goc

Pour ma part, je maintiens que la tactique originale des ricains était soit d’attaquer le sud (vers la Crimée) par les UK afin d’obliger les russes à dégarnir le front Nord et permettre à l’OTAN d’attaquer la Bielorussie puis d’envahir la Russie dans un « D-Day » holywoodien. L’autre option était au contraire d’attaquer d’abord la Bielorussie afin d’obliger les russes à envoyer un maximum de renforts au Nord et ainsi de permettre aux OK de revenir en Crimée.

Manque de bol (ou au contraire voulue), le UK ont été incapable d’exécuter le plan. Et je ne parle pas de la haine russophobe des UK qui les pousse à toutes les co..eries (ex : le barrage)

Résultat : en ce moment même les ricains sont en train de passer au plan « C » et d’envoyer un maximum d’armes à l’OTAN afin de préparer une invasion à grande échelle, car ils n’ont plus le choix (leur arrogance congénitale leur interdit toute idée de reddition) . Il ne leur manque plus que le « motif » genre ; « il faut sauver le soldat rayanski », d’où l’idée que même l’échec de la contre-offensive pourrait être voulue afin de bien faire pleurer dans les chaumières

@Eric F

Merci de votre sympathique suggestion, et on remerciera le ciel de cette pluie de missiles salutaires.

C’est à peu prés ce que se sont dit les centaines de milliers de civils, femmes et enfants compris, victimes des bombardements US en Libye, en Syrie, en Afghanistan.
Et je ne parle pas des palestiniens bombardés régulièrement par leurs copains nazionistes

@njama
Moi je préconise plutôt de neutraliser l’Europe (GB compris).
Et c’est assez facile : avec une vingtaine de missiles hypersoniques de précision, il suffit de détruire les 4 principaux terminaux pétroliers et les 8 ou 9 terminaux GNL pour priver l’Europe de gaz et d’essence.
Et si l’UE est à l’arrêt, l’économie US s’effondrera (elle est déjà très fragile), car si les ricains veulent la peau des teutons, ils ne veulent pas la banqueroute totale de l’Europe, et encore moins de leur valets qui doivent avoir assez d’argent pour acheter les bons produits made in USA. Alors l’UE en faillite c’est pas trop bon pour le commerce.
Quand à fantasmer sur une intervention des ricains pour venir nous sauver, n’y comptez pas, ils se replieront sur eux-mêmes car la guerre civile les attend.

@Jelena
Vous n’avez rien compris a cette guerre. Coté russe on se bat pour sa survie. Coté occidental, on est dans l’irrationnel et surtout dans l’obéissance aveugle afin de préserver les intérêts et l’hégémonie US. Coté US, on est aussi dans le cadre de sa survie économique d’abord, puis la survie du $$$ (voir les BRICS), et enfin la survie des néo-cons, Biden en tête.
Donc cela ne peut que finir par une guerre totale et directe, occident contre Russie. Par contre, cette guerre ne sera pas obligatoirement nucléaire, car les russes ont largement les moyens militaires de neutraliser l’UE, et l’alliance anti-US a largement les moyens de neutraliser le système financier base sur le $$$.

Les occidentaux font une erreur stratégique majeure, à savoir : les russes, poussés à bout, n’auront d’autres choix que d’utiliser les armes nucléaires tactiques. C’est même pour cette raison que la tactique US consiste à s’approcher doucement des lignes rouges russes, sans que ces derniers n’agissent (du fait que, dans ce cas, ces mêmes russes n’auraient pas d’autres armes que la bombinette)

Or ces mêmes occidentaux oublient qu’avant l’arme « ultime », il existe dans l’armement russe, toute une panoplie de solutions aussi « efficaces » que l’arme nucléaire, voir même plus. Un exemple pour montrer cela.

La France dispose de 2 terminaux pétrolier (Le Havre et Fos/Mer), ainsi que 3 pipelines francais et/ou allemands. Elle a aussi accès à 7 terminaux GNL

Donc il suffit à la Russie d’envoyer une petite vingtaine de missiles hypersoniques (donc inarrêtables) sur nos terminaux, pour priver la France d’essence et de gaz pour au moins 1 an.

Quand on voit les simples dégâts d’une gréve avec blocage de raffineries durant 3 semaines, je vous laisse imaginer les dégâts sur notre économie, après 1 an sans pétrole et sans gaz. Et même l’UE ne s’en remettrait pas.