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infraçon

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8 septembre 2021
Ouf, enfin libéré !
Et assez perdu de temps sur ce site.
Il faut dire que l'évolution de la qualité des articles a aidé.
Adieu donc à la croyance qu'on va pouvoir dialoguer avec des auteurs focalisés sur leur opinion, des lecteurs silencieux et des commentateurs censeurs en grande majorité et pour le reste peu persévérants dans les débats (ce qui effectivement n'est pas la finalité du site)...
Et en plus s'obstiner sur un site de quelques milliers de lecteurs alors que nous sommes plus de quarante millions d'adultes... C'est ni plus ni moins qu'un grand café du commerce du coin de la rue.
Adieu Agora.
PS : Bon j'ai quand même déposé un quatrième article (pour remplir le contrat) en guise de cadeau de départ. @ pas plus.
Dernier rebondissement : ce quatrième article a été refusé (comme le précédent, avec des modérateurs qui manquaient d'humour). Mais cette fois on peut se poser la question suivante : ces modérateurs qui moinssent de tels articles (celui-ci n'est qu'une proposition de nouvelle façon de procéder pour une politique en commun) sont-ils archi-cons ? Ils ne comprennent rien à ce qu'ils lisent ? Sont-ils d'une secte qui refuse tout dialogue ? ... Mystère.
En tous cas voici cet article... pour ceux qui seront parvenus jusqu'ici. Et portez-vous bien.
dernier PS : la méthode de validation des articles devient proprement incompréhensible. Peu de personnes "jugent". Et de quelle façon ! à vous de juger si l'article ci-dessous méritait un bannissement.

...
Et si on parlait politique ?

