Je crois qu’il n’y a qu’en France que Descartes est aussi synonymes de la logique. On aperçoit dans son oeuvre le schsme qui apparaît entre le pragmatisme expérimentale développé ailleurs (Galilée, Hook, Newton, Huygens,...) et la « philosophie » développé en France et dont on trouve les traces jusqu’au dans les travaux de Bergson ( voir durée et simultaneité). Pour les premiers, on observe les phénomènes physiques et de là on déduit un cadre général ; pour les second, on énonce des principes premiers d’où on dérive les conséquences, quitte à essayer coute que coute de « coller » les observations à la théorie (d’où les tourbillons maintenant les planètes sur leurs orbites). Le contraste paraît frappant dans « le discous de la méthode » oeuvre où il développe « le doute » dans une première partie et qu’il oublie ensuite entiérement quand il développe ses arguments sur Dieu.
Si windows est un monopôle, la faute incombe d’abord à nous. Il ne tient qu’à nous de jeter ce système est utiliser un système libre. Nul besoin de l’intervention d’un état.
Enfin une voix qui sort de la pensée unique, du "juge fait moi peur" et "les intégristes sont parmi nous". Le premier article de Libération qui a révélé l’affaire était très sobre et prenait l’ensemble des arguments mentionnés là. Depuis, il y a eu hystérie médiatique et Libé lui même a modifié son point de vue pour participer au haro. Merci à Mme L’avocate.
Cette mesure n’est pas une invention de ce gouvernement en particulier. En 2002, quand Jacques Chirac est arrivé au pouvoir, la droite a fait flotter l’idée suivante : les maladies graves seront prise en charge par la sécu (solidarité nationale), les autres par les assurances privées que les gens souscriront selon leur convenance. Le tollé à l’époque a fait reculer le gouvernement Rafarin, mais l’idée est une antienne de la droite et revient maintenant sous la forme d’un ballon d’essai lancé par Mme Bachelot. Si cette mesure passe, ça ne sera que le début d’un long processus.