La solution à la prolifération de l’armement nucléaire.
Les pays cultivés et évolués aiment bien se montrer leurs armes nucléaires
ensemble, tout comme P’tit Gibus faisait ses comparaisons avec les copains.
L’avantage des pays sous-développés, c’est qu’ils n’ont pas le droit
aux même armes que nous.
Aujourd’hui, c’est sérieux et nul ne s’aventurerait à dire :
« Messieurs les Anglais, tirez les premiers » !
Comme nous avons vu, qu’une seule caricature pouvait se transformer
en bombe à licencier des patrons de journaux, il serait plus sage de dire
que les pays sous développés n’auront le droit qu’à une seule bombe :
la bombe à raser.
La planète n’est plus divisée entre riches ou pauvres, mais entre barbus
et non barbus. Une bombe à raser ferait tout à fait l’affaire.
Deux bombes à raser dans un turban, n’ont jamais cassé 3 pattes à un canard, grippé ou non.
Mais voilà, avons-nous le droit de nous raser les uns les autres ?
Pourrions-nous alors, nous aimer les uns les autres ?
Chaque religion le dit, y compris les athées.
Et si on essayait ? Depuis 2007 ans, nous connaissons le refrain.
La peine de mort pour les « Kamikazes ? : La »bombe à raser" !
Si les Kamikazes ont peur de mourir avant leur action d’éclat, il n’y aura plus de Kamikazes.
Un Kamikaze mort vaut mieux que deux futurs Kamikazes.
Et il faut savoir qu’un Kamikaze ne sert qu’une fois.
Mais, est-on vraiment Kamikaze avant l’action ?
Bref, les Kamikazes nous gâchent les vacances et c’est inconcevable.
Nous gardons un très mauvais souvenir d’une guerre du Golfe, début août 1990, puis maintenant.
Si 3 à 4 individus barbus ont autant de couverture médiatique qu’une armée entière,
on se demande à quoi servent nos armées.
Toutes ces informations confuses à la Télévision, décalent le journal de la Météo.
Petite suggestion de notre part : et si nous vendions nos idées de congés à rallonge à tous
ces Kamikazes ? Peut-être que cela ralentirait la pose des bombes ?
Le coup des 35 heures serait efficace. Un peu d’humanité, tout de même !
L’ère moderne a ceci de magnifique que, si nous avons toujours vécu
depuis des siècles et des siècles avec des guerres de religion qui nous tenaient chaud,
nous réalisons maintenant des guerres « humanitaires »,
dotées de bombes « propres » et règlementaires.. Formidable, non ?
Les pays cultivés et évolués aiment bien se montrer leurs armes nucléaires ensemble,
tout comme P’tit Gibus faisait ses comparaisons avec les copains.
L’avantage des pays sous-développés, c’est qu’ils n’ont pas le droit
aux même armes que nous.
Aujourd’hui, c’est sérieux et nul ne s’aventurerait à dire :
« Messieurs les Anglais, tirez les premiers » !
Comme nous avons vu, qu’une seule caricature pouvait se transformer
en bombe à licencier des patrons de journaux, il serait plus sage de dire
que les pays sous développés n’auront le droit qu’à une seule bombe :
« la bombe à raser ».
La planète n’est plus divisée entre riches ou pauvres, mais entre barbus et non barbus.
Une bombe à raser ferait tout à fait l’affaire.
Deux bombes à raser dans un turban, n’ont jamais cassé 3 pattes à un canard, grippé ou non.
Mais voilà, avons-nous le droit de nous raser les uns les autres ?
Pourrions-nous alors, nous aimer les uns les autres ?
Chaque religion le dit, y compris les athées.
Et si on essayait ? Depuis 2007 ans, nous connaissons le refrain.
Eco-taxe sur les armes militaires et civiles.
Le principe de précaution exige que les armes militaires et civiles
soient de parfaite qualité et participent à chaque blessure ou mort
sans faire l’objet d’aucune critique. Le corps médical travaillera dans
des conditions plus humaines et fera des économies sur le lavage et la
stérilisation du linge.
L’éco-taxe ainsi récupérée, permettra également de recycler les
grenades ou bombes anti-personnelles pour un service après-vente
règlementaire. Sont également concernés, les Porte-avions, les frégates,
les chars, ainsi que tous les missiles. Une filiale du Ministère des Armées
sera en charge de tout contrôler et de tout surveiller.
C’est ainsi que les Américains ont de l’avance sur l’Europe, car ils ont déjà
inauguré la guerre « humanitaire » en Irak, qui entre tout à fait dans l’esprit du monde
moderne et du 3° millénaire. Une guerre propre sera plus agréable à regarder à la TV.
