Individu sans prétention ni étiquette, d’un niveau intélectuel moyen sans culture particulière... bref, le prototype du gars qui ne se retrouve pas dans le monde qui l’entoure mais qui se rend bien compte qu’il en fait parti, quoiqu’il en pense.
Ben on dirai une illumination collective dit donc... en fait on est rien de moins que dans les shemas feaudaux qui régissent notre monde merveilleux depuis l’avènement même de ce qu’on appèle l’histoire... les classes dirigeantes et leurs réseaux internes et consanguins, bien... et alors ? On brûle tout ? les daufins de nos élites n’attende que ça... on fait rien ? leurs héritages sont assurés quoi qu’il arrive. A une époque, l’homme vivait de ce que lui offrait le monde, se contentait d’une vie simple, acceptait son destin(ou l’ignorait selon les cas...), n’avait pas de « besoins » autres que vitaux et surtout, n’avait pas besoin de monayer son existence si ce n’est à coup de masse(les aléas de la loi de la jungle...). Quand un jour ! Il a voulu savoir, avoir et voir au dela de son territoire si l’herbe était plus verte. Cela demandant une organisation de plus en plus complexe, il a fallu commencer à négocier des alliances et des rapports de forces ce sont mis en place d’eux même menant, petit à petit, de simples conflits de dominance tout à fait bestiaux à des organismes de renseignements et de controle structurés et manipulateurs à grande échelle : socialisation, religion, éducation, civilisation, nationalisation, fédération, mondialisation... tout cela s’accompagnant naturellement de son cortège d’inventions stupides n’ayant pour unique but que de générer des besoins fictifs, modes de vie et dépendances artificiels dans le seul but de donner l’impression aux masses qu’elles décident de leurs destinées(de l’élevage en somme...) comme vous le faites en ce moment en échangeant ces belles idées elles même guidées par l’éducation dispensée depuis des générations dans nos sociétés socio-religieuses par des moyens de communications matérialisés et controlés dans les mêmes shemas et les mêmes buts de manipulation et de controle et correspondant à des plans et des normes pré-établis... tout comme les mots que je vous adresse ici même(controlés et modérés si besoin...) pour autant que vous puissiez les lire ce qui signifie simplement que, aussi contestataire que pourrai paraître mon discours, il ne serai pas jugé plus dangereux que le votre. Nos tristes vie conditionnées en sont là... c’est réel et croyez moi, il y a des alternatives mais n’allez pas vous imaginer qu’aujourd’hui, au jour où l’on peut vous compter les poux sur la tête d’une orbite géostationnaire, ce serai par le biai de communautés virtuelles dites « libres » et où jamais vos regards se croiseront que vous pourrez atteindre une réalité qui elle est bien physique. En ligne les révolutions resteront virtuelles elles aussi. Quelque soit le média, vous y serez rien de plus que ce que l’on voudra laisser voir ou entendre et, à moins d’en être le maître, vous n’en tirerez que des illusions. Construisez votre réalité DANS la réalité, et surtout hors des sentiers battus dans le passé et qui nous conduisent toujours aux même recommencements, le Che et ses idées sont morts, Robin des bois n’exitait pas et dieu non plus. On est dans chicken run et la machine à tourtes est prête, alors, apprenez à voler ou pondez un bel oeuf tout les jours.
Hop ! me re-voilà... Je m’excuse d’avance auprès de ceux qui sont dans la technique et l’analyse de pointe, je n’ai qu’un regard d’amateur sur tout ça, mais ne savons-nous pas depuis les penseurs grecs de l’antiquité que tout système économique basé sur des écarts de revenus d’un ratio supérieur à 20 serai voué à l’échec... une chose dont je suis sûr, c’est que la logique industrielle et spéculative nous a déjà emmenés 50 fois plus loin, sans aller faire de comparaison occident / tiers-monde... le quart-monde me parait bien suffisant pour le réaliser. Comme le fait remarquer Denis, à quoi sert-il encore de gagner plus quand on a déjà tout et surtout tout pris aux autres. Et quid de la réalité écologique du monde, allons nous tous faire comme la chine et mépriser une réalité mondiale au profit d’un essor illusoire et basé sur des ressources qui ressemblent à un suicide collectif. La réflection, même économique, ne se doit-elle pas aujourd’hui de tenir compte de nombreux et profonds changements de nos modes de vie dans leur ensemble. Essayer de croire au redressement d’un appareil financier voué à la faillite par ses propres principes, est-ce bien sérieux... aurons nous réagi avant le soleil vert, le monde parfait ou qu’un prix nobel mal placé ne nous offre un holocauste planétaire. La question pour moi n’est pas de savoir si ma génération aura une retraite mais bien de savoir si le mal n’est pas beaucoup plus profond et si la volonté d’y répondre existe ailleurs que dans les chansons de John Lenon. Les richesses produites et le progrès sont-ils encore ce qu’ils ont l’air d’être ou ce qu’on veut nous faire croire ? Finalement, Denis nous a répondu depuis le début : le problème est ailleurs !
Dernier PS : Denis, les engueulades, c’ est moi qui les vois dans le débat au sens large parceque des engueulades sur le sujet, y’en a, je ne parlais pas de ton article et Pasou ton dernier commentaire est hors sujet et je ne rentrerai pas la dedans, ce genre d’idées n’apporteront jamais d’eau à aucun moulin si ce n’est ceux des terroristes de tous les bords. Cette métaphore bon marché n’était là que pour montrer que les riches ont toujours su comment calmer les ardeurs du peuple face aux vrais problèmes : du pain et des jeux...
Bon ! J’ai assez joué au philosophe de supermarché et pour raccrocher aux moutons de Denis et de Mélanchon je souhaiterai conclure sur le fait que dans ce système(où nous sommes toujours au dernières nouvelles) il n’y aura pas de solution miracle mais il semble évident, même pour un individu de mon niveau(intellectuel j’entend...), que ça ne se passera pas sans une revalorisation du travail par rapport aux revenus du capital et que tout cela ne tient qu’a une question de volonté politique. Quand à débatre de la réalité de la motivation et de la convictions de ceux qui ont les cartes en main, on s’égarent. Merci à tous.
Bonjour Pasou, je comprend ta colère et la trouve bien légitime mais à mon sens, les révolutions ne sont rien d’autre qu’une des nombreuses armes des puissant pour assoir leur pouvoir sur l’espoir des plus faibles, même lorsqu’ils se révoltent, bien que souvent ils n’est pas d’autre choix... ça s’appèle une purge, la révolution de1917, de 1789(qui on l’a tous appris à l’école a abolit les impos et les privilèges...) ou encore l’histoire du Che l’ont assez démontré pour qu’il soit l’heure de trouver « autre chose ». Je suis bien coscient du vide que je vais laisser derriere cette belle phrase et aimerai surtout que l’on se préoccupent de ce que chacun compte faire de « ses » vieux plutôt que de ce que nous allons faire de « ces » vieux, ça ce serai une vraie révolution. Tout est lié à ce que les hommes attendent de leur existence, l’expérience des anciens ou le renboursement de leur écran plat si la France gagne la coupe du monde...