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gorguetto

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Une vie dans les cuisines et me voilà pâtissier, boulanger. Après une année d'oisiveté, j'ai senti qu'il me fallait dare dare reprendre une activité.
J'enseigne mon savoir à de jeunes femmes russes, c'est très gratifiant, d'enseigner et de garder une activité professionnelle, d'être utile.... mon bonheur !

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Derniers commentaires



  • gorguetto gorguetto 13 juin 2018 18:17
    @Theoletna
    Il est où le blasphème ? C’est le vieux petit prince ?


  • gorguetto gorguetto 1er juin 2018 10:15

    @Mélusine ou la Robe de Saphir.
    Votre message ressemble bien au visage de votre avatar. Un regard inexpressif, gris, qui fixe sans rien voir, préoccupé intérieurement, sans joie, sans tristesse. Un vide abyssale insaisissable. Le printemps est beaucoup plus beau, et je ne rejoins pas Botticelli dans sa représentation anthropomorphique.



  • gorguetto gorguetto 1er juin 2018 09:36

    @Mélusine ou la Robe de Saphir.
    Gentille Damoiselle, oyez et relisez Nicolas, gardez le sur votre chevet :

    Il est certains esprits dont les sombres pensées
    Sont d’un nuage épais toujours embarrassées ;
    Le jour de la raison ne le saurait percer.
    Avant donc que d’écrire apprenez à penser.
    Selon que notre idée est plus ou moins obscure,
    L’expression la suit, ou moins nette, ou plus pure.
    Ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement,
    Et les mots pour le dire arrivent aisément.

    Surtout, qu’en vos écrits la langue révérée
    Dans vos plus grands excès vous soit toujours sacrée.
    En vain vous me frappez d’un son mélodieux,
    Si le terme est impropre, ou le tour vicieux ;
    Mon esprit n’admet pour un pompeux barbarisme,
    Ni d’un vers ampoulé l’orgueilleux solécisme.
    Sans la langue, en un mot, l’auteur le plus divin
    Est toujours, quoi qu’il fasse, un méchant écrivain.

    Travaillez à loisir, quelque ordre qui vous presse,
    Et ne vous piquez point d’une folle vitesse ;
    Un style si rapide, et qui court en rimant,
    Marque moins trop d’esprit, que peu de jugement.
    J’aime mieux un ruisseau qui sur la molle arène
    Dans un pré plein de fleurs lentement se promène,
    Qu’un torrent débordé qui, d’un cours orageux,
    Roule, plein de gravier, sur un terrain fangeux.
    Hâtez-vous lentement ; et, sans perdre courage,
    Vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage :
    Polissez-le sans cesse et le repolissez ;
    Ajoutez quelquefois, et souvent effacez.

    C’est peu qu’en un ouvrage où les fautes fourmillent,
    Des traits d’esprit semés de temps en temps pétillent.
    Il faut que chaque chose y soit mise en son lieu ;
    Que le début, la fin répondent au milieu ;
    Que d’un art délicat les pièces assorties
    N’y forment qu’un seul tout de diverses parties ;
    Que jamais du sujet le discours s’écartant
    N’aille chercher trop loin quelque mot éclatant.

    Craignez-vous pour vos vers la censure publique ?
    Soyez-vous à vous-même un sévère critique.
    L’ignorance toujours est prête à s’admirer.
    Faites-vous des amis prompts à vous censurer  ;
    Qu’ils soient de vos écrits les confidents sincères,
    Et de tous vos défauts les zélés adversaires.
    Dépouillez devant eux l’arrogance d’auteur ;
    Mais sachez de l’ami discerner le flatteur :
    Tel vous semble applaudir, qui vous raille et vous joue.
    Aimez qu’on vous conseille et non pas qu’on vous loue.

    Un flatteur aussitôt cherche à se récrier :
    Chaque vers qu’il entend le fait extasier.
    Tout est charmant, divin : aucun mot ne le blesse ;
    Il trépigne de joie, il pleure de tendresse ;
    Il vous comble partout d’éloges fastueux :
    La vérité n’a point cet air impétueux.

    Un sage ami, toujours rigoureux, inflexible,
    Sur vos fautes jamais ne vous laisse paisible  :
    Il ne pardonne point les endroits négligés,
    Il renvoie en leur lieu les vers mal arrangés,
    Il réprime des mots l’ambitieuse emphase ;
    Ici le sens le choque, et plus loin c’est la phrase.
    Votre construction semble un peu s’obscurcir ;
    Ce terme est équivoque, il le faut éclaircir.
    C’est ainsi que vous parle un ami véritable.

    Boileau, Art poétique, Chant I, v. 147-207



  • gorguetto gorguetto 3 mai 2018 17:28


    @izarn
    Détrompez-vous, Macron n’est pas ce que vous écrivez, et même quand il se comporte indignement à embrasser Trump sur la bouche, son but est bien de détruire l’image de la France. Regardez bien cette photo si vous pouvez :

    https://1.bp.blogspot.com/-wO5Ma4WULgU/WumlmLEY7uI/AAAAAAAAqrA/Uqvkc_GqCigwCWNosstqplUlslCPPr6dAC LcBGAs/s640/1494757694-58ff9e0cc3618892468b45d0.jpg

    Mais surtout, écoutez cette interview de Upinsky qui vous explique la technique de Macron

    https://www.youtube.com/watch?v=eRmvrROr-Go

    Macron est un exécutant, et il tient parfaitement son rôle. Il aura une belle récompense.



  • gorguetto gorguetto 3 mai 2018 17:17

    @gorguetto
    Je dois ajouter que pour faciliter l’intervention rapide des armées dans les pays de l’Europe, une loi sera bientôt promulguée permettant la libre circulation des armées de l’Otan dans tous les pays de l’Europe.
    C’était le dernier outil nécessaire pour légaliser les interventions dont j’ai parlé plus haut. On croirait vivre un cauchemar, mais réveillez-vous, c’est la réalité.
    http://www.secret-defense.org/29/03/2018/otan-vers-un-schengen-militaire/

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