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JAcky

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  • JAcky 30 septembre 2008 17:58

    Il me semble qu’il existe quelques differences dans les modes de circulation du capital et du travail, qui font qu’on ne peut pas reellement comparer leurs ajustements respectifs entre offre et demande. Les capitaux sont mondialises, liquides et interchangeables. Le travail l’est evidemment moins, meme s’il existe dans une certaine mesure une concurrence mondiale du travail.

    Neanmoins, je pense comprendre votre these, si l’on se place dans un contexte ultime, une sorte de fin de l’histoire economique. Que faire du travail et du capital le jour ou il n’y a plus de croissance. Ce jour est-il arrive ? si ce n’est pas le cas, comment expliquer le chomage et l’(apparente) surabondance de capitaux ? s’il n’y a pas/plus de perspectives reelles de croissance, le capital n’a t’il pas tendance a se concentrer et pour finir tuer le marche liberal sur lequel il prospere ?

    Heureusement, je ne crois pas que nous sommes a la fin de l’histoire economique. Il n’y a aucune raison a cela, en premier lieu parce que les 3/4 du monde ne sont pas encore entres dans l’histoire economique moderne.




     



  • JAcky 30 septembre 2008 15:34

    le capital s’investit toujours dans la production. Ou plutot devrais-je dire, la production est toujours un sous-jacent, in fine, de l’investissement financier. En revanche, il est vrai que les besoins de financement d’un cote et de management du risque (je sais cela fait sourire aujourd’hui, mais restons neutre pour les besoins du debat) de l’autre ont amene a la creation d’outils et de support d’investissement (typiquement les index boursiers) qui sont en derive (au sens mathematique) par rapport a leur support economique. Tout cela cree du volume, mais reste lie a un support economique.



  • JAcky 30 septembre 2008 15:19

    l’article est interessant, mais le postulat de depart est infonde : rien ne permet de dire que la crise financiere qui se developpe est une crise du capitalisme. Pour les besoins de la demonstration, le capitalisme est autodestructeur, vous prenez exemple sur la crise financiere du moment. Precisement, cette crise est ... financiere et ne trouve en aucun cas ses sources dans un quelconque dereglement economique lie a la substance meme du capitalisme. cette crise est dans un sens betement technique : les banques, investisseurs financiers et autres ont anticipe (c’est un terme que vous utilisez et c’est effectivement le role des marches financiers que de rendre "liquide" le long terme - simple definition du credit) de maniere deraisonable les perspectives de croissance, en pratique en utilisant des leviers d’endettement (le "leverage") outranciers. le mecano s’est effondre lorsqu’une (infime) partie de ces investissements (dans les sub-primes) s’est averee en crise. Facteur (extremement) aggravant, la titrisation de morceaux de creances de toute nature fait qu’aujourd’hui on ne sait plus reconnaitre la qualite de ces morceaux de papiers ... bref, pas de quoi etre fier, mais toujours rien a voir avec le Capitalisme.

    Il se peut que votre analyse sur le capitalisme soit exacte, je n’en sais rien, mais ce dont je suis sur, c’est que cette crise financiere n’est pas encore la chute du mur de Berlin du monde occidental.



  • JAcky 3 juin 2008 20:36

    ’Ces gens" ??? ca va, t’es pas trop degoute ?

    le simple fait de poser cette question sur la religion de tel ou tel est la marque d’un pur raciste. Qu’est-ce que ca peut te foutre ? ca change quoi pour toi ? j’aimerais bcp comprendre le fonds de ta pensee



  • JAcky 3 juin 2008 20:16

    Cet article me met franchement mal a l’aise. La perspective historique que l’auteur croit donner aux questions sociales en les associant au destin tragique des soldats de la seconde guerre mondiale est pour le moins deplacee.

    Je sais que le travers le plus frequent des historiens (pas les meilleurs en tout cas) est de faire entrer de force les evenements historiques dans des grilles de lecture contemporaines, mais de la a rapprocher les luttes sociales et le debarquement en Normandie, les bras m’en tombent.

    Laissez moi vous dire juste ceci : le seul hommage (pas le plus bel, un hommage n’est pas relatif) que l’on puisse rendre aux soldats de cette guerre, c’est justement de leur rendre hommage a eux et de le faire pour eux, avec la plus grande humilite et sans tenter de s’approprier leur bravoure. A defaut, un merci suffira.


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