Iadrov

ZenZoe : je suis navrée, je me suis en effet trompée d’interlocuteur, je voulais répondre à Nilasse. Je suis vraiment contrite.

ZenZoe : il ne s’est pas dédouaner, sauf à prétendre avoir donné un seul coup, jusqu’à ce qu’on lui mette sous le nez la modélisation des fractures multiples tout de même. Un tragique accident avec au moins neuf coups, c’est quand même très rare. (Ironie) Quand au recours à l’argument de la violence de Marie Trintignant, ça me rappelle l’histoire du gars qui viole et qui dit « elle l’a cherché, elle était en minijupe. »
Quand à l’argument de Fred sur « B.C. ne va pas passer sa vie à chercher l’emploi du temps de tous les proches de la victime. » soyons honnête, tout d’un coup il décide de faire le même métier que J.L.T., il va à l’une des plus grandes manifestations du genre en Europe, la plus grosse en France, dans laquelle celui-ci est engagé depuis plus de 20ans, dans laquelle la victime a joué, ce qu’il devrait savoir s’il l’aimait si fort, et ce n’est pas lui qui crée ce buzz qui dégoute tant l’auteur de l’article ? Un peu de sérieux.

Moi, ce qui me choque dans cet article, premièrement c’est la « vie de reclus » contre lequel s’élève le rédacteur de cet article. On ne l’empèche pas de sortir faire ses courses de créer ou de partager ses créations, où de trouver un autre job si ça lui dis ; mais aller monter sur scène dans un festival dont tout le monde sait pertinament que le père de sa victime va s’y trouver, il y a un écart, que dis-je un gouffre de la taille du grand canyon. Donc et deuxièmement, quand l’auteur s’exclame sur le manque de « décence » de J.L. Trintignant, moi je dis « Non, le manque de décence ne vient pas de ce père ! » Et B. Cantat , il a bien fait appeler la presse pour prévenir de sa présence, non ? Quand aux chansons qu’il a proposer en téléchargement, elles ont peut être fais sensation, mais polémique non, je suis désolée.
Cerise sur le gâteau, cette histoire de « moeurs légères », qui d’ailleurs n’ont pas été étayées ; appeler ça des circonstances atténuantes, même avec l’emploi du conditionnel (ce qui me parait un chouïa hypocrite), en quoi ça peut être une circonstance atténuante ? Et les crises de violence précédentes de B. Cantat, pourquoi ne sont-elles pas évoquées ? Cet article, je le trouve plus que tendancieux.