On peut s’interroger en toute légitimité sur l’absence de réactions, de commentaires voire d’éloges concernant le petit livre : LA PRISON RUINÉE de Brigitte BRAMI, sorti quelques semaines après INDIGNEZ-VOUS de Stéphane HESSEL, et avant TUNISIAN GIRL qui vient de paraître. Pourtant l’éditrice Sylvie Crossman parlait en ces termes de LA PRISON RUINÉE : Brigitte Brami, 46 ans, a passé cinq mois à la maison d’arrêt des femmes à Fleury-Mérogis. Elle en rapporte ce petit chef d’oeuvre de pensée et d’écriture, à contre-courant de tout ce qui s écrit et se dit sur la prison aujourd’hui, où la littérature retrouve sa force de vérité et d’engagement. Notre coup de coeur , un petit bijou littéraire... La Prison ruinée de Brigitte BRAMI, aux Éditions Indigène 40 pages au prix de 3 euros est toujours disponible en librairies et sur les sites vendeurs en ligne.
Remerciements a ceux qui m’ont aidée dans la pénible épreuve que me fait subir volontairement le dr et expert psychiatre : michel dubec qui me fait chèrement payer ma démarche citoyenne suite à son interdiction décidée par le Conseil de l’Ordre des médecins d’exercer pendant 3 mois.
Chanson Pour L’Auvergnat de Georges Brassens
Elle est à toi cette chanson Toi l’Auvergnat qui sans façon M’as donné quatre bouts de bois Quand dans ma vie il faisait froid Toi qui m’as donné du feu quand Les croquantes et les croquants Tous les gens bien intentionnés M’avaient fermé la porte au nez Ce n’était rien qu’un feu de bois Mais il m’avait chauffé le corps Et dans mon âme il brûle encore A la manière’ d’un feu de joie
[Refrain] : Toi l’Auvergnat quand tu mourras Quand le croquemort t’emportera Qu’il te conduise à travers ciel Au père éternel
Elle est à toi cette chanson Toi l’hôtesse qui sans façon M’as donné quatre bouts de pain Quand dans ma vie il faisait faim Toi qui m’ouvris ta huche quand Les croquantes et les croquants Tous les gens bien intentionnés S’amusaient à me voir jeûner Ce n’était rien qu’un peu de pain Mais il m’avait chauffé le corps Et dans mon âme il brûle encore A la manière’ d’un grand festin
[Refrain]
Elle est à toi cette chanson Toi l’étranger qui sans façon D’un air malheureux m’as souri Lorsque les gendarmes m’ont pris Toi qui n’as pas applaudi quand Les croquantes et les croquants Tous les gens bien intentionnés Riaient de me voir emmener Ce n’était rien qu’un peu de miel Mais il m’avait chauffé le corps Et dans mon âme il brûle encore A la manière’ d’un grand soleil
Remerciements a ceux qui m’ont aidée dans la pénible épreuve que me fait subir volontairement le dr et expert psychiatre : michel dubec qui me fait chèrement payer ma démarche citoyenne suite à son interdiction décidée par le Conseil de l’Ordre des médecins d’exercer pendant 3 mois.
Chanson Pour L’Auvergnat de Georges Brassens
Elle est à toi cette chanson Toi l’Auvergnat qui sans façon M’as donné quatre bouts de bois Quand dans ma vie il faisait froid Toi qui m’as donné du feu quand Les croquantes et les croquants Tous les gens bien intentionnés M’avaient fermé la porte au nez Ce n’était rien qu’un feu de bois Mais il m’avait chauffé le corps Et dans mon âme il brûle encore A la manière’ d’un feu de joie
[Refrain] : Toi l’Auvergnat quand tu mourras Quand le croquemort t’emportera Qu’il te conduise à travers ciel Au père éternel
Elle est à toi cette chanson Toi l’hôtesse qui sans façon M’as donné quatre bouts de pain Quand dans ma vie il faisait faim Toi qui m’ouvris ta huche quand Les croquantes et les croquants Tous les gens bien intentionnés S’amusaient à me voir jeûner Ce n’était rien qu’un peu de pain Mais il m’avait chauffé le corps Et dans mon âme il brûle encore A la manière’ d’un grand festin
[Refrain]
Elle est à toi cette chanson Toi l’étranger qui sans façon D’un air malheureux m’as souri Lorsque les gendarmes m’ont pris Toi qui n’as pas applaudi quand Les croquantes et les croquants Tous les gens bien intentionnés Riaient de me voir emmener Ce n’était rien qu’un peu de miel Mais il m’avait chauffé le corps Et dans mon âme il brûle encore A la manière’ d’un grand soleil
URGENT DÉCISION DU 4 DÉCEMBRE DE LA CHAMBRE DISCIPLINAIRE DU CONSEIL DE L’ORDRE DES MÉDECINS CONDAMNE le DR ET EXPERT PSYCHIATRE Michel dubec A l’INTERDICTION D’EXERCER PENDANT TROIS MOIS.
A DIFFUSER MERCI.
