Il y a quelques années, un film a été diffusé, c’était la question humaine : http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=60102.html C’était un sacré navet mais il avait le mérite de poser en filigrane ce que l’auteur nomme. C’est un des seuls car autour de la souffrance au travail il y a un immense déni, un véritable tabou que la crise économique ne saurait jamais justifier. On ne livre pas des personnes à l’index de la société pour des raisons d’offre et de demande. Les livres de MF HIRIGOYEN se propagent sous le manteau. C’est comme si malgré les lois, l’employeur se réservait toujours quelquepart la possibilité de vie et de mort sur le salarié, aspect que peu de personnes osent aborder. Généralement, les syndicats et représentants du personnel sont beaucoup trop « achetés » pour émettre un avis objectif. Il y a également un silence éloquent sur la langue de bois, novlangue du déni, pas loin de la conférence de Wahnsee : - se séparer de quelqu’un (lui faire subir les pires sévices moraux pour le faire craquer), - recruter un collaborateur (s’assurer de son allégeance telle celle d’un esclave), - sanctionner (s’adresser à une personne adulte comme à un gamin de 5 ans), - récompenser (diffuser des points de vie en miettes que l’employeur juge utile pour conserver son vassal, pendant que l’administrateur se gave de dividendes sans lever le petit doigt).
J’approuve la vision métaphorique de Gaijin, lequel signale que ceux qui condamnent tristement l’ivresse (la joie de l’épanouissement sans forcément se défoncer) sont ceux qui ne l’ont jamais goutée. Le monde du travail est faussement anti-dionsysiaque (et pourtant il permet les orgies et les promos canapé), et faussement appolinien car sa jouissance n’est pas celle d’une lucidité raisonnée mais celle d’une servilité assumée au quotidien par l’unique peur de manquer demain ce que j’ai gagné aujourd’hui.
Je constate que là où il y aurait des raisons de se révolter, presque personne ne descend plus jamais dans la rue.
J’ai l’impression que le Grand Soir recule un peu chaque matin...
Bonsoir, j’aime bien les commentaires de Massada. Il ne lâche jamais prise. Il sait que tous les énergumènes illuminés négativement qui ont comme livres de chevet les protocoles des sages de Sion ou les ouvrages de Soral, achetés chez kontre kulture afin de subventionner les procès du Sot-râle sont des robots endoctrinés. Maintenant, je suis persuadé que les Juifs ont une seule pensée : qu’on leur foute une paix bien méritée la paix, chez eux ou autre-part. Ce chez eux est le leur et non le leurre. Ils n’ont ni le temps ni l’envie de lever des complots. On a vu qu’ils se sont déjà contentés des miettes que leur laissait la Palestine mandataire, mais ces miettes étaient déjà de trop de la part de ceux qui les haîssaient. Si un complot judéo-sioniste existe, il est essentiellement dans la tête de ceux qui n’ont d’autre chose à imaginer pour se prendre enfin en main au-delà de la haine d’un bouc émissaire. Se considérer victime de juifs, c’est se remettre à cette (f)Rance qui a fait tant de mal et qui a baissé les bras en sa vautrant dans la collaboration. Ne soyez pas des veaux aveugles et amnésiques. Cessez d’être des imbéciles. Quand il se met à pleuvoir, ce n’est pas la faute des juifs ou d’israel.
Bonsoir Monsieur l’auteur. Je propose une quatrième solution : faire passer tous les managers et décideurs au crible d’une psychothérapie sérieuse afin d’éradiquer idéalement chez eux tous les réflexes égotistes et harceleurs afin de rétablir l’humain dans leurs consciences d’eux-mêmes et d’autrui. Ainsi autrui ne sera plus une machine à produire. Il y aurait moins de suicides, de burn outs, de dépressions et surtout de la part des personnes « dirigées » se sentant enfin reconnues un meilleur investissement. Le souci est que dans la machine à produire, les dirigeants sont essentiellement recrutés comme des SS 2.0. Vous pourriez assortir votre rubrique d’un rapprochement entre les diktats de l’entreprise et ceux des régimes nazis. Sans aucune limite assignée, le capitalisme n’est pas capable du meilleur mais du pire. Ceci n’est pas un discours de gauchiste, mais d’un individu conscient de la perte de toutes les valeurs au quotidien.
Ah puisque je suis un fervent sioniste, je vais suivre l’indication de M. Massada. En Israel, tout le peuple est en mesure de se défendre efficacement contre un acte de terrorisme. Pas besoin d’attendre les flics ou les soldats. Chacun-e sait ce qu’il a à faire en pareil cas. De ce grain prenons de la graine. Et cessez de nous bassiner contre cet état qui, parce qu’il sait se défendre, ne cesse de vous rendre jaloux...
Bonsoir, vous nous dites que nos élus ont pactisé avec le diable et que le peuple récolte les fruits qu’il a semés. Le peuple ne récolte rien, il a simplement demandé un peu de justice et de paix. Les diverses spéculations sur les origines géopolitiques de tos ces attentats nous concernent de très loin. Ce qu’il nous faut ce sont des solutions immédiates. Ne plus attendre que la poilice ou l’armée nous viennent en aide, nous aonvs vu les résultats. Quand un prêtre, un imam, un rabbin ou un athés se font égorger pour avoir célébré leur foi, leur culte et leur fête, peu m’importe de savoir si cela vient de la latitude 18’11"45 de sud-sud est avec un vent ouest. L’important, maitenant que nous avons compris que nous sommes livrés à nous mêmes avec un état impuissant à nous secourir en temps réel est de savoir assurer notre auto-défense. Quelle que soit la pertinence de vos analyses, elles sont désormais du blabla...