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MICHEL GERMAIN

MICHEL GERMAIN

Vaincre les autorités c’est en même temps vaincre le besoin d’autorité, la propriété et le  goût de s’approprier, l’hégémonie et le désir d’hégémonie....Vaincre soi même ? 

Tableau de bord

  • Premier article le 26/01/2009
  • Modérateur depuis le 20/10/2009
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Derniers commentaires



  • MICHEL GERMAIN jacques Roux 23 septembre 2009 14:28

    Ce qu’il faut comprendre de mes deux messages c’est ceci :

    On a parlé longtemps et lourdement de la « dette » des pays Africains il y a peu. Mais lorsque l’on se souvient que l’Occident Européen de l’Ouest a prélevé plus de deux millions de personnes en Afrique de l’Ouest pour les embarquer comme esclaves vers un pays qui est maintenant le plus puissant du monde pour s’être construit sur la honte faite à l’humanité. Nous, bons Français qui avons pillé L’algérie, et l’Afrique avec nos amis Anglais Hollandais et Belges qui ont fournis des masses de Saw, Smith, Keynes et autre Ricardo pour expliquer comment ça marche... comment ose t on parler de « Dette » de l’Afrique ? Qui a donc une dette ? 

    C’est bien ça, les économistes expliquent et expliquent encore et sont incapables de prendre le recul qui fait voir où se passent les choses de la vie.

    C’est qui « les rigolos » finalement ?



  • MICHEL GERMAIN jacques Roux 23 septembre 2009 12:40

    Je suis désolé, je m’adresse à des « croyants », je n’aurais pas du.

    Deux économistes discutent « tu comprends ce qu’il se passe ? » dit le premier. « Attends je vais t’expliquer » dit le second. « Non, je ne te demande pas d’expliquer, moi aussi je suis économiste, je te demande si tu comprends ce qu’il se passe ? ».

    Les religions aussi expliquent. Elles peuvent même tenter de s’adapter pour subsister (Adam et Eve on n’en parle plus, les hommes et les femmes sont sur les mêmes bancs, la messe n’est plus en Latin, il y a des musulmans laïcs, des prètres défroqués, des rabins de gauche, des femmes pasteur...). Toutes ces adaptations pour rester et... expliquer.

    Mais je reconnais que ce doit être dur de ne plus croire. On se trouve obligé à imaginer d’autres voies. Sans les explications des maîtres à penser comment-rester-dans-ce-qui -ne-convient -à-personne (ou à si peu), on se sent seul, parfois. Mais l’on respire.

    Restez bien dans vos cercles et excusez moi encore d’avoir interrompu votre messe.

     



  • MICHEL GERMAIN jacques Roux 22 septembre 2009 17:30

    Si l’Etat ne rembourse pas cette « dette » dont on ne sait rien sinon qu’il faut la rembourser, il va en prison l’Etat ?
    Il va en prison le peuple souverain ?
    L’ennui avec les économistes de tout rang et de tout poil c’est qu’ils font un peu penser à ces diverses tendances religieuses, ces multiples églises qui se disputent sur la façon de se soumettre à un dieu alors que le problème c’est La Religion...on croit pouvoir résoudre les crises de l’économie alors que c’est l’économie qui est la crise. On croit. 



  • MICHEL GERMAIN jacques Roux 21 septembre 2009 22:04

    A JP LLABRES,

    Cherchez du côté de la Commune de Paris...peut être y trouverez vous le rôle des Versaillais de Thiers et de Ferry (oui, Jules ) sur le peuple de Paris en révolte. Peut être trouverez vous quelque part les chiffres et découvrirez vous que, en une semaine, le nombre de personnes ( femmes, hommes enfants) massacrées fut aussi grand que pendant toute la terreur de la Révolution Française...cela s’appelle la relativité historique. Pardonnez moi de ne pas vous avoir répondu plus tôt mais je vous espérais curieux au point d’écrire « Versaillais » sur Gougueul et d’y trouver un chemin vers la réponse...



  • MICHEL GERMAIN jacques Roux 21 septembre 2009 13:30

    Lorsque l’on aime on est saisi. A bras le coeur. Rien n’y peut. On n’y peut rien. Et quand cet être vous manque le monde est surpeuplé....

    « Si l’on me presse de dire pourquoy je l’aimais, je sens que cela ne se peut exprimer, qu’en respondant : par ce que c’estoit luy ; par ce que c’estoit moy ».

    Le monde est surpeuplé et tout paraït futile. L’amour n’est pas léger, il te prend il te tire. Il est le coeur de la vie. Et le coeur a ses raisons que la raison ignore. Aimer ce n’est pas raisonnable. « ...enfin quoi, réfléchis, et ta femme, et ton mari, et vos gosses, et ta maison, ton boulot, et sarkosy, et la taxe carbone, et le déclin du PS, la grippe, l’économie... ? ». Rien n’y peut.
     
    Mari, femme et enfants tournoient bruyamment dans le silence des nuits froides. Mais ils sont amour eux mêmes. Le seul danger de l’amour c’est l’amour lui même. Ce qui n’en est pas n’a plus d’existence. Quand on est fou d’amour on ne sait pas de qui Sarkosy est le nom. On dort sous les ponts, on travaille à survivre. On survit en travaillant, on jette des ponts entre les jours.
     
    On survit on maigrit. L’obésité, le surpoids seraient ils des signes du manque d’amour ? Pourquoi prend on du poids avec l’age, avec la politique, avec le boulot, avec la misère quotidienne de la consommation du sucre qui apaise ?
     
    Mais bon sang que cela peut faire mal d’aimer quand tout se ligue contre l’Amour, cet inconnu.
    L’amour, on l’a vu, ce n’est pas la sécurité et vu de l’extèrieur par ceux qui ne reconnaissent pas cette forme bizarre qui s’empare de deux êtres soudainement, cela dérange ; leur compréhension, leur sécurité. Ils doivent aller chercher dans cet événement ce qui pourrait les aider à comprendre selon leurs connaissances acquises dans un monde sucré et sans amour. Ramener l’amour au rationnel de ceux qui n’aiment plus et qui mangent trop de sucre, fume trop de shit, boivent un whisky en rentrant, s’engagent en politique ou qui achètent des fringues. A la raison, leur raison.
     
    Nietsche explique leur le gai savoir.
     
    Et la cinquième colonne. Celle du remord, des regrets, de l’amour que vous portent ceux que vous laissez sur le quai. Cette angoisse qui vous bouffe de l’intèrieur s’il vous reste un brin d’humanité. celle qui aura peut être raison de votre amour quand la taxe carbone, le PS, H1N1 et la raison ne vous sont d’aucun effet comme autant de terres étrangères. Etrangères à l’amour d’une femme, d’un homme.
     
    Mourir d’Amour ? évidemment, ne comprenez vous pas qu’on ne meurt que de ça ? Ou plutôt (non pas le chien) de l’absence d’amour.
     
    Montez amoureux - car on ne « tombe » pas - et je vous donne mon billet que Sarkosy, le PS, l’économie disparaissent aussitôt. Mais le voulez vous, au fond ?
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