Moi j’ai choisi, je quitte la Soc Gen pour la NEF, ca suffit ! Je m’en vais et je leur explique pourquoi. Si nous sommes de plus en plus nombreux à adopter cette démarche, peut être qu’ils se rendront compte que leurs clients attendent autre chose d’une banque que de jouer au casino à la bourse avec leurs économies...
Voilà la lettre que j’enverrai dans quelques jours à ma banque :
OBJET : Fermeture de mon compte à la Société Générale - Motifs
	Je souhaite par la présente lettre fermer définitivement mon compte courant à la Société Générale. Je vous prie de faire le nécessaire afin que mon compte soit clôturé d’ici à la fin du mois d’avril avant le prochain prélèvement de mon abonnement Jazz. Vous trouverez dans cette lettre ma carte bleue visa découpée et j’atteste que mon dernier chéquier a été détruit.
	Malgré le fait que je sois dépositaire d’un compte courant chez vous depuis plus de 20 ans, je n’adhère plus au fonctionnement des banques « classiques » en général ni à celui de votre banque en particulier. Les événements récents qui ont eu lieu au sein de votre banque m’ont fait perdre tout crédit en votre institution. Que ce soit la perte de 5 milliards d’euros dans l’affaire Kerviel, ou le plan de stock options retiré sous la pression du gouvernement et de l’opinion publique ces derniers jours, en passant par les 11 milliards reversés par AIG pour compenser vos investissements dans les subprimes américains, tout ceci démontre que votre banque ne sait pas gérer correctement l’argent que les particuliers et les entreprises lui ont confié et que les seuls intérêts que portent vos dirigeants sont ceux de la course au profit et de la spéculation effrénée. Nous, contribuables payons maintenant le prix fort de ces choix catastrophiques de gestion et de l’avidité d’une poignée de personnes à la direction de votre banque.
	Je suis également très déçue de constater que la Société Générale finance de nombreuses activités extrêmement polluantes (mines de charbon, nucléaire...), apporte son soutien à l’industrie de l’armement et n’accorde que peu de crédits aux projets liés à l’environnement et à la solidarité. Ceci va à l’encontre de mes convictions, mais je reste convaincue que le capitalisme financier qui nous gouverne n’est pas une fatalité et que nous pouvons par nos choix citoyens, et le choix de notre banque notamment, nous orienter vers une société différente porteuse de valeurs plus nobles.
	Pour tous ces motifs, je quitte votre banque pour ouvrir un compte-joint à la NEF avec mon conjoint, qui a également quitté sa banque (La Poste) pour des raisons similaires. Nous avons fait le choix d’une banque éthique et solidaire, qui replace l’homme et l’environnement au centre de son action et qui refuse d’alimenter la spéculation boursière. Je reste néanmoins attentive à une éventuelle réponse qui sera faite à ma lettre, ainsi qu’à l’évolution de votre politique générale. Un alignement sur les engagements éthiques et solidaires pris par ce nouveau genre d’organismes financiers qui se développent à l’échelle nationale et européenne serait à même de me faire revenir vers une banque comme la vôtre.
	Je souhaite que cette lettre, ajoutées à celles d’autres clients ayant quitté la Société Générale pour les mêmes motifs, vous amène petit à petit à proposer une offre bancaire plus en adéquation avec les attentes d’une nouvelle clientèle, citoyenne et responsable. Dans le cas contraire, je crains que nous ne soyons de plus en plus nombreux à nous tourner vers ceux qui auront fait ces choix à votre place. Pour terminer, je précise que j’ai rien à reprocher à votre personnel d’agence, ni au service dont j’ai pu bénéficier en tant que cliente chez vous, et que la fermeture de mon compte n’est motivée que par l’irresponsabilité de vos dirigeants.
Sinon, quand on n’est pas content, et c’est mon cas, on quitte sa banque et on leur explique pourquoi. Je ferme mon compte à la Soc Gen, et voici une copie de la lettre que je leur ferai parvenir d’ici quelques jours...
OBJET : Fermeture de mon compte à la Société Générale - Motifs
	Je souhaite par la présente lettre fermer définitivement mon compte courant à la Société Générale. Je vous prie de faire le nécessaire afin que mon compte soit clôturé d’ici à la fin du mois d’avril.
