    Le Karma de l ’humanité est strictement son symétrique ..
    Comme l ’univers et cyclique , la Justice est rétablie ..
    Mais comme il n ’aime pas la Justice , il se venge eternellement sur les Hommes en général et les Juifs en particulier : c’ est celà ètre élu !!
     
    Vous ne meritez pas que je vous écrive des poèmes , mais comme vous ètes ravissante et que mon coeur n ’est pas un raisin sec , je vous en ecrirai quand même , si vous le souhaitez !


  • galilée 7 septembre 2008 19:52

     Pour Zoé

    De  François Villon :

    La trés funeste complainte de Claude Frollo


    De l’ Egypte , noire est venue
    Par le devant de Nostre Dame
    Une gitane , catin perdue
    Qui tôt me saisit de son charme
     
    Autour de ses cuisses charnues 
    Dansant gigue si peu chrétienne
    Ses dessous , sous jupe fendue
    Mirent le feu dans la Gehenne
     
    Elle vint dedans le presbytère
    Ce pour trente trés bons écus
    M’ offrir les senteurs de sa chair
    Et son joli mont de Venus
     
    Les lueurs d ’un quart de lune
    Caressant son ventre proposé
    Me guidèrent sans peine aucune
    Dedans la tiédeur du baiser
     
    Un temps sans terme ni début
    Dans tous les siècles éternels
    Par la gràce de Belzébuth
    En la gitane , devint comme elle
     
    Aucune hache des Enfers
    Pourra nostre lien briser
    Ni la vermine dedans la terre
    De nos chaînes sera la clé
     
    Oui da , oyez celà vous tous
    Si putain croisez ,de la Bohême
     Elle aura fait si tôt de vous
    Un suppot vil et sans baptême


  • galilée 7 septembre 2008 11:38

    Rachel est désirable , Lea l ’ est moins ..
    Jacob Israel en tombe tellement amoureux qu ’il travaillera 7 ans sans salaire pour l ’epouser , et encore 7 ans de plus , parceque Laban son beau père , qui reste le prototype du menteur manipulateur , exigera de lui , aprés 7 ans qu ’il épouse sa soeur ainée Lea .

    Rachel est la mère preferée d ’Israel , et , c ’est prés d ’un puit que Jacob la rencontra .
    Son tombeau est a l ’entrée de Bethlehem ( en soi disant Palestine ) .

    Les Juifs ont été obligés de construire une muraille autour de la Tombe , car les Arabes , reguliérement , tiraient sur les Pélerins Juifs .



  • galilée 7 septembre 2008 11:14

    Oui m’ dame !

    1 et 10 sont eminement semblables au premier degrés , dans la mesure ou 10 est l ’association fortuite de 1 et de RIEN .
    Au second degrés ils ont , au moins , une fonction symbolique identique dans la mesure ou il sont tout deux un debut de décade .

    Au premier degrés et par simple observation 18 n ’est que la juxtaposition de 1 et de 8 .
    Au second degrés 18 acquiert une valeur d ’information par son contenu symbolique .

    Il est egalement interessant de noter que l ’un des initiateurs de la théorie des ensembles ( en Anglais : Set Theorie) George CANTOR ( qui est né un 3 Mars , comme moi ) , a jugé bon , de part ses origines hébraiques , de classifier l’ ensemble des infinis , en leur donnant le nom de Aleph 0 , Aleph 1, Aleph 2 etc ..
    Le chiffre 1 qui est la valeur numérique de Aleph , est intimement lié à l ’infini , a tel point que Borgés le definit comme le point dont on voit tout ..

    Borges L’aleph

    La connaissance d’un fait suffit pour percevoir sur-le-champ une suite de traits qui le confirment, insoupçonnée auparavant ; je m’étonnai de ne pas avoir compris jusque-là que Carlos Argentine était un fou. Tous ces Viterbo, d’ailleurs... Beatriz (je le répète moi-même fréquemment) était une femme, une enfant d’une clairvoyance presque implacable, mais il y avait en elle des négligences, des distractions, des dédains, de véritables cruautés qui peut-être demandaient une explication pathologique. La folie de Carlos Argentine me combla d’un bonheur pervers ; dans notre for intérieur nous nous étions toujours détestés.

