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Gérard

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  • Gérard 17 avril 2019 14:30

    @doctorix

    Génocide : Un génocide est un crime qui consiste en l’élimination physique intentionnelle, totale ou partielle

    [...]

    S’il n’y a pas de vaccin c’est parce que la maladie n’a pas encore disparu spontanément

    La maladie n’aurait jamais disparu « spontanément ». Des moyens de prévention ont permis de réduire l’incidence de la maladie, qui reste malgré tout gigantesque (37 millions de personnes vivent avec le VIH dans le monde en 2017).

    Et je n’ai pas changé de sujet : je parle des vaccins, de tout les vaccins, dont pas un ne vaut mieux que l’autre.


    OK, mais alors, pourquoi ignorez vous mes questions et créez de nouvelles affirmations ?
     



  • Gérard 17 avril 2019 13:02

    @doctorix

    Vous êtes-vous jamais demandé pourquoi on n’avait toujours pas de vaccin contre le SIDA ?

    Bien évidemment.
    A mon tour de poser une question : pourquoi changer de sujet ?

    Et seconde question : D’après vous, la vaccination est inefficace et vise à créer un espèce de génocide planétaire organisé. Pourquoi donc l’industrie pharmaceutique n’annonce t’elle pas la mise sur le marché d’un vaccin ? Peu importe s’il ne fonctionne pas, les autres ne fonctionnent pas non plus de toute façon, d’après vous. Peu importe si il est peu sûr, puisqu’il y a volonté de génocide avec les vaccins existants d’après vous.
    Si elle annonçait la mise au point (tant attendue) d’un vaccin, l’industrie pharmaceutique se couvrirait de lauriers, ça permettrait de vacciner la planète entière, ça permettrait d’accélérer encore le programme génocidaire, et ça permettrait un coup de pub absolument fulgurant en ces temps de défiance vaccinale.



  • Gérard 17 avril 2019 11:43

    @Gérard

    Erreur de retranscription dans l’extrait de la p.32
    Il faut lire :

    "Il eût été extrêmement coûteux et logistiquement difficile sinon impossible d’atteindre des niveaux beaucoup plus élevés de couverture. Pour extirper la variole de ces pays avec les moyens disponibles, il fallait absolument changer de stratégie."



  • Gérard 17 avril 2019 11:38

    @Julyo

    Vous ne lisez pas le rapport. Ce n’est pourtant pas faute de vous y avoir invité.

    Extraits :

    p. 31

    Le principe de la vaccination de masse en tant que stratégie de base utilisée dans l’éradication du paludisme s’est imposé jusqu’à la fin des années soixante. Le succès des opérations d’éradication menées dans les pays développés d’Europe et d’Amérique du Nord, ainsi que dans un certain nombre de pays en développement a été mis à l’actif de la vaccination de masse. L’Indonésie, qui avait apparemment éradiqué la variole dans les années trente, grâce à un programme systématique de primo-vaccination et de revaccination périodique, a été citée comme un exemple de réussite dans une zone en voie de développement à forte densité de population.

    L’expérience acquise dans un certain nombre de pays avait montré qu’il n’était pas nécessaire d’assurer une couverture à 100% pour réaliser l’éradication. Une couverture se situant à des niveaux de 80% ou plus étaient généralement considérée comme suffisante. On admettait que la réalisation de tels niveaux dans tous les secteurs de la population était une tâche difficile et que la transmission se poursuivait souvent dans les secteurs qui n’avaient pas été atteints. La fourniture de matériel et de moyens de transport suffisants, la formation de personnel et la préparation de la population par l’intermédiaire de campagnes d’information étaient des besognes longues et complexes rendues particulièrement ardues dans des secteurs où les services de santé étaient sous-développés et les communications mauvaises.

    p. 32

    Les campagnes d’éradication reposant entièrement ou essentiellement sur la vaccination de masse furent couronnées de succès dans quelques pays mais échouèrent dans la plupart des cas. Les campagnes de vaccination de masse connurent les plus grands succès dans les pays dotés de services de santé relativement bien développés et bien administrés, de systèmes de notification adéquats et de communications suffisamment bonnes. Des succès notables furent enregistrés en Chine, dans certaines parties de l’Asie du Sud-Est telles que la Birmanie, et dans un certain nombre d’Etats méridionnaux de l’Inde.

    Toutefois, dans certains pays, même lorsque la couverture vaccinale atteignait 80 ou même 90%, les sujets sensibles non vaccinés, regroupés en certains secteurs particuliers du pays ou dans les zones de faible niveau socio-économique des villes, constituaient une population suffisamment importante pour que la transmission de la variole se perpétue. Il eût été extrêmement coûteux et logistiquement difficile sinon possible d’atteindre des niveaux beaucoup plus élevés de couverture. Pour extirper la variole de ces pays avec les moyens disponibles, il fallait absolument changer de stratégie.

    p. 33

    A partir de 1967, on mit l’accent sur la nécessité de mettre en place des systèmes de notifications adéquats dans le cadre d’un programme de surveillance plus exhaustif. La stratégie n’était plus exclusivement axée sur la vaccination de masse mais privilégiait également la surveillance.

    p. 36

    Au début du programme, on s’aperçut que l’isolement des malades à la maison et la vaccination à bref délai de toutes les personnes du village ou du secteur de la ville étaient suffisants pour endiguer la plupart des maladies.

    p. 37 (à propos de la stratégie d’endiguement)

    [...] On commençait par vacciner toutes les personnes vivant dans la maison touchée et l’on continuait ensuite par les habitants des maisons environnantes puis par un cercle relativement restreint de contacts du cas indicateur.

    p. 39

    Entre 1950 et 1967, des programmes de vaccination de masse entrepris dans la plupart des pays d’Amérique du Sud et coordonnés par l’OPS parvinrent à éradiquer la variole endémique dans tous ces pays sauf le Brésil.
    [...]
    La campagne menée au Brésil eut à surmonter plusieurs problèmes difficiles. Parmi ceux-ci figuraient les très grandes dimensions du pays et l’importance de la population, ainsi que le niveau relativement faible de la couverture de vaccination dans la population [...].

    p.40

    Au Rwanda, les progrès rapides de la campagne de vaccination furent épaulés par un système bien organisé de vaccinations aux points de rassemblement ; un vaccinateur était en mesure d’effectuer un millier de vaccinations par jour.

    Le programme au Zaïre fut à bien des égards unique en son genre, la rapidité avec laquelle l’éradication fut obtenue, constituant d’ailleurs l’une des plus remarquables réussites du programme mondial.

    Etc etc etc

    ***
    Par définition, ces extraits sont eux-même du cherry-picking en quelque sorte (et recopier ces quelques passages m’a déjà pris suffisamment de temps). C’est pour cela que je renouvelle mon invitation à lire ce rapport.

    En complément, cet article explique le cherrypicking d’un antivax comme Michel de Lorgeril à propos de ce même rapport.



  • Gérard 17 avril 2019 09:32

    @doctorix

    Je comprends que vous avez publié malgré vous, pour le plaisir de contredire...

    Eh bien vous avez mal compris, relisez.
    Je suis sûr que njama aurait compris, lui, sans que je ne doive lui faire un dessin.

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