Condamnation de 3 mois avec sursis d’interdiction d’exercer pour le dr michel dubec >
Ça fait quand même plaisir ! C. quand même une victoire, une <<éclaboussure>> sur un homme qui se prétend irréprochable !
Hélas, on me le fait très cher payer :
à diffuser le PLUS LARGEMENT POSSIBLE SVP.
VICTIME DU DR ET EXPERT PSYCHIATRE MICHEL dubec ET En CETTE PÉRIODE DE FÊTES DE FIN D’ANNÉES JE VOUS DEMANDE DE FAÇON Solennelle de m’aider.
A quelques jours des fêtes de fin d’année, je reviens une troisième fois vers vous et de toutes urgence et de toutes les forces qu’il me restent, je vous demande de créer enfin une chaîne de solidarité effective et active afin de me soutenir.
Je vous demande à tous, amiEs ou inconnuEs de l’aide ; Vous avez le choix entre plusieurs possibilités :
1) D’abord diffuser sur toutes vos listes cet email
2) Postez-le sur tous les sites que vous connaissez
3) Parlez-en le plus possible autour de vous si possible à des médias et journalistes en priorité
4) ( la priorité reste hélas financière )L’aide peut également être d’ordre financier car les très grands avocats assez solides pour lutter contre le pervers national qui m’a faite emprisonnée coûtent très cher et c’est normal : il faut un sacré travail et une énergie incroyable pour se battre contre le personnage en question. Donc, aucune somme ne sera négligeable : 5, 10 euros, et beaucoup plus si vous le pouvez me seront très utiles (je vous enverrai bien entendu un reçu) à mon nom et à l’adresse suivante : 1, rue Vidal de la BLACHE - 75020 PARIS -
5) l’aide morale : une lettre, un petit mot gentil me soutiendront car je reste avant tout un être humain que 14 ans de conflits avec dubec ont brisé, même si je veux parfois donner le change - toujours cet amour propre !
6) des lettres de soutien à verser au dossier : certificats moraux, lettres qui viennent d’organismes institutionnels, ou associatifs, et contestant dubec - ça peut être pour son acharnement judiciaire contre moi ou pour ce qu’il a écrit dans son livre ou les écrits qu’il a signés lors d’expertises.
Merci d’avance à toutes celles et tous ceux qui répondront à ce SOS. Je compte réellement sur vous toutes et tous.
Signé : une Brigitte qui traîne dans les rues, fatiguée, sans plus de cerveau ni de courage. (Pardon si c’est un peu trop de chez trop mais c’est ainsi que je le vis tous les jours).
Je reste convaincue que SEULE LA MÉDIATISATION DE L’AFFAIRE FERA ÉCLATER LES DIFFÉRENTS SCANDALES QUI POUR L’INSTANT RESTENT ÉTOUFFES PAR LES POTES DE NOTRE PERVERS NATIONAL.
Dans mon quotidien, je me découvre un courage que j’ignorais posséder. Est-ce du courage ou bien de la folie ? Je crois qu’il s’agit plutôt de folie car je n’ai pas peur et que la d��finition du courage, c’est de braver sa peur, non ?
Donc sans arme, ni rien qui puisse en faire office, je m’aventure dans des quartiers où s’est réfugiée la part maudite de l’humanité et où il reste ce petit tas d’ordures si cher et salvateur aux yeux de Genet (les expressions en italiques sont de ce grand poète), c’est-à-dire ces personnes aguerries à toutes formes de violences - ce qui est vraiment obscène, Maître, n’est-ce pas cette incessante et brutale confrontation entre la part humaine et les conditions animalières dans laquelle ils vivent ; je me fais cette réflexion sauvage qui vaut ce qu’elle vaut : ce qui est douloureux, ce n ’est pas qu’ils vivent comme des chiens, mais c’est qu’ils demeurent des Hommes.
Devant cette part maudite, devant ces êtres que la survie a rendu effondrés, clochardisés, abouliques, sans plus aucune force ou/et au contraire manipulateurs, voleurs, agresseurs, tabasseurs, et parfois criminels, une espèce d’énergie du désespoir me fait tenir la tête haute.
Je porte comme une médaille - et surtout un bouclier - les quelques acquis que j’ai pu obtenir par la fréquentation de la prison, les contacts que j’ai gardés et des livres de Jean Genet.
