Moi aussi, je trouve ça d’un cynisme glacé qui me fait franchement sourire : c’est presque surprenant que monsieur frites soit capable de ce genre de blague...il reste malgré tout un gros c... dangereux.
On peut penser ce que l’on veut des religions, des sectes et du boudhisme tibétain en particulier, il est cependant régrétable que de nombreux Tibétains soient emprisonnés et torturés par les autorités chinoises.
Comme les autres commentateurs, je reste persuadé qu’il n’y a pas l’ombre d’un chouilla de racisme dans cette scène et qu’on ne peut pas imaginer que Spielberg ait voulu nous préparer à la Tempête du désert.
Je suis plus sensible par contre au fait que, même si c’est pour rire, et ça m’a fait rire à l’époque, la vie de cet homme n’a pas beaucoup de valeur ni aux yeux d’Indi ni à ceux de Spielberg. Quand on songe qu’il (Spielberg) a fait changer les pistolets par des radios dans le "remix" d’E-T, on se dit qu’Indi aurait tout simplement pu désarmer le gros bourrin au lieu de le désinguer. C’est peut être ce qui a choqué l’auteur de cet article et qui l’a fait par la suite phantasmer.