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Jason

Jason

80 ans, retraité. Du temps pour continuer à découvrir le monde. Vie active passée dans le technique, l’enseignement supérieur et l’industrie. Le tout (près de 40 ans) dans deux pays étrangers. Je redécouvre l’Hexagone.
 Sceptique et éclectique j'apprécie ce qui est écrit clairement et me soucie peu des fautes d'orthographe pourvu que la compréhension n'en souffre pas. J'aime l'humour, le badinage, bref une certaine élégance dans l'expression, mais attention aux précieux et aux pédants. Ecrire pour tous reste un exercice difficile.

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  • Premier article le 08/11/2006
  • Modérateur depuis le 03/09/2011
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Derniers commentaires



  • Jason Jason 11 juin 2007 14:34

    Pour des raisons anciennes et récentes, la SNCF n’a jamais suscité mon enthousiasme. Tout le monde (ou presque) braie à l’annonce de la modernisation et des records du TGV. Les réalisations de ce dernier vont faire vendre les techniques d’Alsthom dans le monde, et je m’en réjouis.

    Peu enthousiaste je suis car le faible usage que j’ai fait des transports ferrés dernièrement ne m’a pas vraiment impressionné. Un peu enclavé dans un coin de la Bourgogne, prendre le train, pour aller à Lyon, Dijon ou Paris, relève d’un exercice périlleux et surtout coûteux. Programmer un aller-retour dans une de ces villes est un exercice délicat, souvent impossible à faire dans des conditions normales (horaires, changements, attentes, réservations, etc.). Les climatisations des rames, apparemment non filtrées, ne sont que des distributeurs de miasmes pour tous. Mon médecin m’a confirmé qu’il n’y avait pas de vaccination anti-miasmes-SNCF. J’en parlerai à l’Institut Pasteur.

    Le bolide TGV couvre des régions sans s’y arrêter, ce qui n’apporte strictement rien aux bourgades et petites villes qu’il ignore sur son passage. Quant aux vaches, elles n’ont même pas le temps de le voir passer.

    Je ne pense pas que les Allemands, de par leur situation géographique et leurs intérêts économiques se passionnent pour un projet qui concurrence leur ICE. Eux se tournent vers l’Europe centrale qui, vu son économie offre des débouchés potentiels bien plus grands que la France. Il n’y a pas besoin de passer par la France pour aller vers l’Italie, les Balkans ou la mer noire.

    On n’arrête pas le progrès, mais la démocratie, en France, aurait-elle oublié d’emmener tout le monde du même train ?



  • Jason Jason 11 juin 2007 11:58

    La réflexion du gouvernement marocain laisse perplexe et frise le scandale. Il incomberait, selon ce gouvernement, aux pays où la drogue se consomme de faire quelque chose. Plus cynique, on ne fait pas.

    2 ou 3 avions Canadair pulvérisant du Glyphosate sur les plantations marocaines feraient l’affaire. Mais, ça, on n’en parle pas, souveraineté nationale oblige. Et droit d’emmerder les pays voisins en plus. Mesures de rétorsion françaies : taxation des voyages touristiques au Maroc, taxation des résidences françaises dans ce pays, pénalités sur la délocalisation des centres d’appel téléphoniques dans ce pays, etc. Tout cela serait très bon pour le Trésor français, et amortirait les frais engagés de chasse aux passeurs de drogue marocains.

    A cynique, cynique et demi !



  • Jason Jason 10 juin 2007 12:20

    @ JL

    Je partage entièrement vos propos. J’y ajouterai quelques mots.

    Il n’y a pas d’arrière-monde, comme le souligne à bon escient Michel Onfray. Pas de paradis, de purgatoire, d’enfer, etc. Ces lieux hypothétiques n’appartiennent qu’à l’imaginaire. Leur représentation picturale ou littéraire relèvent d’une tradition, ce qui est un fond de commerce comme un autre.

    Voulez-vous la preuve que dieu n’existe pas ? Regardez l’humanité.

    Les Eglises, religions, qui s’insinuent dans toutes les étapes de la vie ne sont que de gigantesques entreprises de marketing, politique, social, économique, aux ambitions démesurées. Je suis étonné qu’on discute encore sérieusement de telles foutaises aujourd’hui. Et qu’il y ait encore autant d’esprits faibles pour y croire.



  • Jason Jason 9 juin 2007 21:53

    Excellentes remarques de l’auteur et d’Anniemal. Il y a en effet un nombre d’éléments à considérer pour établir une unité de compte et sa comptabilité. Spontanément je vois les unités de temps, auxquelles s’ajoutent le niveau et le type de travail tels que travail faisant appel à des degrés de complexité différents (physique, mental, etc.), ainsi qu’une évaluation de l’utilité de ce travail, et qui fait réintroduire l’idée de valeur et de marché.

    Une autre possibilité, mais qui va soulever des tempêtes de protestations, serait de permettre aux individus de comptabiliser une grande partie de leurs coûts causés par leur fonctionnement dans la société, et cela au même titre qu’une entreprise. A savoir, frais de logement, d’assurances, de subsistance, de déplacement, tout ce qui concourt à leur maintien et leur entretien dans la société marchande ; car en fait ils n’ont plus de choix. Rappelons pour mémoire que les entreprises ne paient jamais à leur juste valeur les frais de scolarité de leurs employés (14 ans et plus), et souvent non plus la formation professionnelle. Paradoxalement, je crois savoir qu’un polytechnicien, obligé par contrat de travailler pour l’Etat pendant un certain temps à sa sortie de l’école, est contraint de rembourser (ou faire rembourser) les frais de sa scolarité s’il travaille pour un employeur privé. Étendons le principe à d’autres types de scolarité, cela sera autant de gagné.

    Mais de tels schémas exigent une reconstruction complète de la notion de coût social du travail et une refonte complète des comptabilités du travail , des entreprises, et nationale. Un énorme travail, si j’ose dire... Concepts intéressants qui remettent en question les fondations de pans entiers de l’économie. Y a-t-il un homme (ou femme) politique dans la salle qui s’intéresserait à ce genre de chose ? En tous cas, très peu d’échos sur Agoravox.



  • Jason Jason 8 juin 2007 08:59

    Deuxième essai :

    Faute dans le titre, mais article autrement charpenté que celui plus haut, de euh...

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