    Arrivé rue Garay, la bonne me pria de bien vouloir attendre. Monsieur était, comme toujours, à la cave, en train de révéler des photographies. Près du vase sans une fleur, sur le piano oublié, le grand portrait de Beatriz, gauchement peint, souriait, plus irréel qu’anachronique. Personne me pouvait nous voir ; dans un élan désespéré au tendresse, je m’approchai du portrait et lui dis :

    – Beatriz, Beatriz Elena, Beatriz Elena Viterbo. Beatriz chérie, Beatriz à jamais perdue, c’est moi, Borges.

    Carlos entra peu après. Il parla sèchement ; je compris qu’il n’était pas capable d’une autre pensée que de la perte de l’Aleph.

    – Un petit verre de ce pseudo-cognac, ordonna-t-il, et tu te fourreras dans la cave. Tu sais, le décubitus dorsal est indispensable. De même que l’obscurité, l’immobilité, une certaine accommodation de l’œil. Tu te coucheras sur le pavé et regarderas fixement la dix-neuvième marche de cet escalier opportun. Je m’en vais, je baisse la trappe et tu restes seul. Au bout de quelques minutes, tu verras l’Aleph. Le microcosme d’alchimistes et de cabalistes, notre ami concret, proverbial, le multum in parvo.

    Une fois dans la salle à manger il ajouta :

    – Naturellement, si tu ne le vois pas, ton incapacité n’annule pas mon témoignage... Descends ; ­ d’ici peu tu pourras engager un dialogue avec toutes les images de Beatriz.

    Je descendis rapidement, car j’en avais assez de ses paroles futiles. La cave, guère plus large que l’escalier, ressemblait beaucoup à un puits. Je cherchai vainement du regard la malle dont Carlos Argentino m’avait parlé. Des caisses remplies de bouteilles et des sacs en toile embarrassaient l’un des angles. Carlos prit un sac, le plia et le plaça à un endroit précis.

    – L’oreiller est médiocre, expliqua-t-il ; si je le soulève d’un seul centimètre, tu ne verras rien et tu seras tout penaud. Étale sur le sol ta grande carcasse, et compte dix-neuf marches.

    J’obéis à ses ridicules instructions. Finalement il s’en alla. Il referma la trappe avec précaution ; j’avais l’impression que l’obscurité était totale, malgré une fente que je distinguai ensuite. Tout à coup, je compris le danger que je courais : je m’étais laissé enterrer par un fou, après avoir bu un poison. Les bravades de Carlos trahissaient la terreur intime que je ne visse pas le prodige ; Carlos, pour défendre son délire, pour ne pas savoir qu’il était fou, devait me tuer. J’éprouvai un malaise confus, que j’essayai d’attribuer à la rigidité et non à l’action d’un narcotique. Je fermai les yeux, les ouvris. Alors je vis l’Aleph.

    J’en arrive maintenant au point essentiel, ineffable de mon récit ; ici commence mon désespoir d’écrivain. Tout langage est un alphabet de symboles dont l’exercice suppose un passé que les interlocuteurs partagent ; comment transmettre aux autres l’Aleph infini que ma craintive mémoire embrasse à peine ? Les mystiques, dans une situation analogue, prodiguent les emblèmes : pour exprimer la divinité, un Perse parle d’un oiseau qui en une certaine façon est tous les oiseaux ; Alanus ab Insulis, d’une sphère dont le centre est partout et la circonférence nulle part ; Ézéchiel d’un ange à quatre visages qui se dirige en même temps vers l’Orient et l’Occident, le Nord et la Sud. (Je ne me rappelle pas vainement ces analogies inconcevables ; elles ont un rapport avec l’Aleph.) Peut-être les dieux ne me refuseraient-ils pas de trouver une image équivalente, mais mon récit serait contaminé de littérature, d’erreur. Par ailleurs le problème central est insoluble : l’énumération, même partielle, d’un ensemble infini. En cet instant gigantesque, j’ai vu des millions d’actes délectables ou atroces ; aucun ne m’étonna autant que le fait que tous occupaient le même point, sans superposition et sans transparence. Ce que virent mes yeux fut simultané : ce que je transcrirai, successif, car c’est ainsi qu’est le langage. J’en dirai cependant quelque chose.