...
L'INSTANT PALABRE,
c'est ouvrir une petite fenêtre de réflexion politique dans la vie des gens pour assumer eux-mêmes le concret de la démocratie. Car chacun en est capable, au moins pour ce qui le concerne.
La politique c'est faire des choix. Mais pas n'importe quels choix ! la couleur des bonbons à la fraise ne nécessite pas de mettre en branle la puissance de la démocratie pour un tel objectif !...
Donc d'abord, quels choix méritent le qualificatif "politique" ?
Une piste :
1. Est-on d'accord pour que la collectivité assure à TOUS les besoins fondamentaux (nourriture, logement, repos, soins, déplacements, instruction, relations sociales) ?
2. Est-on d'accord pour intégrer dans le domaine privé TOUT le reste (littérature, chasse, religion, cuisine, télé-réalité, etc) ?
Le point 1. c’est ce qui est la politique.
Le point 2. c’est ce qui concerne la vie privée de chacun.
De cette distinction il ressort malgré tout que certains projets du domaine privé doivent faire l'objet de validation par la collectivité à partir du moment où ces projets consomment des quantités TRES importantes d'énergie, de matière (brute ou transformée) ou d'activité collective.
Par exemple, si je fais partie d'une association de sculpteurs qui veulent construire des mammouths en bronze grandeur nature en grand nombre pour les installer un peu partout. Dans ce cas mon association devra présenter son projet au vote des citoyens. Projet qui consommera des centaines de tonnes de bronze, des mégaWh d'énergie et des surfaces de terrain d'exposition, plus l'entretien de l'ensemble dans le temps.
Peut-être que chaque quartier de France sera enchanté d'avoir son mammouth (ou son mickey géant) et le projet sera adopté parmi la concurrence politique des autres projets privés consommant de l'énergie et des matériaux ainsi que des projets généraux assurant les besoins fondamentaux des citoyens. Peut-être que non. C'est ça la politique.
Les choix politiques (le point 1) consistent donc à répartir les 50 milliards d’heures d’activité ainsi que l’énergie et les matériaux que nous sommes capables d’obtenir avec le commerce international pour ce dont nous n'avons pas dans nos frontières.
Autre conséquence, si des citoyens se lancent dans le prosélytisme de leur pôle d'intérêt en dehors de la sphère privée et ainsi empiètent sur l'espace collectif, espace de la politique, qu'ils acceptent de subir les critiques plus ou moins acerbes de ceux qui ne seraient pas de leur avis, sans opposer d'autorité l'argument de diffamation ou autre blasphème. En d'autres termes refuser le débat, faire taire.
NB : faire un choix politique ça ne se limite pas, par exemple pour ce qui concerne le logement, à voter pour la construction soit de 6 Millions ou soit de 2,5 Millions de logements. C'est surtout examiner les conditions d'urbanisation avec quel contexte économique, culturel, examiner la qualité des logements, l'équipement des logements, etc.
_____________________________________________________________fin de l'article
Juillet 2021
Bon, pendant encore quelques mois j'ai malgré tout bien essayé de montrer à quelques uns où était la paille et où était la poutre (à mon humble avis, et en restant ouvert sur les controverses de définitions ligneuses), mais à chaque fois en pure perte car sans aucun "retour" pertinent.
29 commentaires quand même...
Et devant la tournure des attitudes des quelques intervenants persistants et de bien braves nouveaux auteurs, là c'est la fin des haricots.
Mai 2021.
Salut la compagnie.
La boutique "infraçon" est fermée depuis le 7 mai 2021 9h, suite à dépôt de bilan.
Avril 2021.
Décidément AV est une drogue... Je viens de proposer un troisième article, après 114 commentaires depuis décembre dernier ! Il va falloir que j'arrête incessamment sous peu, sinon j'y risque ma santé mentale !
Bonne nouvelle : la caricature ne passe pas sur AV... l'article (3 lignes et un photo montage) est refusé et on ne saura jamais par combien de modérateurs à combien (et combien de modérateurs multi-comptes). C'est la mort du citoyen-journaliste-humoriste un rien caustique pour les auteurs auto-satisfaits.
Et puis tiens ! le voilà le fameux article (et en guise d'image d'avatar vous avez le photomontage) :
________________________________________________________________... Les murs de l’Elysée ont tremblé...
________________________________________________________________...
Le grand frisson est arrivé jusqu'à Hollywood où sont attendus les deux acteurs principaux de la prochaine production "Coup d'état in a cup of tea".
Agoravox acquiert une audience internationale...
_________________________________________________fin de l'article
Décembre 2020.
Après avoir découvert AV. Y avoir fait quelques commentaires (une trentaine depuis septembre 2012). J'ai commis deux articles étant redevable (comme tout lecteur) de participer à la production d'AV. Puis j'ai ajouté pas mal de commentaires (un peu plus d'une centaine) ayant pour but de "prolonger" la vie de mes deux articles et surtout la proposition qu'ils portaient. En vain.
Je ne me suis pas immiscé dans le articles quotidiens des "littéraires" d'AV, encore moins dans ceux des publicitaires de politiciens. Sauf quand, rarement, ces articles abordaient des questions politiques "intéressantes" ou des absurdités cachées derrière des concepts techniques à la mode.
C'est donc aux quelques auteurs "pondérés" qui présentaient honnêtement leurs points de vue ou leurs propositions que je me suis intéressé...
Cependant, je m'aperçois que la conception même de ce type de site (articles quotidiens dans l'esprit fondateur de "journalistes citoyens") n'est guère efficace (sauf à fournir des articles "distrayants" pour citoyens s'ennuyant) pour deux raisons. L'une c'est que ce qui est écrit aujourd'hui, demain sera au fond de la "poubelle" d'AV et perdu pour les nouveaux lecteurs (comment appeler autrement ce classement ?), sauf peut-être pour les quelques articles classés en tête du PALMARES (et à mon avis : pas parmi les plus intéressants). L'autre c'est que le débat (en dehors du débat sur l'article courant) est impossible. Il n'y a pas "d'emplacement" pour ce débat constructif au fil du temps. "Lieu" bien structuré où ne seraient conservés que les énoncés importants (et pas les diverses formules littéraires, insultes et autres digressions oiseuses). Mais effectivement ce genre de "lieu", ce serait la mort des éditeurs (qui vivent de bouquins à répétition, pour une grande partie de leur contenu ou de leur thème. Il ne leur restera que les éditions à compte d'auteur) et peut-être aussi des télés mainstream...
Et on assiste au phénomène suivant : celui qui veut faire "surnager" ses propositions dans le temps, ne peut que faire des articles répétitifs à tire larigot...
J'ai d'autre part constaté que la plupart des auteurs qui m'intéressent, publient pour émettre leur avis du moment, éventuellement une expérience. Ils répondent (ou pas, ce qui n'est pas très sympa) par un petit argumentaire, par un remerciement ou par une réponse polie d'évitement. Ils se satisfont donc du principe de ce site.
D'autres auteurs (intéressants) invitent à une action ou une réflexion collective.
Malheureusement des lieux pour débattre, il n'y en a pas...
En conséquence, comme j'ai dit ce que j'avais à dire (je pense qu'insister n'apporterait quoi que ce soit de plus) , que j'ai apporté ma contribution, à présent je tire ma révérence. Et vous souhaite bonne continuation.
PS:Je sais bien que mon départ n'intéresse personne, mais c'est juste une invitation évanescente à réfléchir (pour certains) à ce qu'ils font ici. Et si par chance quelqu'un reçoit le message, après mûres réflexions, i'n'a qu'à faire passer avant de quitter le navire.

Tableau de bord

  • Premier article le 04/07/2020
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Derniers commentaires



  • infraçon infraçon 3 janvier 2013 10:45

    Deee mooon teeemps...

    un troll c’était quelqu’un qui venait avec ses gros sabots dans un discours angélique, ou bien quelqu’un qui vous mettait le nez dans le c.ca de votre raisonnement défectueux (au moins sur un aspect).

