C’est bien de se poser des questions mais, plutôt que de perdre votre temps à les rédiger, lire jusqu’à plus soif vous aidera à trouver les réponses. Bon, c’est sûr que la littérature regorge de bouquins insipides ou une merveilleuse idée peine à surgir toute les mille pages. C’est pourquoi je vous conseillerai de ne pas perdre de temps en allant à l’essentiel : http://dndf.over-blog.com/article-2353377.html
Raciste peut être mais pas à l’encontre de qui vous pensez. Ou pas seulement...
Le pain au chocolat de Copé, c’est la version pâtissière du Kärcher de Sarkozy. En gros, ça sert à faire croire au gogo qui en a marre de l’immigration massive que l’UMP est la solution au problème. Comme ça a très bien fonctionné en 2002, ils remettent le couvert.
Mais pour qui a des yeux et des oreilles connecté à un cerveaux, la manigance ne prend pas. Il suffit d’entendre le rabbin Bernheim remercier « tout particulièrement Mr Copé » pour comprendre le trouble jeu de celui ci : http://www.youtube.com/watch?v=pyxwJn8l4Sw
A la solde des zélites planétariennes, ça vous va mieux ? Je ne dis pas capitalistes car quand ils mettent en place des communistes, les richesses qu’ils parviennent à soustraire aux peuples n’en sont pas moins importantes.
Le Washington Post ....ce bon vieil outil de propagande des mondialistes de tous poils....Bref...
C’est vrai que l’exploitation sans limite des européens, au moins depuis la révolution industrielle, n’est qu’un détail de l’histoire du développement économique mondial.
Au fait, saviez vous que les esclavagistes des colonies des Amériques sollicitaient fréquemment les autorités britannique afin de les ravitailler en main d’oeuvre car ils trouvaient que la productivité des droits communs, pour bonne part irlandais, était très satisfaisante.
Vous auriez dû dire : « A fait la prospérité de quelques familles bourgeoises plus ou moins catholiques » des villes citées afin de ne pas jeter l’opprobre sur ces villes entières et leurs habitants, probablement en majorité tout aussi miséreux et sans doute encore plus exploités que les victimes de l’esclavage.