J’apprends les quartiers où tout le monde s’en fiche des gens qui vomissent par terre et hurlent leur misère, où tout tient dans vos fringues : votre crédibilité, votre statut, votre honneur : porte-t-il ou porte-t-elle la dernière casquette à la mode ? Où les mots, et pas davantage les promesses ne signifient quelque chose de vraiment réel, où l’on peut rester 3, 4, 5 heures dans un endroit risqué, sombre et froid, en attendant un rendez-vous qui ne viendra jamais, où les paroles de vos interlocuteurs qui vous tutoient d’emblée s’écoulent comme l’eau d’un robinet,dans une langue hybride et souvent incompréhensible. Où tout glisse pour chacun comme dépourvu du moindre d’affect ou morale personnelle, et que rien ne compte, excepté le manque qui rythme le temps ; le manque comme moteur et comme piège ; le manque jamais comblé, le manque qui d’abord, modeste, n’est revenu qu’après quelques jours, puis s’est s’est fait connaître dès le lendemain matin, puis s’est resserré en quelques heures. Et puis on ferait n’importe quoi pour ne pas le supporter encore, ne serait-ce qu’une poignée de minutes. Le manque que seules quelques secondes ne sépareront de la mort. Le manque de drogue ? Pas seulement ! Le manque de tout : abri, considération, chaleur, vêtements, nourriture, téléphone, de monnaie, de cigarettes...Il n’y a ni nuit ni jour comme repères, il n’y a que ce manque à satisfaire jusqu’à l’indécence. Moi, je n’ai pas succombé à ce fléau et c’est bien la première fois que je vis une situation semblable. J’apprends la misère humaine ; plus encore : je l’éprouve, car j’ai toujours su qu’elle existait, bien entendu, mais de façon théorique, à l’instar d’une cancéreuse qui veut se cacher qu’elle est malade. > Dans ces endroits où le nombre de boutiques taxiphones-internet est le baromètre du taux de pauvreté des habitants. Plus ce nombre augmente, plus la misère y est presque palpable. Chaque 50 mètres, vous en rencontrez une, souvent tenu par des pakistanais. On y crie au téléphone, les enfants pleurent, vos doigts s’enfoncent, d’abord hésitants, dans les touches crasseuses des claviers d’ordinateurs collés les uns aux autres dans ces lieux où l’on a toujours trop chaud ou trop froid. > Et le soir, je ne sais pas par quel mystère, je découvre sur mon corps des hématomes et des griffures inconnues, comme si 1) soit j’avais reçu des coups et je n’avais pas eu mal dans l’immédiat de la blessure, 2) soit mon psychisme avait hystérisé ma douleur morale en lui donnant une forme somatique.
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Affaire Brami-DubecMERCI D’AVANCE A VOUS NE M’OUBLIEZ PAS. UNE CHAMBRE MÊME DE 3 Mètres CARRES ME SERAIT TRÈS UTILE CAR JE N’AI PLUS D’ARGENT POUR PAYER LES HÔTELS CRASSEUX DANS LESQUELS Je me suis trouvé dans l’obligation de résider jusqu’à présent.
Expert psychiatre auprès des tribunaux, le Dr Michel Dubec a été convoqué devant la Chambre Disciplinaire du Conseil de l’Ordre des Médecins - au 9 rue Borromée, Paris 15ème - toute la journée du mardi 22 septembre 2009 - faisant face à huit plaignants le matin, et deux (trois étant convoqués) l’après-midi. La séance a été publique. Plusieurs autres plaintes ont également été adressées au Conseil de l’Ordre et seront traitées ultérieurement. Michel Dubec est tristement célèbre pour « Le Plaisir de Tuer », complaisant récit autobiographique où il exhibe, entre autres, l’admiration teintée d’envie que lui inspire le tortionnaire-violeur -tueur : Guy Georges ; ce livre a d’ailleurs valu à son auteur une pétition de près de 1350 signataires à son encontre et adressée au Garde des Sceaux. Ce 22 septembre 2009, le Dr Michel Dubec a tenté de répondre de l’accusation de diffamation et d’insultes racistes envers Maurice Joffo (auteur de « Pour Quelques Billes de Plus »). Cet expert a déjà été condamné le 15 février 2008 au TGI de Paris pour insultes et insultes publiques à caractère racial (que vous trouverez en pièce attachée). Ainsi, cette journée fut l’occasion à ce que plusieurs autres plaignants et avocats expriment leurs désaccords envers ce médecin - toujours en exercice et encore aujourd’hui expert psychiatre auprès des Tribunaux et à la Cour de Cassation - qui dans ce même livre déroge à son droit de réserve inhérente à sa profession. La présidente du CO a pu en effet considérer que le secret médical avait été violé. De même, l’avocate du Conseil de l’Ordre des médecins a-t-elle pu estimer que Michel Dubec « n’a pas mesuré la portée et la gravité de ses actes » et de ce fait « discrédité l’ensemble du corps médical », en se livrant dans son livre à des propos indignes, des injures haineuses, et même des considérations ordurières au sujet des personnes qu’il a expertisées dans le cadre de son exercice professionnelle, via sa mission d’expert psychiatre. Parmi les paroles des avocats, on retiendra qu’ils considèrent l’ouvrage de Dubec caractérisé par le « pathos résultant d’une maïeutique accouchant des problèmes intérieurs de Michel Dubec ». Michel Dubec, lui-même « Narcissique au sens le plus vulgaire du terme (…) cabotin spécialisé (…) roi de l’esquive… ». « On vous fait comprendre qu’il serait intouchable, voire que sa notoriété l’autorise à dire n’importe quoi, » gronda- l’un des avocats, estimant que cet expert « règle ses problèmes à travers ses patients » et qu’il serait « une sorte de danger public >>. Enfin, il sera dit dans cette Chambre disciplinaire que Michel Dubec était presque toujours désigné expert pour les procès à grand retentissement « en raison de copinages de palais de justice ».