De souche" ça veut dire quoi ? ? Français depuis 2, 3, 4, 5 générations ? ?
Ah non, ce serait trop facile, s’il y avait un critère artihmétique. Un, ou une, de souche, c’est quelqu’un qui ses racines profondément plantées dans la terre de France, quelqu’un dont la France est la patrie, c’est-à-dire la « terre des pères » et qui, de ce fait, à une constitution mentale de Français.
Constitution mentale que le sociologue Gustave Le Bon a défini comme l’« agrégat d’éléments psychologiques observable chez tous les individus d’un peuple » et qui « constitue ce qu’on appelle avec raison le caractère national » ou encore comme « l’ensemble d’idées, de sentiments que tous les individus d’un même pays apportent en naissant ».
Sarkozy est-il un Français de souche ?"
Evidemment non. D’ailleurs, ce sera, le cas échéant, le premier président la République française à n’avoir pas une goutte de sang français dans les veines.
Si je suis juif suis-je un bon Français de souche ?
Les Juifs, même non pratiquants, ont d’abord une identité culturelle juive. Et quand ce con de Sartre a cru leur rendre service en niant cette identité culturelle (Réflexions - un tissu d’âneries, en fait ) - sur la question juive, il s’est fait agonir par toute la communauté
Si je suis Corse ou Savoyard suis-je moins « de souche » qu’un Antillais (français depuis plus longtemps) ?
Les Savoyards ont toujours vécu dans le voisinage immédiat de la France, avec des échanges continuels, qui font des cousins extrêmement proches des Français. Les Corses sont plus Corses que Français, ce que vous constatez immédiatement si vous étudiez un peu leurs moeurs, leurs habitudes, leurs croyances et leurs valeurs.
Mon père est Français mais ma mère est arabe suis-je un Français de souche ?
Vous courez le risque d’être un de ces métis qui héritent principalement les défauts des deux souches dont ils sont issus.
Je suis né de parents français mais à l’étranger et n’ai jamais vécu en France suis-je plus « de souche » qu’un Asiatique né en France ?
Bien entendu. Puisque la constitution mentale dont vous avez héritée est celle de que vous ont transmis vos parents.
Je suis né Allemand en Alsace en 1917 suis-je plus « de souche » qu’un Français né aux etats-Unis ou moins qu’un Français de Guyane ?
De toute évidence, il s’agit d’un individu ayant la constitution mentale d’un Allemand, tandis que le Français né aux Etats-Unis aura une constitution mentale de Français et le natif de Guyane, la constitution mentale du peuple auquel il appartient (indien, afro-américain, Français, etc., à moins que ce ne soit un hybride déraciné, comme on en observe énormément en Amérique du Sud.
J’aimerais bien qu’une personne employant l’expression « de souche » réponde point par point à ces question car j’avoue que j’ai énormément de mal à cerner ce concept de « souche ». Merci d’avance pour vos lumières.
Je vous en prie, tout le plaisir était pour moi, et si la question des différences de constitution mentale vous intéresse, je vous suggérerai la lecture de quelques ouvrages savants publiés par des Français. Plus léger, pour aborder le sujet, Coups de baguettes sur la fourchette, de Lin Hua, un Chinois qui a longuement observé les Européens que nous sommes, et qui nous décrit sans complaisance, dans nos qualités et nos défauts nationaux, qui font qu’un Français, par sa constitution mentale, n’est pas un Anglais, qu’un Finlandais n’est pas un Autrichien et qu’un Espagnol n’est pas un Grec, toutes choses dont vous ne semblez pas vous être avisé...
De souche« ça veut dire quoi ? ? Français depuis 2, 3, 4, 5 générations ? ? », demande un jeune lecteur, soucieux de s’instruire.
Ah non, ce serait trop facile, s’il y avait un critère artihmétique. Un, ou une, de souche, c’est quelqu’un qui ses racines profondément plantées dans la terre de France, quelqu’un dont la France est la patrie, c’est-à-dire la « terre des pères » et qui, de ce fait, à une constitution mentale de Français.
Constitution mentale que le sociologue Gustave Le Bon a défini comme l’« agrégat d’éléments psychologiques observable chez tous les individus d’un peuple » et qui « constitue ce qu’on appelle avec raison le caractère national » ou encore comme « l’ensemble d’idées, de sentiments que tous les individus d’un même pays apportent en naissant ».
