Jeune neurobiologiste et neuropharmacologue comportemental. Tout jeune papa également, qui s’intéresse de plus en plus à l’avenir, pas du sien mais de ses enfants. Anonyme ? Parce qu’on se fout de savoir qui je suis. Ce pseudo ? Je ne suis ni sage ni philosophe, juste parce que j’aime bien l’empiriste (mais je n’ai absolument rien contre l’apriorisme de Kant !). Et puis peut-être aussi tout simplement parce que je suis un fan de Calvin et Hobbes...
Vous faites references aux etudes sur le developpement qui donnent des resultats pour le moins « choquant » parfois. Cependant, ces etudes permettent de comprendre le developpement et ainsi d’eviter plus tard les malformations chez l’homme.
Comme je l’ai dit dans l’article, recherche sur tissu humain ou cellules souches (qui posent d’autres problemes ethiques d’ailleurs, touchant l’homme), c’est de l’in vitro, qui ne permet de rendre compte a l’heure actuelle de la complexite de l’organisme.
Quand vous parlez d’approches plus globales je ne comprends pas trop ainsi que l’exemple de l’environnement (vous parlez des enquetes epidemiologiques ?).