Je viens de l’entendre répondre à un journaliste qui l’interrogeait sur les horaires réservés aux femmes dans les piscines instaurés à Lille par Aubry, que deux matinées par semaines, cela ne le dérangeait pas. Puis, pour conforter son point de vue, il ajouta que dans les hammam on ne mélangeait pas les hommes et les femmes. Ce à quoi le journaliste lui rétorqua que dans les hammam on est nu. Bayrou voulant avoir, comme toujours, le dernier mot, répondit aussitôt « ah oui, et dans les piscines on est en maillot ! »
À quand les plages « hommes » et les plages « femmes » M. Bayrou ?
Entièrement d’accord avec vous (hormis « placer » à remplacer par « placé ») car je trouve ce personnage absolument détestable, jouant les modestes alors qu’il est imbu de lui-même à un point sidérant.
Je ne suis pas étonné qu’il ait l’oreille de NS, ils font une belle paire tous les deux : je les imagine bien, lors de leurs rencontres, se hisser frénétiquement sur leurs ergots de petits coqs, cherchant à tout prix à paraître chacun un peu plus grand que l’autre.
Ci-dessous copie du mél que j’ai envoyé au Modem. J’ai omis charitablement de leur dire que ce cher François était pourtant bien pourvu pour qu’on l’appareillât discrètement d’une oreillette afin de contrôler ses propos.
Alzheimer quand tu nous tiens...
Je lis dans la presse que Monsieur Bayrou a fait un malaise, de fatigue indique son entourage, après son passage dans l’émission du grand journal sur Canal+.
Lors la diffusion de l’émission sur l’Internet, je ne l’avais pas vue en direct, je m’aperçois que Monsieur Bayrou s’est fourvoyé, de manière grave à mon avis, en niant farouchement des propos qu’il avait pourtant bien tenus, dans le lieu et à la date indiqués par le journaliste avec lequel il était en désaccord.
Ne pas se souvenir de ses propos, je trouve cela inquiétant pour quelqu’un qui ne cache pas son intention de se présenter à l’élection présidentielle, on devinera aisément pourquoi.
Je me fais la réflexion suivante : le ridicule ne tue pas dit-on, mais ne peut-il pas provoquer parfois des malaises... de fatigue ?
Je profite de l’emploi de votre phrase : « Les partis, censés informer etc.. » pour exprimer mon étonnement de ne voir commentée nulle part la liaison faite par le Chef de l’Etat lorsqu’il a prononcé : « Nul n’est censé-t-ignoré la loi ... » alors que de nombreux observateurs se sont esbaudis, ironiquement, de l’imparfait du subjonctif surgissant de sa bouche.
Il est vrai que de la part de celui qui prononce Roujons en parlant des Rougons-Macquart, il n’y a vraiment rien de très surprenant.
L’histoire dira sûrement avec juste raison que ceci est un point de détail.