Un conseil : saisissez d’urgence le directeur de la MDPH de votre département, ainsi que le président de la commission départementale de l’autonomie (CDA). Si personne ne vous reçoit, rapprochez-vous d’une association de parents, et d’un conseil juridique, et déposez une plainte.
N’abordez pas les IME comme une solution par défaut : il s’y fait aussi du bon travail. Certains enfants y progressent plus favorablement qu’en inclusion scolaire en milieu ordinaire. Voyez si ce peut être le cas pour Noé.
Vous ne prenez pas le problème à la base. Vous préconisez une relance de la consommation alors que celle-ci est essentiellement tournée vers des produits d’importation fabriqués dans des pays pratiquant une concurrence déloyale avec un coût du travail en moyenne 20 fois inférieur au nôtre. C’était valable pour les biens d’équipement, les vêtements, les chaussures, les voitures (même de marque française...), etc, et ça le devient même pour les produits alimentaires !
Résultat ? Tout euro dépensé dans la relance de la consommation le sera essentiellemeent à destination de l’étranger et les entreprises françaises n’y gagneront rien. Elles devront continuer à licencier pour survivre, ou délocaliser leur production.
Les seuls qui puissent (très) provisoirement y gagner quelque chose sont les enseignes de distribution. Et encore... pour la plupart des gens, l’augmentation du pouvoir d’achat pourrait se traduire en épargne de précaution en prévision d’une plus grande dégradation de la situation...
Je ne sais pas si le racisme est moderne, mais il fut de tout temps profondément débile...
Prochain exposé : "le bourgeois-bohème, il est moderne, ou bien non ?", suivi de : "est-il moderne de se laver les dents avec son portable ?".
Mais que faites-vous donc du pluralisme et de la liberté de penser ?
Réduire la réflexion politique à des clivages droite/gauche, libéral/anti-libéral ou démocrates/conservateurs est par trop réducteur.
Le mieux n’est-il pas d’avoir des citoyens éduqués et libres-penseurs en capacité de se faire leur propres opinions (quitte à se tromper parfois), même si cela implique de fait un certain pluralisme certes, mais surtout bien plus de nuances, de critères de choix, d’opinions, et de créativité.
Réduire le champs du débat politique à un stérile bipartisme semble être une obsession du moment....
Il ne serait sans doute pas inintéressant de savoir ce que sont les arrières-pensées de ceux qui en font la promotion...