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Gil

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  • Gil 13 novembre 2007 13:45

    Bonjour Fabrice,

    Vous avez tout à fait raison : j’ai lu l’article un peu trop vite... merci pour cette remarque.



  • Gil 12 novembre 2007 11:15

    Bonjour « passesmoiles jumelles »,

    Si « ...le rationalisme est la pire forme de fanatisme qui puisse être et dont découlent tous les autres », que dire de « l’irrationnalisme » ?

    Le problème n’est pas la capacité à être rationnel, la rationnalité n’est qu’un moyen. C’est l’objectif recherché qui fera que cette rationnalité sera utile ou nuisible : un dictateur peut en effet être très rationnel, mais heureusement qu’un médecin par exemple, l’est également... Imaginez cinq minutes le toubib « irrationnel » qui osculte votre voûte plantaire pour soigner une angine ! smiley

    Donc, vive la rationnalité !



  • Gil 12 novembre 2007 10:40

    Bonjour Mr Dambrun,

    L’expérience de Milgram est certes intéressante, mais je suis sûr que n’importe quel stratège militaire en connaissait les résultats depuis les temps antiques. La soumission à l’autorité ayant été de tous temps cruciale dans la gestion d’une armée, Jules César devait déjà en savoir plus long que Milgram sur la question.

    Cette expérience me serait apparue plus intéressante si le « naïf » s’était vu confier la blouse blanche et la responsabilité de mener l’expérimentation. On aurait obtenu des statistiques sur la capacité des cadres intermédiaires à se soumettre, et à soumettre, à l’autorité.

    On peut aussi approcher ces questions de soumission de groupes sociaux par une approche de faits historiques : étude d’archives militaires (révoltes ou non de « poilus » dans les tranchées, désorganisations en cours de batailles...), comportements dans les camps de prisonniers, etc... mais aussi en ouvrant plus largement le champs sur des questions comme celle du contrat social (Rousseau était sûrement un psychosociologue avant l’heure...).

    Si la soumission est l’objectif recherché, alors l’étude de la motivation à se soumettre parait plus intéressante. On peut par exemple se demander quelle serait la méthode la plus efficace pour l’obtention d’une obéissance optimum selon un contexte et une durée déterminée. On devrait trouver je pense que l’adhésion à une communauté d’objectif serait la meilleure réponse. Mais bon, il faudrait sûrement expérimenter pour le prouver.

    La question du contrat social peut finalement être abordée comme un contrat d’objectifs définis sur la base d’un vivre ensemble possible par le partage d’un minimum de valeurs communes, et d’une articulation acceptée entre des positions de prise de responsabilité et de soumissions, chacun devant s’épanouir à un niveau de responsabilité qui lui convient.

    La question de la critique de l’autorité est liée à la frustration. Dans l’idéal, celle-ci doit pouvoir s’exprimer sans remise en question de l’autorité. Pourtant, chacun est prompt à critiquer l’autorité, mais bien souvent peu enclin à se tenir prêt à assumer la responsabilité de celui qui la détient. Typiquement, un groupe quelconque va assez aisément critiquer un responsable détenteur de l’autorité, mais peu de ses membres seront candidat à l’accession à un niveau supérieur de responsabilité.



  • Gil 8 novembre 2007 11:35

    Mr Irri,

    Vous avez du citoyen français une vision bien particulière de ses supposées représentations de l’étranger : est-ce un parti pris volontaire de votre part de n’avoir recours qu’à pareils stéréotypes ?

    Je vous cite :

    - « Il est illusoire de penser que les étrangers veulent venir en France, ou dans un autre pays, par choix délibéré » : croyez-vous vraiment que c’est là ce que pense un français moyen ?

    - « Les populations dites riches, qui prétendent d’une part reconnaître la responsabilité quant à la pauvreté créée dans les pays émigrés (colonisation, guerres, dépendance financière et énergétique), nient d’autre part être responsables de l’accroissement de leur misère ».

    1) Les français ne sont plus riches : leur état (donc eux-mêmes) est endêtté à hauteur de 2000 milliards d’euros... Il faudrait commencer à percevoir cette réalité. Certes, certains français sont individuellement très riches, mais ce n’est pas le cas de tous, loin s’en faut ! De la même manière, certains étrangers sont également très riches, et certainement bien plus qu’un français moyen...

    2) L’accroissement de la misère dans les pays d’immigration est avant tout lié à un accroissement sans précédent dans l’histoire de l’humanité, de la DEMOGRAPHIE. Pensez seulement qu’un quart de la population algérienne, pour ne prendre que cet exemple, a moins de 25 ans ! Pourquoi ne pas admettre cette simple réalité, au lieu d’évoquer la colonisation que la majorité de ces populations n’ont même pas connue...

    - les « délocalisations » : croyez-vous que dans le contexte actuel de la mondialisation, les entreprises se soucient des étrangers qui veulent s’installer en France pour délocaliser leurs productions ? D’ailleurs, elles l’ont fait un temps vers l’afrique (le textile en Tunisie par exemple), puis elles sont parties vers l’Asie où le coût de la main d’oeuvre était encore moins cher...

    - « (...) souvent dans des métiers si rudes que les « bons Français » n’en veulent pas ». Les personnes en situation irrégulière ne peuvent travailler par définition que dans des secteurs où le travail clandestin existe : principalement le batiment, et surtout la restauration (d’après un récent rapport, il y aurait 1/4 de travail au noir dans ce secteur). Pour autant, nombre de français travaillent dans ces secteurs, donc ne ditent pas que « ils n’en veulent pas ».

    - « Le problème des banlieues (...) est un problème social. Les blancs, comme les noirs et les arabes vivants dans ces cités sont soumis à cette violence car faute de travail(...) » : et oui, il est bien là le problème. Tout cela n’a pas grand chose à voir avec le racisme, c’est avant tout un probléme ECONOMIQUE. En effet, quand un pays n’a plus assez de travail pour ses propres citoyens, qu’ils soient ou non d’origine étrangère, comment pourrait-il en fournir à des étrangers ?

    - « Que reproche-t-on aux étrangers ? D’être étrangers tout bêtement (...) ». Ca ,c’est n’importe quoi ! Ne faites pas de généralisation visant à faire passer l’ensemble des français pour des xénophobes.

    Rappelons que la France a accueilli et intégré quand son économie était florissante des étrangers venus de partout. Rappelons aussi que nombre de français ne sont pas blancs. Donc, arrêtez de faire passer les français pour des racistes congénitaux.

    Quel est finalement le sens exact de votre article ? Je pense que votre conclusion aurait dû être votre introduction. Vous auriez pu partir en effet du contexte : « Puisque nous ne pouvons malheureusement pas accueillir tout le monde, et que nous ne pouvons pas n’accueillir personne », et que « il (vous) tarde de connaître les critères qui seront définis » pour l’accueil des nouveaux migrants, vous auriez pu proposer des pistes de réflexion, et conclure en donnant votre avis.



  • Gil 19 octobre 2007 11:33

    le titre de l’article est bien trouvé car il résume bien la situation...

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