	Malgré le fait que je sois dépositaire d’un compte courant chez vous depuis plus de 20 ans, je n’adhère plus au fonctionnement des banques « classiques » en général ni à celui de votre banque en particulier. Les événements récents qui ont eu lieu au sein de votre banque m’ont fait perdre tout crédit en votre institution. Que ce soit la perte de 5 milliards d’euros dans l’affaire Kerviel, ou le plan de stock options retiré sous la pression du gouvernement et de l’opinion publique ces derniers jours, en passant par les 11 milliards reversés par AIG pour compenser vos investissements dans les subprimes américains, tout ceci démontre que votre banque ne sait pas gérer correctement l’argent que les particuliers et les entreprises lui ont confié et que les seuls intérêts que portent vos dirigeants sont ceux de la course au profit et de la spéculation effrénée. Nous, contribuables payons maintenant le prix fort de ces choix catastrophiques de gestion et de l’avidité d’une poignée de personnes à la direction de votre banque.
	Je suis également très déçue de constater que la Société Générale finance de nombreuses activités extrêmement polluantes (mines de charbon, nucléaire...), apporte son soutien à l’industrie de l’armement et n’accorde que peu de crédits aux projets liés à l’environnement et à la solidarité. Ceci va à l’encontre de mes convictions, mais je reste convaincue que le capitalisme financier qui nous gouverne n’est pas une fatalité et que nous pouvons par nos choix citoyens, et le choix de notre banque notamment, nous orienter vers une société différente porteuse de valeurs plus nobles.
	Pour tous ces motifs, je quitte votre banque pour ouvrir un compte-joint à la NEF avec mon conjoint, qui a également quitté sa banque (La Poste) pour des raisons similaires. Nous avons fait le choix d’une banque éthique et solidaire, qui replace l’homme et l’environnement au centre de son action et qui refuse d’alimenter la spéculation boursière. Je reste néanmoins attentive à une éventuelle réponse qui sera faite à ma lettre, ainsi qu’à l’évolution de votre politique générale. Un alignement sur les engagements éthiques et solidaires pris par ce nouveau genre d’organismes financiers qui se développent à l’échelle nationale et européenne serait à même de me faire revenir vers une banque comme la vôtre.
	Je souhaite que cette lettre, ajoutées à celles d’autres clients ayant quitté la Société Générale pour les mêmes motifs, vous amène petit à petit à proposer une offre bancaire plus en adéquation avec les attentes d’une nouvelle clientèle, citoyenne et responsable. Dans le cas contraire, je crains que nous ne soyons de plus en plus nombreux à nous tourner vers ceux qui auront fait ces choix à votre place. Pour terminer, je précise que j’ai rien à reprocher à votre personnel d’agence, ni au service dont j’ai pu bénéficier en tant que cliente chez vous, et que la fermeture de mon compte n’est motivée que par l’irresponsabilité de vos dirigeants.
Je voudrais rappeler à tous ceux qui ont vilipendé la rédactrice de l’article, le code de la route, Article R431-9 (Décret nº 2003-283 du 27 mars 2003 art. 3 Journal Officiel du 29 mars 2003), qui stipule que « Les conducteurs de cycles peuvent circuler sur les aires piétonnes, sauf dispositions différentes prises par l’autorité investie du pouvoir de police, à la condition de conserver l’allure du pas et de ne pas occasionner de gêne aux piétons.
[...] Le fait, pour tout conducteur, de contrevenir aux dispositions du présent article ou à celles prises pour son application est puni de l’amende prévue pour les contraventions de la deuxième classe. »
Si vous rouliez bien au pas à la même allure que les piétons, et qu’aucune signalétique n’indiquait d’interdictions aux vélos sur ce trottoir, vous n’étiez pas en infraction. Si je comprend bien ce texte de loi, une infraction à ce décret, par exemple rouler à vive allure sur le trottoir vous fait encourir une amende de 2nde classe, soit une amende de 35 €, minorée à 22 € si on paie dans les trois jours et majorée à 75 € si on a un retard de paiement de plus de quarante cinq jours et pouvant atteindre une valeur maximale de 150 €.
Pour récapituler, si vous êtes honnête dans votre récit des faits, vous n’étiez pas en infraction, si vous avez enjolivé un peu et que vous rouliez plus vite, vous auriez du payer dans le meilleur des cas 22 euros.