Moi, ce qui me choque dans cet article, premièrement c’est la « vie de reclus » contre lequel s’élève le rédacteur de cet article. On ne l’empèche pas de sortir faire ses courses de créer ou de partager ses créations, où de trouver un autre job si ça lui dis ; mais aller monter sur scène dans un festival dont tout le monde sait pertinament que le père de sa victime va s’y trouver, il y a un écart, que dis-je un gouffre de la taille du grand canyon. Donc et deuxièmement, quand l’auteur s’exclame sur le manque de « décence » de J.L. Trintignant, moi je dis « Non, le manque de décence ne vient pas de ce père ! » Et B. Cantat , il a bien fait appeler la presse pour prévenir de sa présence, non ? Quand aux chansons qu’il a proposer en téléchargement, elles ont peut être fais sensation, mais polémique non, je suis désolée.
Cerise sur le gâteau, cette histoire de « moeurs légères », qui d’ailleurs n’ont pas été étayées ; appeler ça des circonstances atténuantes, même avec l’emploi du conditionnel (ce qui me parait un chouïa hypocrite), en quoi ça peut être une circonstance atténuante ? Et les crises de violence précédentes de B. Cantat, pourquoi ne sont-elles pas évoquées ? Cet article, je le trouve plus que tendancieux.