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Jason

Jason

80 ans, retraité. Du temps pour continuer à découvrir le monde. Vie active passée dans le technique, l’enseignement supérieur et l’industrie. Le tout (près de 40 ans) dans deux pays étrangers. Je redécouvre l’Hexagone.
 Sceptique et éclectique j'apprécie ce qui est écrit clairement et me soucie peu des fautes d'orthographe pourvu que la compréhension n'en souffre pas. J'aime l'humour, le badinage, bref une certaine élégance dans l'expression, mais attention aux précieux et aux pédants. Ecrire pour tous reste un exercice difficile.

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  • Premier article le 08/11/2006
  • Modérateur depuis le 03/09/2011
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Derniers commentaires



  • Jason Jason 20 juin 2007 20:53

    @ Neos,

    Vous avez mis le doigt sur l’élément essentiel qui est celui de la communication et de la responsabilité quant aux résultats. Comment peut-on demander au citoyen de base de prendre une décision sur des principes, des procédures dont il ne saisit pas les conséquences ?

    J’irai plus loin que vous. Exigeons, dans notre gouvernement, un ministère des questions européennes. Tant de phénomènes politiques, économiques, sociaux en France vont dépendre (ou dépendent déjà) de l’Europe. La nature fragmentaire, saccadée de l’information concernant l’état présent et futur de la politique européenne de la France, par le truchement de médias souvent complètement dépassés ne fait que semer la confusion, et pis, l’indifférence. Je ne m’étonne pas du phénomène général de méfiance ou de rejet qui prévaut actuellement.

    Dans la discorde existante,je suis le premier à dire qu’on devrait abandonner l’Europe telle qu’elle nous est présentée aujourd’hui. Car, dans la confusion générale, la question qui me taraude est : qui est responsable de quoi ? Et surtout, pour combien de temps ?



  • Jason Jason 20 juin 2007 12:10

    Parallèlement à l’aspect économique, il existe des structures qui maintiennent les prix élevés du logement. Permettez-moi de mentionner mon commentaire du 11 juin :

    par Jason (IP:xxx.x94.46.72) le 11 juin 2007 à 15H15 L’annonce [de l’aide de l’Etat sur les intérêts d’emprunts] est intéressante et surtout particulièrement opportune. Il est très facile d’annoncer des mesures financières (limitées d’ailleurs, la loi n’étant pas encore votée). C’est la solution par le « crochet à phynances ». Cela va avoir un effet inflationniste : plus d’argent disponible pour une demande soutenue. Les banques vont profiter de l’aubaine aussi. C’est normal, c’est leur métier

    Mais il existe d’autres solutions qui, elles, sont plus difficiles à mettre en oeuvre. On a construit des maisons à 100.000 € (essais concluants en Bretagne), mais il faut pour en accroître le nombre, convaincre les pouvoirs très discrets des métiers du bâtiment qui sont bien organisés et très puissants et ont leur influence au sénat (consulter le site de la FFB). Regardons aussi du côté du foncier de construction, encadré par des carcans règlementaires (code de l’Urbanisme, répartition des pouvoirs locaux), réduisant l’offre, faisant monter les prix, à la plus grande joie des propriétaires de terrains ex-agricoles en friche (prix multipliés par 4 ou 5 dans mon canton en 5 ans).

    Il y a trop de micro-pouvoirs en place, de normes, de codes de lois, et de clientélisme politique à la clé pour avoir des logements individuels satisfaisant la demande. J’ai entendu parler d’un projet visant à ce que le coût du logement moyen ne ponctionne pas plus de 25% du revenu des ménages. Ce serait là une façon d’enrayer la montée constante des salaires. Pas besoin de travailler plus...

    On sera toujours très loin du compte tant que l’on ne s’attèlera pas aux micro-pouvoirs, aux règlements, aux codes de lois, aux normes qui figent le marché et le maintiennent dans des cadres économiques avantageux pour un petit nombre. Le logement devrait être un effort national, et foin des corporatismes.

    Pour l’Etat, donner de l’argent ? Après tout, rien de plus facile : il suffit de...



  • Jason Jason 20 juin 2007 10:24

    Ce billet doit être placé à la suite du dernier commentaire de Neos. Merci Avox.

    par Jason (IP:xxx.x94.36.101) le 20 juin 2007 à 10H19

    @ JL & Stradivarius,

    Vous avez tout à fait raison de montrer du doigt la structure opaque, complexe, confuse de ce collage surréaliste qu’est l’Europe. Tout le monde s’y perd, y compris les médias.

    Si l’économie française se portait mieux, les français se laisseraient plus facilement influencer et bercer par les cliquetis de la grande machine. Mais voilà...

    Concernant les positions et les déclarations des leaders européens et nationaux, j’ai trop souvent l’impression d’entendre ce que Helmut Kohl disait au moment de la réunification allemande : Le citoyen lambda ne sait pas ce qui est bon pour lui, il ne faut pas trop en parler, cela l’inquièterait, et c’est aux hommes politiques de décider pour « le peuple ». Et d’écrire l’Histoire.

    Comme je le soulignais plus haut, je n’ai pas vu à ce jour un tableau de décisions, de gestion claire de la situation européenne, à part des discours émaillés de concepts vagues.

    Et je crains fort qu’on en reste là.



  • Jason Jason 20 juin 2007 10:19

    @ JL & Stradivarius,

    Vous avez tout à fait raison de montrer du doigt la structure opaque, complexe, confuse de ce collage surréaliste qu’est l’Europe. Tout le monde s’y perd, y compris les médias.

    Si l’économie française se portait mieux, les français se laisseraient plus facilement influencer et bercer par les cliquetis de la grande machine. Mais voilà...

    Concernant les positions et les déclarations des leaders européens et nationaux, j’ai trop souvent l’impression d’entendre ce que Helmut Kohl disait au moment de la réunification allemande : Le citoyen lambda ne sait pas ce qui est bon pour lui, il ne faut pas trop en parler, cela l’inquièterait, et c’est aux hommes politiques de décider pour « le peuple ».

    Comme je le soulignais plus haut, je n’ai pas vu à ce jour un tableau de décisions, de gestion claire de la situation européenne, à part des discours émaillés de concepts vagues.

    Et je crains fort qu’on en reste là.



  • Jason Jason 19 juin 2007 16:22

    Comme ça se comprend. Surtout si tout est dans tout et réciproquement.

    J’en rajoute une louche de Vialatte : "L’homme n’est que poussière, c’est dire l’importance du plumeau.

    La Bible assure que lorsque Dieu eut fabriqué l’homme et la femme, il en pleura. Comme on le comprend !

    La conscience, comme l’appendice, ne sert à rien, sauf à rendre l’homme malade.

    Le bonheur date de la plus haute Antiquité. Il est quand même tout neuf car il a peu servi.

    Le sage doit garder un vice pour ses vieux jours."

    Quant à cette histoire de flatulences, c’est en écoutant le duo des nonnes que vous avez eu cette idée ?

    Jason(s)

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