« Sarkozy est-il un Français de souche ? »
Bien sûr que non. D’ailleurs, ce sera, le cas échéant, le premier président la République française à n’avoir pas une goutte de sang français dans les veines.
« Si je suis juif suis-je un bon Français de souche ? »
Les Juifs, même non pratiquants, ont d’abord une identité culturelle juive. Et quand ce con de Sartre a cru leur rendre service en niant cette identité culturelle, il s’est fait agonir par toute la communauté
« Si je suis Corse ou Savoyard suis-je moins »de souche« qu’un Antillais (français depuis plus longtemps) ? »
Les Savoyards ont toujours vécu dans le voisinage immédiat de la France, avec des échanges continuels, qui en ont fait des cousins extrêmement proches des Français.
Les Corses sont Corses avant que d’être Français, ce que vous constatez immédiatement si vous vous vous penchez un peu sur leurs moeurs, leurs habitudes, leurs croyances et leurs valeurs.
« Mon père est Français mais ma mère est arabe suis-je un Français de souche ? »
Vous courez le risque d’être un de ces métis qui héritent les défauts des deux souches desquelles ils sont issus...
Je suis né de parents français mais à l’étranger et n’ai jamais vécu en France suis-je plus « de souche » qu’un Asiatique né en France ?
Bien entendu. Puisque la constitution mentale dont vous avez héritée est celle de que vous ont transmis vos parents comme l’Asiatique a une constitution mentale d’Asiatique, très différente de celle d’un Européen.
Je suis né Allemand en Alsace en 1917 suis-je plus « de souche » qu’un Français né aux etats-Unis ou moins qu’un Français de Guyane ?
De toute évidence, il s’agit d’un individu ayant la constitution mentale d’un Allemand, tantdis que le Français né aux Etats-Unis aura une constitution mentale de Français et le natif de Guyane, la constitution mentale du peuple auquel il appartient (Français, Indien, Afro-américain, hybride déraciné, etc.).
J’aimerais bien qu’une personne employant l’expression « de souche » réponde point par point à ces question car j’avoue que j’ai énormément de mal à cerner ce concept de « souche ». Merci d’avance pour vos lumières."
Je vous en prie, tout le plaisir était pour moi, et si le sujet vous intéresse, je vous suggérerai la lecture de quelques ouvrages savants publiés par des Français. Plus léger, pour entrer dans le sujet, Coups de baguettes sur la fourchette, de Lin Hua, un Chinois qui a longuement observé les Européens que nous sommes, et qui nous décrit sans complaisance, dans nos qualités et nos défauts nationaux, qui font qu’un Français, par sa constitution mentale, n’est pas un Anglais, qu’un Finlandais n’est pas un Autrichien et qu’un Espagnol n’est pas un Grec, toutes choses dont vous ne semblez pas vous être avisé...
...construisez des murs à l’intérieur desquels vous les obligeriez à vivre. demandez leur de ne jamais rien revendiquer, de ne jamais vous déranger, de ne jamais se déplacer et vous aurez la paix., écrit un courageux anonyme, à l’imbécilité très sûre...
Ce sera toujours mieux que la « bonne » guerre civile, modèle serbo-croate modifié rwanda, qui nous attend si on persiste à laisser le pays envahir par la prolifique plèbe du tiers monde.
...construisez des murs à l’intérieur desquels vous les obligeriez à vivre. demandez leur de ne jamais rien revendiquer, de ne jamais vous déranger, de ne jamais se déplacer et vous aurez la paix., écrit un courageux anonyme.
Ce sera toujours mieux que la « bonne » guerre civile, modèle serbo-croate modifié Rwanda, qui nous attend si on persiste à laisser le pays envahir par la prolifique plèbe du tiers monde.
« Il n’est nullement coupable de placer une manière de vivre et de penser au dessus de toutes les autres... »
Dans mon esprit, il n’est même pas question « de placer une manière de vivre et de penser au dessus de toutes les autres ».
Nous avons les nôtres, d’autres gens ont les leurs, que je condamne ni ne n’approuve. Je demande simplement le droit de vivre de mon côté sans me mélanger à eux et sans qu’eux ne viennent se mélanger à moi...
Après cela, ils peuvent très bien exciser leurs filles, caillasser leurs femmes adultères, couper la main de leurs voleurs et bouffer les abats de leurs ennemis, ça ne me concerne en rien du tout.