Je crois comme Jojo2 que ce qui est dérangeant ce n’est pas les revendications des uns et des autres si elles sont légitimes... mais bien les « intentions proclamées » quand elle sont illégitimes.
moi, je considère illégitime :
la volonté de voir Izraël rayée de la carte.
l’expansionnisme (le colonialisme) Izraëlien.
la volonté (si j’ai bien compris) de développer un programme nucléaire civil sans controle international.
Et je considère légitime :
le droit pour Izraël d’exister à l’intérieur des frontière reconnue par la communauté internationale.
le droit pour les palestiniens de vivre sur la terre que leur reconnait la communauté internationale.
le droit pour l’Iran de développer une technologie civile fusse t elle nucléaire.
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En deuxième approximation, je reconnais légitime :
L’inquiétude des Izraëliens dont le territoire est cerné par des régimes qui les regardent de travers. Ce regard de travers ayant largement été PROVOQUE par Izraël elle même.
En deuxième approximation, je ne reconnais pas légitime :
Les revendications d’ordre spirituels (religieux) sur quelque bout de terrain que ce soit. La terre n’appartenant, spirituellement parlant, à PERSONNE ! La terre n’appartient à quelqu’un en particulier que LEGALEMENT et UNIQUEMENT avec l’assentiment de la communauté internationale.
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Les lieux reconnus « saint » par la communauté internationale, (car rien n’existe que par le CONSENSUS) devraient être tres limité en surface (c’est à dire d’une surface SYMBOLIQUE) et appartenir LEGALEMENT à la communauté internationale ELLE MEME. C’est le Drapeau de l’ONU qui devrait flotter au dessus de l’esplanade des mosquée et au dessus du mur des lamentations.
SPIRITUELLEMENT PARLANT, soit la terre n’appartiens à personne, soit elle appartiens à tous les humains.
Car si chacun possède sa foi propre, Dieu est forcement inter-confessionnel.
Si ces deux dernières phrases (apres affinement des termes employés) ne parviennent pas à faire consensus... Alors, on a un VRAI problème !!
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Avec ma naiveté, j’essaye de poser les VRAIES questions.
Celles du « vivre ensemble » !
Désolé si je n’y parviens pas !
Il me semble, a tort peut être, que la notion de RECONNAISSANCE de l’abus deviens prépondérante une fois que le temps à passé. ça n’est plus tant la condamnation du coupable que la reconnaissance en place publique de sa souffrance que recherche la victime.
Personnellement, une fois que le temps a passé... je dissocierai volontiers, la reconnaissance de la souffrance et de la faute... de la necessité de la condamnation.
Actuellement, un proces d’assise, ne fait AUCUN distinguo. Il ferait même la part belle à la condamnation. Et la portion congrue à la douleur de la victime.
Apres 20 ans ? Est ce la condamnation de son violeur dont a besoin la victime ? Ou bien est ce la simple reconnaissance de la faute et de la souffrance qui en a résulté ?
Finalement, ça n’est pas à moi de répondre à cela, c’est à la victime !
Complêtement Naïf et tout a fait d’actualité !
Ce qui n’est pas antinomique !
J’aime la naïveté de celui qui repense son monde pour le voir d’un oeil neuf !
@Jean-Pierre
« C’est une faon de dire que pour comprendre et décrire un problème il faut être en dehors de ce problème. »
Je crois que cela ne s’applique pas à l’Humain, l’Humain peut parfaitement avoir la compréhension et décrire un problème dont il fait parti.
L’Humain est capable de dire :
« Quel est le »problème« de la planète aujourd’hui ? »
« Le problème, C’est l’Humain avec ses défauts !! »
« Mais la solution, c’est aussi l’Humain avec ses qualités !! »
« Et... vous allez rire !!! JE SUIS L’HUMAIN !!! »
« Je suis le problème et la solution de la planète aujourd’hui »
Pas de misérabilisme ni d’auto congratulation dans ce que je dit. juste un constat NAIF !!
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Quand au phénomène d’auto-organisation, c’est une idée qui me plait...
« Dans la vie il n’y a pas de solutions. Il ya des forces en marche : il faut les créer, et les solutions suivent. »
Tonio Dé Santo Exupéryto