Une petite chose mais qui a toute son importance :
Si vous cessiez de désigner les originaires de pays arabes et autres comme terroristes, vous auriez déjà compris beaucoup, car vous ne jouez que le jeu du dictateur américain (les médias ayant fait beaucoup pour vous convaincre de la choses), qui est le seul terroriste de la planète. Si vous commenciez à faire des commentaires en appelant le chat chat, donc américains des terroristes, alors la compréhension des choses s’en trouverait un peu plus éclairée. La guerre d’aujourd’hui ne se joue plus sur le terrain, au sens premier du terme, mais sur celui de la communication verbale avec son corolaire de conséquence que nous connaissons tous.
Le vocabulaire et la grammaire employés pour qualifier les « adversaires » a été construits par ceux-là mêmes qui crient à la menace sur leur vie et pour cela, doivent supprimer ceux qu’ils qualifient de terroristes.
Un premier changement dans ce vocabulaire serait une première étape dans l’ouverture des esprits à la compréhension de cette guerre.
Si cela est si contestable que ça, pourquoi ne pas utiliser les outils qu’ils (décideurs) eux-mêmes mis à notre disposition. Il suffirait de déposer autant de recours que de lois contestables et de mobiliser les citoyens pour cela.
Toutefois, la révision constitutionnelle du 23 juillet 2008 a introduit dans la Constitution un article 61-1
qui crée la question prioritaire de constitutionnalité. Cette réforme
ouvre aux citoyens le droit de contester la
constitutionnalité d’une loi promulguée à l’occasion
d’un procès. Le juge transmet la question prioritaire de
constitutionnalité à la Cour de cassation ou au Conseil
d’État. Le Conseil constitutionnel peut en être saisi
par le Conseil d’Etat ou la Cour de cassation. Il doit statuer dans le
délai de trois mois.
La loi organique n° 2009-1523 du 10 décembre 2009
relative à l’application de l’article 61-1 de la Constitution, complétée
par le décret n° 2010-148 du 16 février 2010,
a défini l’architecture du dispositif juridictionnel et
les principales règles de procédure selon lesquelles le Conseil
constitutionnel pourra être saisi de questions prioritaires
de constitutionnalité soulevées à l’occasion des litiges
noués devant les deux ordres de juridiction.
Nous ne vivons pas dans une démocratie, mais dans une province de l’union financière euro-américaine.
Article 55 de la Constitution
Les
traités ou accords régulièrement ratifiés ou approuvés ont, dès leur
publication, une autorité supérieure à celle des lois, sous réserve,
pour chaque accord ou traité, de son application par l’autre partie.
Les assemblées peuvent voter des résolutions dans les conditions fixées par la loi organique.
Sont
irrecevables et ne peuvent être inscrites à l’ordre du jour les
propositions de résolution dont le Gouvernement estime que leur adoption
ou leur rejet serait de nature à mettre en cause sa responsabilité ou
qu’elles contiennent des injonctions à son égard.