« monolatrie » convient bien mieux à l’Islam, qui se vante dans chaque sourate de défendre un « pur » monothéisme, contrairement au polythéisme supposé des chrétiens (un seul Dieu en trois personnes, mystère que les musulmans refusent de comprendre...).
Maintenant, pour répondre à votre question, « avant le christ », le mot « christianisme » n’existait pas : ce mot a été inventé pour distinguer les Juifs ayant suivi le Messie (car les premiers « chrétiens » sont tous juifs de naissance) de ceux qui ont préféré suivre le Sanhédrin, agréant la condamnation de Jésus, que l’Islam s’imagine - blasphème impardonnable ! - ne pas avoir eu lieu.
Toutefois, je ne vois nullement en quoi l’apparition du mot chrétien avec le Christ serait gênante en quoi que ce soit : le mot « islam » lui-même n’est apparu que bien après la mort de votre « prophète », qui n’était d’ailleurs lui-même qu’un élève docile des judéonazaréens, hérétiques notoires installés dans le nord de l’Arabie et en Syrie, si bien qu’il a repris toutes leurs hérésies, elles-mêmes réadaptées d’hérésies antérieures, condamnées dès le 2e siècle : Si vous cherchez sincèrement le salut, un bon conseil : lisez attentivement les évangiles.
Il est très touchant de voir les larmes couler de vos yeux pour ce pauvre petit garçon de neuf ans qui a dû se présenter dans un commissariat de France avec son papa : Voulez-vous ajouter qu’ils ont été tabassés ou torturés au passage ? Que ces policiers français en ont profité pour dépouiller ce pauvre papa de son portefeuille ?
Ou cherchez-vous seulement, en quelque sorte, à nous faire honte, à nous, français, de cette convocation, tandis qu’il faudrait que nous trouvions normal que de jeunes musulmans caillassent nos voitures de pompiers venant dans leurs quartiers - avant la présence des musulmans, de tels faits étaient impensables en France, le savez-vous ? - menacent de mort leurs professeurs ou leurs voisins, souillent et déchirent volontairement les Bibles dans les bibliothèques des prisons (d’innombrables cas ont été relevés), et, quand on les interroge, ne parlent de la France qu’avec haine et vindicte, n’ont à la bouche que reproches pour les autres et compassion pour eux-mêmes, tout en pointant constamment un doigt accusateur vers le supposé racisme d’un peuple qui pourtant les a logés, nourris et instruits depuis leur naissance, sans qu’ils n’aient, de leur côté, absolument rien produit pour cette nation qui les accueille.
Alors, voyez-vous, qu’un garçon de neuf ans, en France, soit convoqué au commissariat avec son père, cela me choque beaucoup moins que d’apprendre qu’un jeune palestinien de 9 ans a été tué par une balle israélienne, ou que des dizaines de chrétiens ont été massacrés la semaine dernière en Egypte, et des milliers au Nigeria : Mais pouvez-vous, en tant que musulman, comprendre l’écart de gravité qu’il y a entre ces différents faits ? Parfois, je me le demande...