    A la partie inférieure de la marche, vers la droite, je vis une petite sphère aux couleurs chatoyantes, qui répandait un éclat presque insupportable. Je crus au début qu’elle tournait ; puis je compris que ce mouvement était une illusion produite par les spectacles vertigineux quelle ren­fermait. Le diamètre de l’Aleph devait être de deux ou trois centimètres, mais l’espace cosmique était là, sans diminution de volume. Chaque chose (la glace du miroir par exemple) équivalait à une infinité de choses, parce que je la voyais clairement de tous les points de l’univers. Je vis la mer populeuse, l’aube et le soir, les foules d’Amérique, une toile d’araignée argentée au centre d’une noire pyramide, un labyrinthe brisé (c’était Londres), je vis des yeux tout proches, interminables, qui s’observaient en moi comme dans un miroir, je vis tous les miroirs de la planète et aucun ne me refléta, je vis dans une arrière-cour de la rue Soler les mêmes dalles que j’avais vues il y avait trente ans dans le vestibule d’une maison à Fray Bentos, je vis des grappes, de la neige, du tabac, des filons de métal, de la vapeur d’eau, je vis de convexes déserts équatoriaux et chacun de leurs grains de sable, je vis à Inverness une femme que je n’oublierai pas, je vis la violente chevelure, le corps altier, je vis un cancer à la poitrine, je vis un cercle de terre desséchée sur un trottoir, là où auparavant il y avait eu un arbre, je vis dans une villa d’Adrogué un exemplaire de la première version anglaise de Pline, celle de Philémon Rolland, je vis en même temps chaque lettre de chaque page (enfant, je m’étonnais que les lettres d’un volume fermé ne se mélangent pas et ne se perdent pas au cours de la nuit), je vis la nuit et le jour contemporain, un couchant à Quérétaro qui semblait refléter la couleur d’une rose à Bengale, ma chambre à coucher sans personne, je vis dans un cabinet de Alkmaar un globe terrestre entre deux miroirs qui le multiplient indéfiniment, je vis des chevaux aux crins denses, sur une plage de la mer Caspienne à l’aube, la délicate ossature d’une main, les survivants d’une bataille envoyant des cartes postales, je vis dans une devanture de Mirzapur un jeu de cartes espagnol, je vis les ombres obliques de quelques fougères sur le sol d’une serre, des tigres, des pistons, des bisons, des foules et des armées, je vis toutes les fourmis qu’il y a sur la terre, un astrolabe persan, je vis dans un tiroir du bureau (et l’écriture me fit trembler) des lettres obscènes, incroyables, précises, que Beatriz avait adressées à Carlos Argentino, je vis un monument adoré à Chacarita, les restes atroces de ce qui délicieusement avait été Beatriz Viterbo, la circulation de mon sang obscur, l’engrenage de l’amour et la transformation de la mort, je vis l’Aleph, sous tous les angle, je vis sur l’Aleph la terre, et sur la terre de nouveau l’Aleph et sur l’Aleph la terre, je vis mon visage et mes viscères, je vis ton visage, j’eus le vertige et je pleurai, car mes yeux avaient vu cet objet secret et conjectural, dont les hommes usurpent le nom, mais qu’aucun homme n’a regardé : l’inconcevable. univers.

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