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Informaticien cevenole, c'est dire le combat de tous les jours entre high-tech et ruralité
, combat garant d'une ouverture au monde et d'une curiosité jamais assouvie. Combat aussi pour une tolerance et une relativisation des choses, toutes ces valeurs que j'ai acquis au cours de mes nombreux voyages professionels de par le monde.

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  • Premier article le 03/11/2011
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Derniers commentaires



  • goc goc 9 mai 2023 18:25

    @Nicolas36

    Je pense que les faiblesses de l’OTAN font parti de l’enfumage. Il se pourrait bien que les occidentaux sont beaucoup mieux armés qu’ils le font croire, et arment discrètement la Pologne (voir la Finlande).
    Les ricains rêvent de nous refaire le coup du 6 Juin 45 voir répéter le carnage de la 2eme guerre du Golf, quand, se croyant jouer à la gameboy, massacraient les irakiens rentrant de leur invasion du Koweit

    Ceci étant, je pense aussi qu’ils se prendront une branlée definitive, car ils continuent à se croire les plus fort



  • goc goc 9 mai 2023 10:44

    @ l’auteur

    Comme d’habitude, très bonne analyse de la situation, bien dégagée (entre les oreilles), de la « propagande système »

    Ceci étant, je vais prendre un risque concernant cette contre offensive. Pour moi, on assiste à un enfumage à grande échelle, tel que les perfides anglo-saxons savent le faire, dans le but de nous refaire le grand débarquement normand et provençale de 45. Je m’explique : je pense que le lancement de la « contre-offensive » sera le point de départ de l« implication directe de l’Otan dans ce conflit.Je vois un lancement de l’offensive occidentale depuis la Pologne avec troupes et armes otanesques, ayant comme objectif premier d’attaquer la Biélorussie, afin de d’attirer l’armée russe vers le nord (pour soutenir la Biélorussie, et du coup, soulager le front Sud (suite au depart des russes vers le front Nord) , permettant, comme 2eme objectif, d’attaquer la Crimée avec l’armée ukrainienne.

    Le fait d’envahir de suite la Biélorussie avec les forces occidentales, empêchera la Russie d’utiliser ses armes nucléaires contre l’OTAN, ce qui n’empêchera pas la Russie de bombarder Paris ou Londres, voir Washington.

    Cette stratégie peut paraitre folle, mais avec les ricains tout est possible, y compris se prendre une branlée mémorable, car il ne faut pas ignorer la situation catastrophique de l’occident acculé à la faillite financière, militaire et morale, et donc poussé au »jusqu’au-boutisme".



  • goc goc 3 mai 2023 11:54

    Medjdoub Hamed
    Auteur et chercheur spécialisé en Economie mondiale,
    Relations internationales et Prospective

    Après on s’étonne du classement Pisa ridicule, voir plus, de la France en matière d’Éducation, quand on voit la qualité de nos « chercheurs »...  smiley

    Tel Bubule, le poisson rouge qui, lors de son 4756ème tour du bocal, ne se souvient plus ce qu’il a fait le tour précédent, notre « chercheur en n’importe quoi » oublie (volontairement ??) le coup d’État de 2014 et surtout le génocide programmé (demandez à flamby et à la mere kelle pourquoi ils ont signé les accords de Minsk) d’une armée soutenue par les ricains, contre son propre peuple, et où je crains que lorsque les vapeurs de la guerre se seront dissipé, on trouve des dizaines d’« Oradour-sur-Glane » après le passage des waffen banderias ukronazis



  • goc goc 28 avril 2023 12:18

    @Joséphine
    L’histoire a montré de nombreuses fois que les sanctions sont toujours contournées par ceux qui les subissent

    ce n’est pas aussi simple. Les exemples de Cuba, de la Serbie, et surtout de l’Iran, démontrent que les dégâts occasionnés par les sanctions, sont très durs pour les peuples et amplifient le pouvoirs des dirigeants locaux.

    Concernant le problème de la fin des sanctions, on oublie un point important, c’est celui de savoir si le « sanctionné » veut toujours continuer à commercer avec le « sanctionneur » ou s’il va lui expliqué que depuis ces sanctions, le dit sanctionné s’est aperçu qu’en fait, il se passe très bien de ne plus pouvoir commercer avec le sanctionneur, et même qu’il y gagne plus à ne plus travailler avec l’autre.



  • goc goc 28 avril 2023 04:25

    @Eric F
    il suffit de voir le nombre de réfugiés politiques qui se précipitent vers un pays pour mesurer son attractivité en terme de respects des droits et qualité de vie.

    Exact. Regardez Julien Assange, il ne veut toujours pas quitter l’Angleterre. Quoique certains disent qu’il pense à aller finir ses jours aux USA.
    Mais bon, le principal c’est qu’il reste dans le club des démocraties

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