    Aujourd’hui ce serait quelqu’un qui insulterait simplement. Pourquoi pas.

    Vous noterez que je n’interviens pas sur le fond de cet article, et j’aurais une autre petite remarque (qui n’est pas spécifique à cet article, mais j’en profite) :

    « c’est comme une sorte de vengeance d’un être fruste qui balance à autrui le reflet de sa propre bêtise ! »

    il est question du reflet de « celui qui balance » ou de « [l’]autrui » (pour moi les deux « fonctionnent », même si vu le fond de l’article je sens lequel est à privilégier, mais pourquoi balancer son reflet si on est en face ? Ca tourne à la bataille de ninja en 3D ?).

    On y gagnerait à éviter les expressions ambiguës dans les articles (pour éviter les réactions inappropriées). Prenez votre temps. A moins que publier un article c’est comme Lucky Luke pour sortir son six coups face à un pistoleros : ça n’attend pas ?



  • infraçon infraçon 22 décembre 2012 22:54

    Bon sang !

    Fergus m’a ouvert les yeux !

    C’est pourtant vrai que « des milliers de directives, de lois et de décrets, tous plus techniques et complexes les uns que les autres » c’est géant ! toucher inconsciemment à l’un d’eux et c’est le système solaire qui part à l’envers, sûr !

    Je cours me jeter de la cendre sur la tête et m’ôter de la tête toute idée de changement (du même coup je comprends François) moi qui comptais me révolter comme ces inconscients de zapatistes.



  • infraçon infraçon 4 septembre 2012 14:34

    Cher Nanard (et oui quand on s’ouvre au débat public on doit s’affronter à la familiarité de certains !), Les classes aisées sont comme les molécules de graisse dans un volume acqueux elles se rassemblent spontanément sur leur objectif individuel de faire de l’argent, qui devient commun par l’effet d’une gravité « supra-volonté ». On a par ailleurs : d’une part des foyers qui arrivent à tirer leur épingle du jeu (ils disposent de ressources nettement convenables pour vivre et se distraire, même si, nous sommes bien d’accord, ce n’est jamais assez) et d’autre part des électrons libres qui voudraient bien faire de l’argent, mais n’en ont pas les moyens. Enfin il y a une part non négligeable de gens qui votent ce qu’il est convenu de voter quand on a de la morale (ce qui est énoncé par les chefs-dirigeants-grands propriétaires-editorialistes d’agoravox-etc). Ces trois « familles » constituent, je pense, la majorité des 60% qui votent à droite ou au centre (je place dans ce centre une partie du PS, ne nous voilons pas la face). Les uns n’ayant pas confiance en une redistribution fondamentale des cartes et auraient peur d’y perdre leur autonomie financière, les seconds persuadés qu’ils sont de percer vers la fortune dans le système actuel et les troisièmes incapables d’imaginer qu’ils aient une quelconque chose personnelle à dire en politique (hormis d’obéir). C’est pourquoi je n’adhère pas complètement à l’idée de Marx d’idéologie de classe (hors une instruction publique de qualité). Ce qui se fait « naturellement » (à mon avis) pour la « soi-disante » classe supérieure , est très difficile à réaliser pour la (les ?) classe inférieure tant il y a de divergences (de niveau de conscience, de capacité d’expression et de dialogue quant au finalités politiques) entre les autres individus. D’où, de ma part, une interrogation « discrète » sur la persévérance des indignés, des anonymous et autres jeunes pleins de bonne volonté qui n’ont pas encore eu l’occasion de goûter à l’appât du gain. D’où mon interrogation sur la volonté de changement de certains, qui n’ayant pas eu de chance au grattage, voudraient bien essayer au tirage. Mais même si on met en place un media de qualité (ce qui pourrait être envisageable sur internet), cher Nanard, pour enfoncer le clou dans ce que tu avances (même si tu ne vas pas aussi loin dans ton diagnostic) une majorité est-elle prête à rejeter :
    - la propriété (ce qui n’exclut pas l’affectation d’usage de logement, l’hébergement temporaire de loisir, le revenu de base, le transport collectif de porte à porte, etc), sinon de quel droit orienter le capitalisme privé ??? (j’en entends déjà arriver avec leurs gros sabots : non ! ce n’est pas pour mettre en place un capitalisme d’Etat, style urse, tchaïna ou ena).
    - le choix politique des projets de société « PAR DELEGATION » notamment ce qui concerne la qualité de vie, la consommation de ressources et la dangerosité. Ce qui n’implique pas une obligation de participation, ne voteraient que ceux qui se sentent concernés, je conçois de laisser d’autres décider sur certains sujets. (A mon avis, malheureusement : non.) Je m’exprime ici en visant une politique participative et non pas repésentative. Sinon, cher Nanard, je n’ai rien dit et je sors.

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