Une pastille autocollante, de couleur orange, sera fixée sur chaque arme.
Toute arme sans pastille sera refusée et les blessures ou morts, seront considérés
comme nuls et non avenus.
Cette éco-taxe entrant en vigueur le 1er janvier 08 a reçu l’agrément de l’ONU.
Félicitons-nous de cette œuvre écologique qui nous faisait défaut.
Il est à croire que la parité est un sujet brûlant.
Pourtant la parité n’exprime qu’une égalité à 50%.
Peut-être que le débat réside dans ces 50%.
Mesdames, qui avez été effarouchées, vous constaterez en lisant le texte joint qu’en 40 toutes petites années, vous avez déjà beaucoup obtenu, depuis les années 1960 à l’aube de l"An 2000.
L’important, finalement, c’est le débat. Vous avez bien voulu y participer et je vous en remercie. Dommage que l’élection présidentielle ne soit pas l’occasion d’en débattre. Nous serions vite sortis de la langue de bois.
Ne vous en déplaise, Mesdames...
Parité bien ordonnée commence par soi-même.
Il faut bien une petite graine pour fabriquer de beaux bébés.
Il m’est apparu que vous n’étiez pas toutes d’accord sur la parité pour les hommes.
Dommage, car parité veut dire 50%. En voudriez-vous encore plus ?
Cette parité, d’ailleurs n’est point féminine mais masculine.
Reconnaîtrez-vous nos efforts si louables et si méritants ?
Ce sont bien nos hommes politiques qui l’ont décrétée et votée après Mai 68.
En un seul instant, les femmes obtenaient 50% et vous n’êtes toujours pas contentes !
50%, c’est parce que nous savions bien que vous demanderiez toujours plus.
La barre est fixée et nous réclamons, nous aussi, la parité réelle.
Pour adoucir les mœurs, je vous propose un texte émanant d’un manuel du savoir-vivre
des jeunes femmes, en 1960. Vous constaterez que ces préceptes étaient de bon sens,
et évitaient bien des divorces.
Faites-en sorte que le souper soit prêt : préparez les choses en avance, le soir précédent,
s’il le faut, afin qu’un délicieux repas l’attende au retour du travail. C’est une façon de lui faire
savoir que vous avez pensé à lui et que vous vous souciez de ses besoins. La plupart des hommes
ont faim lorsqu’ils rentrent à la maison et la perspective d’un bon repas fait partie de la nécessaire
chaleur d’un accueil.
Soyez prête : prenez 15 minutes pour vous reposer afin d’être détendue lorsqu’il rentre.
Retouchez votre maquillage, mettez un ruban dans les cheveux et soyez fraîche et avenante.
Il a passé la journée en compagnie de gens surchargés de soucis et de travail.
Soyez enjouée et un peu plus intéressante que ces derniers.
Rangez le désordre : faites un dernier tour des principales pièces de la maison juste avant
que votre mari ne rentre. Rassemblez les livres scolaires, les jouets, les papiers...et passez
un coup de chiffon à poussière sur les tables.
Réduisez tous les bruits au maximum : au moment de son arrivée, éliminez tout bruit de machine
à laver, séchoir à linge ou aspirateur. Essayez d’encourager les enfants à être calmes.
Soyez heureuse de le voir. Accueillez-le avec un chaleureux sourire et montrez de la sincérité
dans votre désir de lui plaire.
Ecoutez-le : il se peut que vous ayez une douzaine de choses importantes à lui dire, mais
son arrivée à la maison n’est pas le moment opportun. Laissez-le parler d’abord, souvenez-vous
que ses sujets de conversation sont plus importants que les vôtres.
Ne l’accueillez pas avec vos plaintes et vos problèmes : ne vous plaignez pas s’il est en retard
à la maison pour le souper ou même s’il reste dehors toute la nuit. Considérez cela comme mineur,
comparé à ce qu’il a pu endurer pendant la journée. Installez-le confortablement. Proposez-lui de
se détendre dans une chaise confortable ou d’aller s’étendre dans la chambre à coucher.
Préparez-lui une boisson fraîche ou chaude. Arrangez l’oreiller et proposez-lui d’enlever ses chaussures.
Parlez d’une voix douce, apaisante et plaisante. Ne lui posez pas de questions sur ce qu’il a fait
et ne remettez jamais en cause son jugement ou son intégrité. Souvenez-vous qu’il est le maître
du foyer et, qu’en tant que tel, il exercera toujours sa volonté avec justice et honnêteté.
