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Bizarre, je pensais que c’était le français... Il faut dire que la Louisiane qui a été cédée aux USA est bien plus grande que le seul État actuel. Et naturellement, en Louisiane, on parlait français.

Si je me souviens bien, quand il a fallu déterminer quelle allait être la langue officielle des USA, l’anglais n’a battu le français que d’une voix.

Ah bonjour Hiéronymus, vous n’êtes donc plus balte ?
Les USA sont une aberration née dans le sang des natives, dans les outrances religieuses, dans le culte de l’argent. Dénués du moindre scrupule, ils mettent la Terre en coupe réglée pour leur seul bénéfice. Ils sont un cancer qui ronge notre planète, sans espoir de les voir se calmer tant leur appétit est insatiable.

Il n’y aurait qu’une solution à cette catastrophe, qui jour après jour met en coupe réglée tout l’échafaudage des vieilles civilisations auxquelles il n’y entendent goutte : il faut détruire cette erreur, entièrement et soigneusement, dans ses politiciens, ses religieux fanatiques, ses financiers sans scrupules, son système armé basé sur l’attaque tous azimuts, ses industriels dont le profit est la seule religion, et quelle religion !

Après seulement, la terre pourra respirer.

@ Bruno R
OTAN, OMC, autant de groupements où notre pays et ses habitants sont engagés sans leur accord. A partir de là, il y a outrepassation de pouvoir et il est logique d’attaquer ceux qui ont signé contre notre gré. Gouvernement mondial, il est dans les faits dès que celui qui est en haut n’est plus la courroie de transmission du pouvoir, mais le pouvoir lui-même. Faut-il le rappeler, « tout pouvoir vient du peuple ». Depuis un certain temps, ce n’est absolument pas le cas, et le peuple aurait le droit moral, et l’obligation de s’y opposer.

Né un 18 juin, je pense automatiquement à un autre 18 juin dont ne parle jamais en France.

Le 18 juin 1815, ce fut Waterlo. Les dates se bousculent, de défaite napoléonienne en défaite dont on se demande encore quelle magistrale embrouille a causé ce cataclysme, où des officiers (pas tous) se ruaient à l’arrière, laissant leurs troupes se défendre sans coordination.

La réponse la plus cinglante, en 1940, vint sans un mot d’officiers de renseignement qui restèrent fidèles au poste, jusqu’à la mort souvent. Je veux parler du renseignement militaire, où un certain colonel Brouillard, déjà contumace en 1917 pour les Allemands, a expliqué ensuite les trésors d’héroïsme caché de ce qui devint officiellement « Les travaux fonciers ».

Encore un « machin » inutile, inadéquat, qui cachera aux jeunes Français ce que fut la lutte vraie contre un envahisseur (quel que soit cet envahisseur, par exemple des soldats français en Afghanistan, supplétifs de l’envahisseur réel).