Lorsqu’il a fini de souper, débarrassez vite la table et faites la vaisselle.
Si votre mari se propose de vous aider, déclinez son offre car il risquerait de se sentir obligé de la répéter par la suite et, après une longue journée de labeur, il n’a nul besoin de travail supplémentaire.
Encouragez votre mari à se livrer à ses passe-temps favoris et à se consacrer à ses centres d’intérêt
et montrez-vous intéressée sans toutefois donner l’impression d’empiéter sur son domaine.
Si vous avez des petits passe-temps vous-même, faites en sorte de ne pas l’ennuyer en lui en parlant,
car les centres d’intérêt des femmes sont souvent assez insignifiants comparés à ceux des hommes.
A la fin de la soirée : rangez la maison afin qu’elle soit prête pour le lendemain matin et pensez à
préparer son petit-déjeuner à l’avance. Le petit-déjeuner de votre mari est essentiel s’il doit faire face
au monde extérieur de façon positive. Une fois que vous êtes tous les deux retirés dans la chambre
à coucher, préparez-vous à vous mettre au lit aussi promptement que possible.
Ce très beau texte m’inspire la réflexion suivante :
Commençons par ces trois mots au dessus de nos bâtiments publics :
Liberté, Egalité, Fraternité qui n’ont existés que l’espace d’un printemps.
Aujourd’hui, plus personne ne se reconnaît dans ces mots, devenus vides de sens.
Voici ma proposition :
« Choix », car il exprime bien mieux la liberté, la liberté de choix.
« Voilà », car il exprime l’opinion émise sans contrainte, ni jugement à priori.
« Quoique », car il exprime le doute qui doit toujours exister avant une décision.
Je découvre Agora Vox et n’en connais pas toutes les philosophies.
Cela viendra ! Pour ce premier message qui me vaut beaucoup de commentaires,
j’ai pensé écrire tout haut ce que beaucoup pensent tout bas.
Je salue Agora Vox d’avoir eu l’amabilité de publier cette pensée somme toute
provocatrice à souhait.
Le plus grand parti de France ne s’appelle plus « les chômeurs » mais « LGDC » :
Les Gens sont des Cons« associé au »Politiquement correct".
Autrefois, c’était aussi : "ONPPLD, On Ne Peut Pas Le Dire.
J’avoue qu’il m’arrive de reconnaître que je suis délicieusement « macho ».
J’ai même une pensée écrite à ce sujet :
Macho ? Macho, oui !
Qu’il est bon d’être Macho, l’espace d’un instant.
Macho, Macho, je suis Macho !
Vous aussi, criez-le sur tous les toits, car tout le monde
doit savoir que vous êtes Macho !
Regardez les yeux ronds et les bouches en « cul de poule »
qui vous entourent.
Continuez : oui, oui, je suis Macho !
Ce n’est pas un gros-mot, vous savez.
Le Macho doit tétaniser sa proie en l’hypnotisant afin que
le règne Macho s’accomplisse.
Vous verrez, toutes les femmes vous aimeront.
Au fait, connaissez-vous un Macho sans femmes ?
Voilà donc ma condition d’homme : de penser constamment aux femmes.
Pour me faire pardonner par certains, je dirais que
Sans l’ironie, le monde serait comme une forêt sans oiseaux.
(Anatole France)
Sans confiture, que serait ma tartine de pain/beurre ?
L’un va toujours avec l’autre tout comme Laurel et Hardy.
Mais l’ironie, me direz-vous, est-elle indispensable quand
je dois la subir ? La faire subir pour que le monde redevienne droit ?
L’ironie me permet d’aller plus loin que ma pensée du matin.
Elle enveloppe d’un paquet cadeau l’estocade qui me ronge l’esprit.
Enfin soulagé, je pars vers d’autres découvertes et d’autres mots d’esprit.
Tout avaliser comme une chique serait que ruine dans la conscience de l’âme.
Remerciez-moi donc pour mon ironie suavement distillée.
Elle vous réveillera et vous tiendra debout pour longtemps.
Tenez, j’ai bien envie de recommencer pour voir votre mine furieuse.
Que vous êtes beau, enjambant les crevasses de la colère.
Encore un effort et vous rejoindrez la pivoine.
Vous êtes plaisant à voir et me comblez d’aise.
Ironique, moi ? Si peu, voyez-vous.
Je m’en vais dans la forêt profonde écouter les oiseaux et le merle moqueur.
Viendrez-vous ?